A Bastille aujourd’hui, C’est marche ou crève

A Bastille aujourd’hui, C’est marche ou crève ! Rico devant tant d’injustice en dernier recours , entame une grève de la faim , en ce jeudi...

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A Bastille aujourd’hui, C’est marche ou crève ! Rico devant tant d’injustice en dernier recours, recours, entame une grève de la faim, faim, en ce jeudi 22 septembre 2011. 2011. Après Après avoir été convoqué une deuxième fois au conseil de discipline, sans aucune raison valable. Aujourd’hui à Bastille pour conserver ton emploi c’est marche ou crève.

Militant, jusqu’au bout des ongles. Historique : Fin d’année 2010 Rico passe une première fois au conseil de discipline. La volonté de la direction était de le révoquer, mais plusieurs mobilisations massives on fait qu’il s’en est sorti quand même avec six semaines de mise à pied et ce malgré un dossier vide ! Après cette première « galère » il avait été convenu par le directeur que Rico et son responsable maintenance ne s’adressent plus la parole, ainsi la direction a reconnu l’incompatibilité des deux hommes mais a continué de les laissés travailler ensemble. Et ce qui devait arriver, arriva. Le fameux responsable, sachant qu’il allait partir, fit son cadeau de départ à Rico. Profitant d’un simple désaccord avec le technicien supérieur fraichement nommé (accessoirement ancien délégué syndical) la direction s’engouffre dans la brèche et traduit une seconde fois Rico au conseil de discipline. Devant tant d’injustice et aillant épuiser tous les recours il a décide d’entamer une grève de la faim. A l’heure où le PDG dit vouloir trouver un accord sur les risques psychosociaux, peut il laissé s’accomplir de tels actes ?

Message à tous les agents : Au-delà du climat social détestable sur le département MRB, un matraquage incessant sur les agents (et plus particulièrement les militants) de la part de la direction à lieu. Les effectifs toujours à la baisse, une demande de productivité qui est de plus en plus grandissante sans tenir compte de nos vies privées ! Ceci est un appel à une prise de conscience collective Peut-on laissé la direction nos martelé de sanctions disproportionnés sans rien faire ? Peut-on encore regarder sans rien faire ? A toutes ces questions il n’y a qu’une seule réponse : LA SOLIDARITE. Si nous sommes tous soudé, si nous sommes tous unis, finis le dédain de la direction vis-à-vis des agents.