CRI GCBH OI P3 Vf septembre 08 - kenitrainvesti.ma

Fiche de projet Numéro de page (pimenterie) Unité de transformation des pruneaux 35 Unité de conditionnement de prunes secs 36 Mini – Huilerie d’olive...

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SOMMAIRE

Fiche de projet Abattoir cunicole Abattoir polyvalent Moyen Abattoir polyvalent Moyen Abattoir polyvalent Grand Unité de production et de conditionnement de viande d’autruches Stockage des céréales Unité de production des semoules Stockage horizontal à plat des céréales Silos verticaux de stockage de céréales Ensilage de mais Station de conditionnement pour fruits et légumes Conserverie de cœurs d’artichauts Conserverie de câpres Unité de surgélation des cœurs d’artichauts Conditionnement de la fraise surgelée et de la fraise fraîche Conditionnement et entreposage de fruits et légumes Produits dérivés de la tomate : concentré / Séchée / Sauces Semi-conserves d’olives, câpres, fonds d’artichauts, asperges et autres légumes Unité de séchage, déshydratation et lyophilisation de la tomate Unité de produits alimentaires surgelés (Légumes et fruits) Unité de produits alimentaires surgelés (Fruits) Unité de production de tomates séchées Confitures BIO (Figues, orange, Fraise…) Unité de conditionnement de fruits et légumes frais Unité de surgélation de fruits et légumes : Fèves, petits pois, oignons, fonds et cœurs d’artichauts, melons, fraises, pêches et poires Unité de surgélation de frites Unité de production de chips de pommes de terre Séchage de vigne Conserverie végétale Les escargots en conserves Terrine d'escargot à la gentiane Unité moyenne de transformation de la niora

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Fiche de projet (pimenterie) Unité de transformation des pruneaux Unité de conditionnement de prunes secs Mini – Huilerie d’olive Huilerie d’olive en flux continu Huilerie en container Huilerie moderne Conditionnement d’huile d’olives Unité de production d’huile de tournesol Unité de production d’huile d’arachide Unité de fabrication de beurre d’arachide Fabrication de glace et de sorbets: Crème glacée Projet de fabrication de pulpes de : pommes – fraises – pêches- poires Fabrication de jus de raisin destiné aux conditionneurs de Jus de fruits Fabrique de glace hydrique Unité spécialisée en production de jus de légumes Unité intégrée : Traitement du lait & Fabrication de produits laitiers Mini laiterie : Traitement du lait & Fabrication de produits laitiers Laiterie : Traitement du lait & Fabrication de produits laitiers Fromage à pâte pressée type Edam, Gruyère, Saint polain et Fromage à pâte molle (Sicilien et Mozzarella) Unité artisanale de production de fromage de chèvr Unité de production de fromage de chèvre Pâtés, Beurres Et Mousses à Base De Sardines Filets de Sardines Plats Cuisines A Base De Poisson Plats cuisinés et semi-cuisinés Unité de valorisation des écarts de triage des produits de la mer Unité de production d’aliments composés pour volaille et bétail Unité de paille mélasse pelle tissée Entrepôt frigorifique pour fruits et légumes Unité de fabrication de pâtes fraîches Tissu gabardine Tissu denim Tissus pour pantalons Tissus pour chemises Tissu pour vêtements de travail

Numéro de page 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 67 68 69 70 71

Fiche de projet Finissage de tissus chaîne et trame Prêt-à-porter Homme en produit fini Confection de prêt-à-porter féminin Pantalons sous-traitance Pantalons jeans en produit fini Chemises en produit fini Unité moyenne de tissage Unité de DERRAZ traditionnel Unité de tissage de drapeaux à base d’El kherka Ouezzania Unité de tissage d’el Kharka el Ouazzani Unité de passementerie Soutiens gorges en produit fini Vêtements de bonneterie en produit fini Vêtements de bonneterie en grosse maille (tricotage rectiligne) en produit fini Finissage de vêtements de bonneterie Vêtements en cuir Tannerie et mégisserie Unité de fabrication de petite maroquinerie Unité de confection d'articles en cuir Unité de fabrication de sac à main Chaussures de ville Chaussures de sécurité Fonderie de métaux Unité de fabrication de fils métalliques Unité de fabrication de pointes diverses Unité de fabrication de pointes en acier Unité de fabrication de pièces en fils de fer Traitement de surface et revêtement de métaux Unité de fabrications de boulonnerie visserie, écrous, raccords, tiges Unité de menuiserie métallique Unité de tourneurs, fraiseurs, traitement des métaux Fabrication de moules pour semelles Fabrication de semoirs et pulvérisateurs destinés à la préparation et entretien des récoltes Unité de fabrication de plaques photovoltaïques à usage domestique (énergie solaire) Unité d’assemblage de matériel agricole Unité de menuiserie d’aluminium Unité de menuiserie en Inox Unité de fabrication de profilés en alliage d’aluminium Unité moyenne de travail d’acier, du cuivre et du fer

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Fiche de projet Unité de chaudronnerie moderne Rebobinage de moteurs électriques Rebobinage de moteurs électriques Fabrication de bennes pour tracteurs Fabrication de bennes pour camions Fabrication de bennes pour camions utilitaires Faisceaux de câbles Tubes annelés pour faisceaux de câbles automobiles Systèmes d’échappement Secteur Plaquettes de freins Moule pour pièces Auto Tapis autos (Equipements d’intérieur) Soufflet de levier de vitesse (Equipements d’intérieur) Equipements d’intérieur (Housses pour sièges) Pièces en caoutchouc pour automobile Equipements d’intérieur (Panneaux de portes) Ressorts à lames Ressorts à lames Amortisseurs Radiateurs en aluminium Durits et Joints de portes Garnitures d’embrayage Câbles électriques Fabrication de connectiques Filtres pour véhicules industriels Moulage à cire perdue de pièces automobiles Décolletage de pièces automobiles Unité de traitement de surface par anodisation et bichromatage Garnitures de freins Rénovation des cardans Assemblage de Minibus Unité de montage et d’assemblage d’autocars Fabrication de jantes en aluminium pour voitures, motos et utilitaires Grande unité d’injection plastique Unité moyenne d’injection plastique Unité d’extrusion des plastiques Unité de production de tuyaux en PVC pour bâtiment Unité de fabrication d’équipements routiers en plastique Unité de fabrication d’articles en matières plastiques pour l'agriculture et l'élevage

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Fiche de projet Unité de fabrication de bonbonnes en plastique Unité de fabrication de sceaux en plastique Unité de fabrication de bloc – tiroir en plastique Unité de fabrication de bacs alimentaires en polypropylène Unité de fabrication de jouets en plastique Unité de fabrication d’emballage en plastique pour produits alimentaires Unité de fabrication d’emballage en plastique pour produits agricoles Unité de fabrication de pots et bouteilles en plastique à usage biologique et médical Unité de fabrication de produits et outils en plastique à usage médical Unité de fabrication de pièces automobiles en plastique Emballage pour produits alimentaires en plastique Unité de fabrication de meubles en plastic Unité de mise en sac de sable de mer Unité de production des sacs en polypropylène Unité de fabrication de pots alimentaires en polypropylène Unité de fabrication de barils alimentaires en polyéthylène Unité de fabrication de pots de crème en polypropylène Unité de fabrication de pots cosmétiques pour crème et maquillage Fabrication de meubles marocains en bois Unité de production de bois pour bâtiment Unité de production de portes et d’éléments en bois pour bâtiment : Portes d’intérieur et d’extérieur, fenêtres,… Unité de production de portes traditionnelles marocaines en bois Unité de réparation de bateaux de pêche en bois Unité de fabrication de barques en bois pour pêche artisanale Chantier naval pour fabrication de chalutiers en bois Menuiserie moderne Unité de menuiserie de bois Unité moyenne de fabrication de caisses en bois Unité de fabrication de caisseries en bois Industrie du liège Fabrication des meubles de l’intérieur en série Unité de fabrication de meubles d’intérieur modulaires

Numéro de page 167 169 171 173 175 177 179 181 183 185 187 189 191 192 193 195 197 199 201 202 204 206 208 209 210 211 213 214 215 217 218 219

Fiche de projet Unité de fabrication de meubles de bureaux en panneaux Unité de production de béton prêt à l’emploi Unité industrielle de fabrication des agglomérés et hourdis Unité industrielle de fabrication des carreaux en bétons Unité industrielle de fabrication de tuyaux en béton et en béton armé Unité industrielle de fabrication des buses en béton pour puits Unité de production de verre plat pour bâtiment Unité de fabrication du plâtre : Sac de plâtre de 40 Kg Unité de production de pavés en béton Unité de production de bordures en béton Unité de fabrication d'éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, murs et éléments de structure Unité de fabrication de poteaux en béton pour lignes électriques Unité de fabrication de regards en béton Unité de fabrication de sacs ciment Unité de fabrication de produits sanitaires en céramique Unité de fabrication de carreaux en céramique Unité industrielle de fabrication de carreaux de mosaïque Fabrication de carreaux en céramique pour le revêtement du mur Unité de fabrication de produits finis à base de marbre Unité pour le travail de marbre Traitement de blocs de granite : Granit en carreaux Traitement de blocs de granite : granit en dalles Unité de production de pavés en pierre naturelle Industrie de l’eucalyptus : pâte à papier Unité de fabrication des cahiers scolaires et de fournitures de bureau à base de papier Unité moyenne de traitement et récupération des déchets papier Unité de récupération et traitement des déchets papiercarton Unité de fabrication du carton ondulé Unité d’impression numérique, gravure et flashage Unité d’édition de livres scolaires Imprimerie Fabrication de plaques celloderme

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Fiche de projet Unité de production artisanale des huiles essentielles Unité de fabrication et impression d’étiquette adhésives Unité de nettoyage, tri, classement et mise en bales de vieux papier et carton Unité de saponification à froid Crème à base d’extraits d’escargots Fabrication de produits dérivés du Ghassoul Unité de fabrication d’emballage en verre Unité de fabrication de verre pour l’industrie automobile Unité de fabrication de pièces en caoutchouc moulé travaillées à partir de matières premières naturelles ou de synthèse comme les silicones, les nitriles… Unité de fabrication de pneus rechapés Unité de Fabrication de Pneu Unité de Fabrication de chambres à air Détergent liquide concentré tout usage Unité de fabrication d’Eau de javel détergente concentrée Unité de fabrication d’assouplissant concentré pour textile Petite unité de traitement de déchets industriels non ferreux Unité moyenne de traitement de déchets industriels non ferreux Grande unité de traitement de déchets industriels non ferreux Unité de production de canaux d’irrigation pour agriculture Matériaux composites Unité de production de peinture pour bâtiment Unité de production de pavés en terre cuite Unité de produits d’étanchéité Cimenterie Usine de production d’acier pour gros œuvre Unité traditionnelle de production de matériaux de construction en terre cuite : Briqueterie moderne Unité Industrielle Moyenne de fabrication de la chaux Unité traditionnelle de fabrication de la chaux Fabrication des carreaux en ciment traditionnels et contemporains

Numéro de page 258 260 261 262 263 264 265 267 269 271 273 274 275 276 277 278 280 282 284 285 287 288 290 292 294 295 296 297 298 299

ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L’INTERIEUR WILAYA DE LA REGION GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN

Fiche de projet n° S_IAA_01

Intitulé du projet Abattoir cunicole Secteur Industrie alimentaire Branche Production de viandes de boucherie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Ouezzane, Souk Larbaa. Coût global du projet 1.500.000 MAD Capacité de production 28 Tonnes de viande par an Besoin en superficie 1.000 m² Besoin en RH 15 permanents Marchés potentiels Le Marché local et Export de fourrures Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : - Loi n° 78–00 portant charte communale. - Dahir portant loi n° 1-75-291 du 24 chaoual 1397 (8 octobre 1977) édictant des mesures relatives à l'inspection sanitaire et qualitative des animaux vivants et des denrées animales ou d'origine ; - Décret n° 2-93-23 du 21 kaada 1413 (13 mai 1993) relatif aux attributions et à l'organisation du Ministère de l'Agriculture et de la Réforme Agraire.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L'effectif du cheptel dans la région se compose de 343 610 têtes de bovins dont 38.36 % est de la race locale. Les ovins sont au nombre de 1 million de têtes soit 7.32 % par rapport à l'échelle nationale. Alors que les caprins ne dépassent pas les 33 900 têtes soit 0.70 % à l'échelle du pays.

Justification du projet La viande de lapin est très appréciée par le consommateur marocain grâce à ses qualités organoleptiques et nutritionnelles. En effet, le lapin est une viande très saine, nutritive et digestive, sans cholestérol. L'élevage du lapin est appelé à se développer afin de satisfaire un potentiel de consommation en protéines animales, monopolisé jusqu'à maintenant par la viande blanche.

Conditions d’approvisionnement La race locale constitue une d’approvisionnement importante.

source

Il faut signaler que les lapins sont des animaux particulièrement sensibles aux facteurs liés à l'environnement tels que la température, l'hygrométrie, l'aération et l'éclairage de la pièce réservée à l'élevage. En effet, des températures trop basses ou des changements brusques de température associés à des courants d'air provoquent une plus grande sensibilité aux troubles respiratoires. Une hygrométrie et une chaleur trop élevée augmentent les risques d'infection.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_02

Intitulé du projet Abattoir polyvalent Moyen Secteur Industries alimentaires Branche Production de viandes de boucherie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem. Coût global du projet 50.000.000 MAD Capacité de production 3 000 T / an Besoin en superficie 25 000 m² Besoin en RH 50 Personnes

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Données sur le secteur Au Maroc, en 2004, la production des viandes rouges a atteint la valeur de 398.000 T avec un taux d’abattage de 79%, soit l’équivalent de 314 680 T de viandes produits au niveau des abattoirs. La région compte un cheptel relativement important. Il se compose de 1 818 380 têtes (à fin 2006). Les 2 principales espèces sont : les ovins (1 060 400 têtes) et les bovins (399 260 têtes).

Justification du projet Les abattoirs actuels de la région sont anciens et ne répondent pas à la demande en terme de qualité et de quantité.

Conseils techniques Consulter le « Guide méthodologique pour l’évaluation des incidences sur l’environnement, Projet d’abattoir ».

Marchés potentiels Local et régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : - Loi n° 78 – 00 portant charte communale. - Dahir portant loi n° 1-75-291 du 24 chaoual 1397 (8 octobre 1977) édictant des mesures relatives à l'inspection sanitaire et qualitative des animaux vivants et des denrées animales ou d'origine ; - Décret n° 2-93-23 du 21 kaada 1413 (13 mai 1993) relatif aux attributions et à l'organisation du Ministère de l'Agriculture et de la Réforme Agraire.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_03

Intitulé du projet Abattoir polyvalent Petit Secteur Industries alimentaires Branche Production de viandes de boucherie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem. Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 1 000 T / an Besoin en superficie 15 000 m²

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Au Maroc, en 2004, la production des viandes rouges a atteint la valeur de 398.000 T avec un taux d’abattage de 79%, soit l’équivalent de 314 680 T de viandes produits au niveau des abattoirs. La région compte un cheptel relativement important. Il se compose de 1 818 380 têtes (à fin 2006). Les 2 principales espèces sont : les ovins (1 060 400 têtes) et les bovins (399 260 têtes).

Justification du projet Les abattoirs actuels de la région sont anciens et ne répondent pas à la demande en terme de qualité et de quantité.

Conseils techniques Consulter le « Guide méthodologique pour l’évaluation des incidences sur l’environnement, Projet d’abattoir ».

Besoin en RH 30 Personnes Marchés potentiels Local et régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : - Loi n° 78 – 00 portant charte communale. - Dahir portant loi n° 1-75-291 du 24 chaoual 1397 (8 octobre 1977) édictant des mesures relatives à l'inspection sanitaire et qualitative des animaux vivants et des denrées animales ou d'origine ; - Décret n° 2-93-23 du 21 kaada 1413 (13 mai 1993) relatif aux attributions et à l'organisation du Ministère de l'Agriculture et de la Réforme Agraire.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_04

Intitulé du projet Abattoir polyvalent Grand Secteur Industries alimentaires Branche Production de viandes de boucherie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem. Coût global du projet 110.000.000 MAD Capacité de production 6 000 T / an Besoin en superficie 45 000 m² Besoin en RH 100 Personnes

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Au Maroc, en 2004, la production des viandes rouges a atteint la valeur de 398.000 T avec un taux d’abattage de 79%, soit l’équivalent de 314 680 T de viandes produites au niveau des abattoirs. La région compte un cheptel relativement important. Il se compose de 1 818 380 têtes (à fin 2006). Les 2 principales espèces sont : les ovins (1 060 400 têtes) et les bovins (399 260 têtes).

Justification du projet Les abattoirs actuels de la région sont anciens et ne répondent pas à la demande en terme de qualité et de quantité.

Conseils techniques Consulter le « Guide méthodologique pour l’évaluation des incidences sur l’environnement, Projet d’abattoir ».

Marchés potentiels Local et régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : - Loi n° 78 – 00 portant charte communale. - Dahir portant loi n° 1-75-291 du 24 chaoual 1397 (8 octobre 1977) édictant des mesures relatives à l'inspection sanitaire et qualitative des animaux vivants et des denrées animales ou d'origine ; - Décret n° 2-93-23 du 21 kaada 1413 (13 mai 1993) relatif aux attributions et à l'organisation du Ministère de l'Agriculture et de la Réforme Agraire.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_05

Intitulé du projet Unité de production et de conditionnement de viande d’autruches Secteur Industrie alimentaire Branche Production de viandes de volailles

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Données sur le secteur De nos jours l’élevage d’autruches est considéré comme un des projets agricoles les plus rentables. C’est un projet d’avenir, en raison de la grande variété des produits exploités (viandes, cuir et plumes), de leur efficacité de production et de reproduction et de leur rentabilité élevée. Le climat au Maroc permet l’élevage d’autruches. L’élevage d’autruches se veut novateur avec un maximum d’intégration afin de fournir au marché local et international des produits (dérivés de l’autruche) à haute valeur ajoutée.

Justification du projet

Besoin en superficie 200.000 m²

L'autruche produit une viande rouge très proche du bœuf en terme d'aspect. Cette viande est appréciée depuis l'antiquité. Sa richesse nutritionnelle est exceptionnelle pour une viande : peu calorique et pauvre en matières grasses (1à 2%), la viande d'autruche est pourvue d'une bonne teneur en protéines (20 à 22%) et d'une très faible teneur en cholestérol... C’est l'aliment idéal pour les sujets prédisposés au risque cardio-vasculaire mais néanmoins amateurs de viande rouge. La forte demande des marchés européens et la proximité de la région constituent une excellente opportunité à saisir.

Besoin en RH 30 permanents

Conditions d’approvisionnement

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Slimane, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Souk Larbaa, Souk Tlet, Ouezzane, Had Kourt

Coût global du projet 15.000.000 MAD Capacité de production 150 tonnes par an

Marchés potentiels Export 90% National 10% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : - Dahir portant loi n° 1-75-291 du 24 chaoual 1397 (8 octobre 1977)

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Décret n° 2-93-23 du 21 kaada 1413 (13 mai 1993)

La viande d’autruche se commercialise en frais et en surgelé, mais à la différence du bœuf, en surgelé, elle ne perd aucun parfum et cela améliore encore sa tendreté. Par contre la viande d’autruche se doit d’être toujours conditionnée sous vide.

Conseils techniques La viande de l’autruche est une viande rouge réputée être extrêmement tendre. Elle est extrêmement pauvre en cholestérol (600 mg/kg). Ses qualités culinaires en font une viande de premier choix qui ne peut être comparée qu’aux meilleurs filets de veau. En matière d’équipement il faut prévoir une ligne d'abattage pour l'autruche. En matière de conditionnement des viandes d’autruche, il existe plusieurs possibilités : - Les viandes : steaks, pavés, rôtis, sautés ; - Les pâtés et terrines ; - Les rillettes ; - Les saucissons ; - Le fumé ; - Les plats cuisinés…

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_06

Intitulé du projet Stockage des céréales Secteur Industrie alimentaire Branche Meunerie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Souk Tlet, Souk Larbaa Coût global du projet 20 000 000 MAD Capacité de production 1 000 Tonnes par an Besoin en superficie 8 000 m² Besoin en RH 10 permanents Marchés potentiels : Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Dahir n° 1-95-8 du 22 ramadan 1415 (22 février 1995) portant promulgation de la loi n° 12-94 relative a l'office national interprofessionnel des céréales et des légumineuses et a l'organisation du marche des céréales et des légumineuses.

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Données sur le secteur Compte tenu du décalage entre le rythme de la production et celui de la consommation, le stockage des céréales constitue un élément clé dans le fonctionnement général des circuits d’approvisionnement de la région et du pays. Le secteur est composé de divers opérateurs et équipements. Les coopératives et les commerçants agréés disposent de capacités de stockage pour une longue durée sous couvert ou semi-couvert. Ces opérateurs disposent également de capacités additionnelles pour le stockage d’appoint. Leur capacité est d’environ 2 millions de tonnes. En outre, les industries de transformation détiennent également une capacité sous couvert importante, estimée à 500.000 tonnes environ. Les ports céréaliers sont dotés de silos d’une capacité estimée à 200.000 tonnes. En outre, la fonction de stockage continue d’être exercée dans une large mesure par les exploitants agricoles, pour des raisons liées à l’autoconsommation. Ce type de stockage ne présente pas les propriétés requises dans un marché céréalier parfaitement intégré au reste de l’économie, et dans le cadre d’une politique de sécurité alimentaire fondée plus sur l’amélioration des conditions d’accès que sur l’autosuffisance.

Justification du projet Le commerce des céréales va subir les effets attendus de la libéralisation croissante des échanges et la dérégulation du commerce intérieur des grains et des farines. Parmi ces effets, il y a l’intensification des échanges entre zones déficitaires et zones favorables, telles que la zone du Gharb, l’amplification des variations des prix dans le temps et l’espace, autant d’incitations favorables à l’activité de stockage. Pour tirer profit de cette évolution, le développement du stockage à proximité des producteurs dans les zones excédentaires sera primordial.

Conditions d’approvisionnement Au plan national, la production de la plus grande quantité de céréales est concentrée dans la région Fès-Boulemane, la région Meknès-Tafilalet, et la région Doukala-Abda. Le transport des céréales peut se faire par camions ou par trémies sur voie ferrée. Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_07

Intitulé du projet Unité de production semoules

des

Secteur Industrie alimentaire Branche Activités de travail des grains Lieu d’implantation proposé Commune : Sidi Kacem, Kénitra, Sidi Slimane Coût global du projet 8.000.000 MAD Capacité de production 50 T par jour Besoin en superficie 3000 m² Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Au Maroc, les céréales comptent pour environs le 1/3 des dépenses alimentaires des ménages. Les ménages marocains sont de grands consommateurs de produits céréaliers, notamment, à base de blés durs tels que les pâtes alimentaires, les semoules et les farines de blé dur.

Justification du projet Le consommateur marocain devient de plus en plus exigeant et bon sélectionneur dans ses choix. En plus, les denrées alimentaires à base de blé dur deviennent très demandées dans le marché national.

Conditions d’approvisionnement La semoule, obtenue grains de blé dur, matière première fabrication de pâtes couscous.

par trituration des est la principale utilisée pour la alimentaires et de

Les unités industrielles dans leur ensemble souffrent de problèmes d'approvisionnement en matière première. Ces minoteries rencontrent des difficultés à garantir les milliers de tonnes dont elles ont besoin pour éviter de tourner en dessous de leur capacité ou de connaître des ruptures de stock: la production de céréales est une activité saisonnière tandis que la transformation est permanente.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_08

Intitulé du projet Stockage horizontal à plat des céréales Secteur Industrie alimentaire Branche Meunerie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Souk Tlet, Souk Larbaa, Mechra Bel Ksiri,… Coût global du projet 15.000.000 MAD Capacité de production 900 Tonnes par an Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 15 permanents Marchés potentiels : Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Dahir n° 1-95-8 du 22 ramadan 1415 (22 février 1995) portant promulgation de la loi n° 12-94 relative a l'office national interprofessionnel des céréales et des légumineuses et a l'organisation du marche des céréales et des légumineuses.

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Données sur le secteur Compte tenu du décalage entre le rythme de la production et celui de la consommation, le stockage des céréales constitue un élément clé dans le fonctionnement général des circuits d’approvisionnement de la région et du pays. Le secteur est composé de divers opérateurs et équipements. Les coopératives et les commerçants agréés disposent de capacités de stockage pour une longue durée sous couvert ou semi-couvert. Ces opérateurs disposent également de capacités additionnelles pour le stockage d’appoint. Leur capacité est d’environ 2 millions de tonnes. En outre, les industries de transformation détiennent également une capacité sous couvert importante, estimée à 500.000 tonnes environ. Les ports céréaliers sont dotés de silos d’une capacité estimée à 200.000 tonnes. En outre, la fonction de stockage continue d’être exercée dans une large mesure par les exploitants agricoles, pour des raisons liées à l’autoconsommation. Ce type de stockage ne présente pas les propriétés requises dans un marché céréalier parfaitement intégré au reste de l’économie, et dans le cadre d’une politique de sécurité alimentaire fondée plus sur l’amélioration des conditions d’accès que sur l’autosuffisance.

Justification du projet Le commerce des céréales va subir les effets attendus de la libéralisation croissante des échanges et la dérégulation du commerce intérieur des grains et des farines. Parmi ces effets, il y a l’intensification des échanges entre zones déficitaires et zones favorables, telles que la zone du Gharb, l’amplification des variations des prix dans le temps et l’espace, autant d’incitations favorables à l’activité de stockage. Pour tirer profit de cette évolution, le développement du stockage à proximité des producteurs dans les zones excédentaires sera primordial.

Conseils techniques Il est recommandé pour stocker des céréales d'utiliser des bâtiments ayant été conçus ou adaptés à cet usage conformément aux normes. En effet des règles de génie civil sont à respecter eu égard aux pressions et frottements créés par les masses de grain. Le stockage à plat se fait dans des silos horizontaux généralement construits en béton ou en tôles soudées ou boulonnées. Les parois en tôle peuvent être protégées intérieurement par des éléments en béton. Dans le souci d’assurer l’étanchéité du bâtiment, il est nécessaire dans ce type de construction, et

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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d'autant plus pour des durées de conservation qui peuvent être longues, de vérifier l'étanchéité à l'eau. Le sol doit être le plus régulier possible afin de permettre un enlèvement de la marchandise aussi facile que possible. La hauteur du magasin doit être importante pour permettre les manutentions de grain et une bonne aération. Les silos horizontaux sont des bâtiments de grand volume. Afin de permettre une bonne conservation, il est préférable de fractionner le lot de céréales, ce qui permet de réduire les risques et de prendre des mesures limitées de préservation. Les installations seront conçues de manière à réduire le nombre de pigées à poussières. En matière d’équipements, ces magasins doivent disposer d’un matériel de désinsectisation approprié et d’un système de ventilation.

Conditions d’approvisionnement Au plan national, la production de la plus grande quantité de céréales est concentrée dans la région Fès-Boulemane, la région Meknès-Tafilat, et la région Doukkala-Abda. Le transport des céréales peut se faire par camions ou par trémies sur voie ferrée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_09

Intitulé du projet Silos verticaux de stockage de céréales Secteur Industrie alimentaire Branche Meunerie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Souk Tlet, Souk Larbaa Coût global du projet 18.000.000 MAD Capacité de production 1.200 Tonnes par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 20 permanents Marchés potentiels : Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Textes juridiques : Dahir n° 1-95-8 du 22 ramadan 1415 (22 février 1995) portant promulgation de la loi n° 12-94 relative a l'office national interprofessionnel des céréales et des légumineuses et a l'organisation du marche des céréales et des légumineuses.

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Données sur le secteur Compte tenu du décalage entre le rythme de la production et celui de la consommation, le stockage des céréales constitue un élément clé dans le fonctionnement général des circuits d’approvisionnement de la région et du pays. Le secteur est composé de divers opérateurs et équipements. Les coopératives et les commerçants agréés disposent de capacités de stockage pour une longue durée sous couvert ou semi-couvert. Ces opérateurs disposent également de capacités additionnelles pour le stockage d’appoint. Leur capacité est d’environ 2 millions de tonnes. En outre, les industries de transformation détiennent également une capacité sous couvert importante, estimée à 500.000 tonnes environ. Les ports céréaliers sont dotés de silos d’une capacité estimée à 200.000 tonnes. En outre, la fonction de stockage continue d’être exercée dans une large mesure par les exploitants agricoles, pour des raisons liées à l’autoconsommation. Ce type de stockage ne présente pas les propriétés requises dans un marché céréalier parfaitement intégré au reste de l’économie, et dans le cadre d’une politique de sécurité alimentaire fondée plus sur l’amélioration des conditions d’accès que sur l’autosuffisance.

Justification du projet Le commerce des céréales va subir les effets attendus de la libéralisation croissante des échanges et la dérégulation du commerce intérieur des grains et des farines. Parmi ces effets, il y a l’intensification des échanges entre zones déficitaires et zones favorables, telles que la zone du Gharb, l’amplification des variations des prix dans le temps et l’espace, autant d’incitations favorables à l’activité de stockage. Pour tirer profit de cette évolution, le développement du stockage à proximité des producteurs dans les zones excédentaires sera primordial.

Conseils techniques Il est recommandé pour stocker des céréales d'utiliser des bâtiments ayant été conçus ou adaptés à cet usage conformément aux normes. En effet des règles de génie civil sont à respecter eu égard aux pressions et frottements créés par les masses de grain. Les silos verticaux ont des parois latérales de hauteur supérieure à 10 mètres, ces silos comportent plusieurs cellules de hauteur élevée et de diamètre réduit. Ces cellules peuvent être soit réalisées en béton, soit composées de parois métalliques. Ces silos permettent de stocker des produits de nature différente dans chaque cellule. Le

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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taux de rotation des céréales stockées est en général plus important que pour un silo plat.

Conditions d’approvisionnement Au plan national, la production de la plus grande quantité de céréales est concentrée dans la région Fès-Boulemane, la région Meknès-Tafilat, et la région Doukkala-Abda. Le transport des céréales peut se faire par camions ou par trémies sur voie ferrée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_10

Le secteur compte actuellement 32 unités ayant une capacité totale de 2 millions tonnes (soit un taux d’utilisation de 100%). En termes de concentration, 4 entreprises détiennent plus de 40% de la capacité totale installée au niveau national.

Secteur Industrie alimentaire d'aliments

Données sur le secteur La production d’aliments composés avoisine les 2 millions de tonnes par an. Les ¾ de cette production sont destinés à l’élevage avicole, le reste étant destiné aux ruminants.

Intitulé du projet Ensilage de mais

Branche Fabrication animaux

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pour

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Slimane, Sidi Kacem, Souk Larbaa, Sidi Allal Tazi Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité de production 5 000 tonnes par an Besoin en superficie 2 000 m² Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels : Local et Régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Base légale : - Dahir n° 1-83-108 du 5 octobre 1984 portant promulgation de la loi n° 13-83 relative à la répression des fraudes sur les marchandises (B.O n° 3777 du 20 mars 1985) ; - Arrêté viziriel du 7 août 1946 relatif au contrôle de la vente des aliments composés destinés au bétail (B.O n° 1766 du 30 août 1946) ; - Arrêté du Directeur de l'Agriculture, du Commerce et des forêts du 20 avril 1948 relatif à la vente des aliments destinés au bétail (B.O n° 1853 du 30 avril 1948). - Arrêté du Directeur des Affaires Economiques du 7 août 1946 fixant les conditions de vente des aliments composés destinés au bétail (B.O n° 1766 du 30 août 1946).

Justification du projet L'ensilage de maïs donne un lait riche en matières grasses en comparaison avec d'autres ensilages (tel que l'ensilage d'herbe), car il est relativement bien pourvu en matières grasses (environ 4% MS) et favorable aux fermentations butyriques. L'apport d'ensilage de maïs est aussi souvent associé à des taux protéiques élevés, en raison de sa valeur énergétique élevée.

Conditions d’approvisionnement Les matières premières utilisées sont d’origine végétale ou animale auxquelles des additifs tels que vitamines, minéraux, colorants et parfois antibiotiques sont incorporés. Les produits d’origine végétale comprennent notamment des céréales, des fèves, des graines oléagineuses, des huiles, du sucre et de la mélasse, des pulpes de betterave, etc. Les matières premières animales sont par exemple des sous-produits de l’industrie du pois son, du sang, des os, des graisses, du lait et d’autres sousproduits. La livraison peut se faire pour les conditionnements en vrac et en sac.

Conseils techniques L'ensilage est une méthode de conservation du fourrage par voie humide passant par la fermentation lactique anaérobie. En fonction des différentes techniques utilisées, on obtient un fourrage acide dont le pourcentage d'humidité varie de 50 % à 85 % environ. En règle générale, plus le taux de matière sèche est élevé, plus l'anaérobiose nécessaire au démarrage de la fermentation lactique est difficile à mettre en œuvre. L’ensilage de maïs est un élément incontournable pour la production laitière.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_11

Intitulé du projet Station de conditionnement pour fruits et légumes Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Lalla Mimouna Coût global du projet 4 000 000 MAD Capacité de production 12 000 tonnes par an Besoin en superficie 4 000 m² Besoin en RH 9 permanents Marchés potentiels : National et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région. Les infrastructures telles que les mûrisseries, les stations de conditionnement, les entrepôts frigorifiques ou les unités de congélation sont très peu nombreuses et appartiennent à quelques exploitants ou sociétés agricoles.

Justification du projet La proportion élevée de sols aptes aux cultures maraîchères, la dotation en eau, le faible coût relatif de la main d’œuvre et la proximité des grands centres de consommation, sont des avantages de taille pour la production de fruits et légumes dans cette région. Ces avantages se traduisent par la compétitivité de certains produits de la région. Leur meilleure valorisation nécessite l’installation de stations de conditionnement et d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse des capacités au niveau de la région ainsi que la tendance de la demande des agglomérations de Kenitra et de Rabat constituent de bonnes opportunités pour l’installation de nouvelles unités de conditionnement et d’entreposage de fruits et légumes.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_12

Intitulé du projet Conserverie de d’artichauts Secteur Industrie alimentaire

cœurs

Branche Transformation et conservation de légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Mnasra, Lalla Mimouna Coût global du projet 10 000 000 MAD Capacité de production 500 tonnes par an Besoin en superficie 2 500 m² Besoin en RH 35 permanents Marchés potentiels : National et Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35.000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326.000 tonnes), le melon (près de 180.000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité de la matière première à transformer, une main d’œuvre abondante et la proximité des grands marchés de consommation marocains et européens. En plus, le secteur maraîcher du Gharb s’est développé rapidement avec l'introduction des cultures sous-abris dans la zone côtière. L’activité de conservation de légumes est la plus importante en termes de valeur ajoutée et d’exploitations. Ainsi, cette activité a enregistré un chiffre d’affaire total de plus de 1,5 milliards de DH dont 1,3 milliards de DH à l’export. La culture de l’artichaut occupe une superficie de 2 424 ha avec une production de 40 818 tonnes.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients. Les principales régions de production des artichauts sont le Gharb, la basse moulouya, Sais et le Haouz.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_13

Intitulé du projet Conserverie de câpres Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bouselham, Mnasra, Souk Larbaa Coût global du projet 30 000 000 MAD Capacité de production 1 000 tonnes par an Besoin en superficie 3 000 m² Besoin en RH 70 permanents Marchés potentiels : L’Europe, l'Amérique du Nord, du Sud et Centrale, les pays de l'Asie, d'Australie et d'Afrique. Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Le ramassage des câpres et leur transformation est une pratique ancienne au Maroc, qui est le premier producteur mondial. On compte entre 20 et 25 unités de transformation. La quasi-totalité de la production est exportée : près de 11 000 tonnes en 2003 (6% des volumes totaux exportés) pour une valeur de 260 millions de DH (12% de la valeur total des exportations). Les exportations de câpres sont constituées de plusieurs types de produits à savoir les câpres en saumure, sans sucre, sauf conservées par gaz sulfureux, … Ces produits sont exportés soit en fûts soit en boites. Les câpres en fûts représentent 91% des quantités de câpres transformées exportées. Les exportations de câpres ont conquis plusieurs régions du monde autre que l’Europe : Amérique, Asie, Afrique et Australie. Au sein de l’Union européenne, l’Espagne et l’Italie sont les principaux importateurs de câpres avec respectivement de 3 637 T et 3 263 T pour la campagne 2002/2003, soit 75% des exportations vers les pays de l’UE. En amont, le câprier pousse au Maroc à l’état spontané selon deux origines (à l’état sauvage sur une superficie de 10 000 ha et en culture sur une superficie de 1 000 ha).

Justification du projet La matière première est disponible à l’état sauvage et le processus de production est relativement simple et consiste en un tri manuel suivi d’un calibrage, d’un lavage et de la mise en saumure en fûts pendant 2 à 3 mois. Les unités opérationnelles ne maîtrisent pas convenablement l’approvisionnement quantitatif et qualitatif puisqu’elles dépendent des intermédiaires et les pertes sont encore élevées. La valorisation du produit fini reste faible puisqu’une bonne partie est exportée en vrac et le reconditionnement est effectué dans les pays importateurs laissant échapper ainsi une valeur ajoutée pour les industriels marocains. Les caractéristiques de la demande mondiale sont favorables puisque le marché européen, qui représente les 2/3 de la consommation mondiale, est globalement en croissance. Il y a de la place pour tous les calibres : les gros calibres sont demandés par les pays latins (Italie, Espagne, Amérique Latine) et les petits calibres sont appréciés sur le marché américain.

Conditions d’approvisionnement La matière première est principalement localisée dans la région de Fès, Meknès et Marrakech. La récolte des câpres commence au moment de leur croissance avant leur ouverture pour pouvoir les tremper et les conserver par la suite.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_14

Intitulé du projet Unité de surgélation cœurs d’artichauts

des

Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa Coût global du projet 7 000 000 MAD Capacité de production 1 200 tonnes par an Besoin en superficie 4 000 m² Besoin en RH 15 permanents

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35.000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326.000 tonnes), le melon (près de 180.000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité de la matière première à transformer, une main d’œuvre abondante et la proximité des grands marchés de consommation marocains et européens. En plus, le secteur maraîcher du Gharb s’est développé rapidement avec l'introduction des cultures sous-abris dans la zone côtière. L’activité de conservation de légumes est la plus importante en termes de valeur ajoutée et d’exploitations. Ainsi, cette activité a enregistré un chiffre d’affaire total de plus de 1,5 milliards de DH dont 1,3 milliards de DH à l’export.

Marchés potentiels : Régional et national

La culture de l’artichaut occupe une superficie de 2 424 ha avec une production de 40 818 tonnes.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients. Les principales régions de production des artichauts sont le Gharb, la basse moulouya, Sais et le Haouz.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_15

Intitulé du projet Conditionnement de fraise surgelée et de fraise fraîche

la la

Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Souk Tlet, Mnasra Coût global du projet 18.000.000 MAD Capacité de production 1.600 tonnes par an Besoin en superficie 4 000 m² Besoin en RH 50 permanents

Données sur le secteur La culture du fraisier occupe une superficie de près de 2.000 hectares dont un peu plus de 600 ha dans la région du Gharb-ChrardaBeni Hssen. La production annuelle de cette région atteint près de 25.000 tonnes pour une production nationale de 70.000 tonnes ; le reste étant produit dans la province limitrophe de Larache. La production est destinée essentiellement à l’exportation sous forme de fraises surgelées. En effet, à l’image des fruits surgelés marocains de manière générale qui ont connu de meilleures performances sur les marchés étrangers, les exportations de fraises surgelées ont été multipliées par 7 en 10 ans, pour atteindre les 50.000 tonnes en 2003.

Justification du projet La région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen offre de bonnes conditions pour la culture du fraisier. Les faibles capacités de conditionnement dans la région par rapport au volume de la production ainsi que la tendance de la demande des marchés à l’exportation constituent de bonnes opportunités pour l’installation d’unités de conditionnement.

Marchés potentiels Fraise fraîche : Le Marché local, la France, l’Angleterre, la Suisse, la Belgique et la Hollande. Fraise surgelée : Certains pays asiatiques et américains.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Code d'usages international pour le traitement et la manutention des denrées surgelées (CAC/RCP 8-1976).

Conditions d’approvisionnement L’achat de la fraise fraîche peut se faire sur place. Le produit doit être manipulé dans des conditions propres à en conserver la qualité au cours du transport, de l'entreposage et de la distribution, jusqu'au moment de la vente finale inclusivement. Il est recommandé que, tout au long des opérations d'entreposage, de transport, de distribution et de vente au détail, le produit soit manutentionné en conformité des dispositions du Code d'usages international recommandé pour le traitement et la manutention des denrées surgelées (CAC/RCP 8-1976).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_16

Intitulé du projet Conditionnement entreposage de légumes

fruits

et et

Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Slimane, Souk Larbaa, Mograne, Sidi Allal Tazi, Souk Tlet, Moulay Bousselham, M’Saada, Sidi Kacem, Mechraâ Bel Ksiri, Had Kourt Coût global du projet 7 000 000 MAD Capacité de production 1 200 tonnes par an Besoin en superficie 4 000 m² Besoin en RH 20 permanents Marchés potentiels Régional et national Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35.000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326.000 tonnes), le melon (près de 180.000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet La valorisation des productions des fruits et légumes nécessite l’installation de stations de conditionnement et d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse des capacités au niveau de la région ainsi que la tendance de la demande des agglomérations de Kenitra et de Rabat constituent de bonnes opportunités pour l’installation de nouvelles unités de conditionnement et d’entreposage de fruits et légumes. En fait, les infrastructures telles que les mûrisseries, les stations de conditionnement, les entrepôts frigorifiques ou les unités de congélation sont très peu nombreuses et appartiennent à quelques exploitants ou sociétés agricoles.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients. Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_17

Intitulé du projet Produits dérivés de la tomate : concentré / Séchée / Sauces Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conditionnement des Fruits et légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mnasra, Machraa Belksiri Coût global du projet 55.500.000 MAD Capacité de production 500 tonnes par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels : Local 70% - Export 30% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur La production annuelle du Maroc s’élève à 800 000 tonnes de tomates fraîches, dont la majeure partie est absorbée par le marché de frais. La région du Gharb (NordEst) cultive une superficie de l’ordre de 3 000 ha de tomate industrielle. La région de Tanger – Tétouan (Nord) où se trouve la CIL (Loukus) comprend une superficie de l’ordre 500 ha. Il existe d’autres régions de production (Chaouia – Ouardigha, Tadla, et Meknès, du Centre-Ouest au centre-Est du pays) mais dont la superficie ne dépasse pas 100 ha. L’essentiel de la production industrielle est destiné à la transformation en concentrés et dérivés.

Justification du projet La production importante de la région en tomates fraîches offre des opportunités d’investissement importantes, surtout au niveau de l’aval de la filière, en l’occurrence l’industrie alimentaire. Une de ces opportunités est la production des produits dérivés de la tomate, dont la demande aujourd’hui est de plus en plus forte au niveau national. Parmi les produits les plus demandés de cette industrie on retrouve : la tomate pelée, ketchup, tomate en cube et tomate séchée. La place de la région lui permet d’être en proximité aussi bien des producteurs de la tomate que des consommateurs.

Conditions d’approvisionnement La matière première est importante au niveau de la région, dont l’essentiel est destiné à la transformation en concentrés et dérivés. Cependant, il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients. Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_18

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Données sur le secteur

Coût global du projet 8.700.000 MAD

La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région. Les infrastructures telles que les mûrisseries, les stations de conditionnement, les entrepôts frigorifiques ou les unités de congélation sont très peu nombreuses et appartiennent à quelques exploitants ou sociétés agricoles.

Capacité de production 500 tonnes par an

Justification du projet

Intitulé du projet Semi-conserves d’olives, câpres, fonds d’artichauts, asperges et autres légumes Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Lalla Mimouna

Besoin en superficie 4 000 m² Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels : Local 50% - Export 50% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La proportion élevée de sols aptes aux cultures maraîchères, la dotation en eau, le faible coût relatif de la main d’œuvre et la proximité des grands centres de consommation, sont des avantages de taille pour la production de fruits et légumes dans cette région. Ces avantages se traduisent par la compétitivité de certains produits de la région. Leur meilleure valorisation nécessite l’installation de stations de conditionnement et d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse des capacités au niveau de la région ainsi que la tendance de la demande des agglomérations de Kenitra et de Rabat constituent de bonnes opportunités pour l’installation de nouvelles unités de conditionnement et d’entreposage de fruits et légumes.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_19

Intitulé du projet Unité de séchage, déshydratation et lyophilisation de la tomate Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 60 000 000 MAD Capacité de production 2 500 tonnes par an Besoin en superficie 30.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Local 30% et exportation 70% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production annuelle du Maroc s’élève à 800 000 tonnes de tomates fraîches, dont la majeure partie est absorbée par le marché de frais. La région du Gharb (Nord-Est) cultive une superficie de l’ordre de 3 000 ha de tomate industrielle. La région de Tanger – Tétouan (Nord) où se trouve la CIL (Loukous) comprend une superficie de l’ordre 500 ha. Il existe d’autres régions de production (Chaouia – Ouardigha, Tadla, et Meknès, du Centre-Ouest au centre-Est du pays) mais dont la superficie ne dépasse pas 100 ha. L’essentiel de la production industrielle est destiné à la transformation en concentrés et dérivés.

Justification du projet La production importante de la région en tomates fraîches offre des opportunités d’investissement importantes, surtout au niveau de l’aval de la filière, en l’occurrence l’industrie alimentaire. Une de ces opportunités est la production des produits dérivés de la tomate, dont la demande aujourd’hui est de plus en plus forte au niveau national. Parmi les produits les plus demandés de cette industrie on retrouve : la tomate pelée, ketchup, tomate en cube et tomate séchée. La place de la région lui permet d’être en proximité aussi bien des producteurs de la tomate que des consommateurs.

Conditions d’approvisionnement La matière première est importante au niveau de la région, dont l’essentiel est destiné à la transformation en concentrés et dérivés. Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_20

Intitulé du projet Unité de produits alimentaires surgelés (Légumes et fruits) Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Lalla Mimouna Coût global du projet 13.000.000 MAD Capacité de production 4 tonnes par jour Besoin en superficie 3 000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels : Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production agricole au niveau de la région est d’une importance assurant au branche du secteur de l’industrie agroalimentaire de disposer de matière première suffisante et de bonne qualité. La production des produits surgelés est une de ces branches, qui, au niveau de la région de GCBH, reste insuffisante pour d’une part absorber la production agricole qui lui est destinée, et d’autre part atteindre la taille critique permettant au secteur dans son ensemble de devenir compétitif en constituant une débouché de la production agricole.

Justification du projet L’importance de la production agricole de la région offre plusieurs opportunités d’investissements tout au long de la filière. Parmi ces opportunités les produits surgelés destinée à la consommation. Sur un autre registre la consommation des produits surgelés, respectant les conditions d’hygiènes, est de plus en plus importante, surtout avec le changement des modes de consommation de la population marocaine et de la région en particulier. Fruits congelés (fraises, abricots, pêches, pulpes), Légumes congelés (petits pois, carottes, betteraves, etc.)

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première ne constitue nullement une barrière à l’entrer dans ce secteur. Toutefois cette industrie est soumise à des conditions d’hygiène très stricte nécessitant une expérience et une connaissance approfondie. En plus elle demande des procédures de production spécifiques : Ligne de préparation (lavage et triage), tunnel de surgélation, chambres de conservation, machines de conditionnement, cuiseur à vapeur, équipements spéciaux pour fruits et légumes (dénoyauteuse, calibreuse...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_21

Intitulé du projet Unité de alimentaires (Fruits)

produits surgelés

Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Lalla Mimouna Coût global du projet 13.000.000 MAD Capacité de production 4 tonnes par jour Besoin en superficie 3 000 m² Besoin en RH 50 personnes

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production agricole au niveau de la région est d’une importance assurant au branche du secteur de l’industrie agroalimentaire de disposer de matière première suffisante et de bonne qualité. La production des produits surgelés est une de ces branches, qui, au niveau de la région de GCBH, reste insuffisante pour d’une part absorber la production agricole qui lui est destinée, et d’autre part atteindre la taille critique permettant au secteur dans son ensemble de devenir compétitif en constituant une débouché de la production agricole.

Justification du projet L’importance de la production agricole de la région offre plusieurs opportunités d’investissements tout au long de la filière. Parmi ces opportunités les produits surgelés destinée à la consommation. Sur un autre registre la consommation des produits surgelés, respectant les conditions d’hygiènes, est de plus en plus importante, surtout avec le changement des modes de consommation de la population marocaine et de la région en particulier. Fruits congelés (fraises, abricots, pêches, pulpes), Légumes congelés (petits pois, carottes, betteraves, etc.)

Conditions d’approvisionnement Marchés potentiels : Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L’approvisionnement en matière première ne constitue nullement une barrière à l’entrer dans ce secteur. Toutefois cette industrie est soumise à des conditions d’hygiène très stricte nécessitant une expérience et une connaissance approfondie. En plus elle demande des procédures de production spécifiques : Ligne de préparation (lavage et triage), tunnel de surgélation, chambres de conservation, machines de conditionnement, cuiseur à vapeur, équipements spéciaux pour fruits et légumes (dénoyauteuse, calibreuse...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_22

Intitulé du projet Unité de production de tomates séchées Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de tomates Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Moulay Bousselham Coût global du projet 1.800.000 MAD Capacité de production Capacité moyenne unitaire de l’ordre de 100 T/an Besoin en superficie 2.500 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Export Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région. Les infrastructures telles que les mûrisseries, les stations de conditionnement, les entrepôts frigorifiques ou les unités de congélation sont très peu nombreuses et appartiennent à quelques exploitants ou sociétés agricoles.

Justification du projet La production est destinée à l’exportation, donc il est recommandé de respecter les conditions d’hygiène, de bien choisir les tomates mures, de les laver avant et après séchage, de les protéger contre les insectes, les oiseaux et les conserver après séchage dans des chambres réfrigérées.

Conditions d’approvisionnement Ces unités pourraient avoir une capacité moyenne unitaire de l’ordre de 100 T/an de produits finis nets soit l’équivalent de 1 000 T de tomates fraîches transformées par an. Plusieurs variantes sont possibles pour un tel projet : -Tomate séchée au soleil -Tomate semi-déshydratée (par le biais d’un séchoir industriel) -Tomate séchée à l’huile d’olive

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_23

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Données sur le secteur En 2007, la production mondiale en agriculture biologique a dépassé les 31 millions d'hectares.

Intitulé du projet Confitures BIO (Figues, orange, Fraise…) Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Ensemble des communes Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production 300 T par an Besoin en superficie 1.500 m²

Les produits "Bio" couvrent 25 mille hectares de terres agricoles au Maroc depuis 1986, répartis sur 54 produits (légumes, fruits et plantes médicinales et aromatiques).

Justification du projet Aussi bien au niveau national qu’international, la production et la demande des produits BIO ne cessent d’augmenter.

Conseils La culture Biologique recourt à des pratiques culturales et d'élevages soucieux du respect des équilibres naturels. Elle se définit par l'utilisation de pratiques spécifiques de production, l'utilisation d'une liste positive et limitée de produits de fertilisation, de traitement, de stockage et de conservation.

Besoin en RH 20 personnes

Les règles de base sont l'interdiction d'utiliser des engrais chimiques et pesticides ou herbicides de synthèse.

Marchés potentiels : National et international

Les productions fruitières biologiques émanent de deux régions essentielles : Marrakech et Agadir.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Il serait opportun de mettre en place les conditions de production biologique au sein de l’unité de conserves et auprès des agriculteurs.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur

Fiche de projet n° S_IAA_24

Le secteur marocain des conserves végétales a connu une croissance constante. Sa production a passé de 150 000 tonnes en 1990 et 230 000 tonnes en 2000. Sa contribution au produit intérieur brut est devenue est importance et ses performances moyennes remarquables : Production 5 milliards de Dirhams Exportations 3,75 milliards de Dirhams Investissements Annuels 250 millions de Dirhams Valeur Ajoutée 1 milliards de Dirhams Emploi 20 000 emplois directs permanents Le secteur offre toujours des opportunités d’investissement surtout avec le développement technologique qu’il connaît et la diversification de ses produits.

Intitulé du projet Unité de conditionnement de fruits et légumes frais Secteur Industrie alimentaire Branche Conditionnement de fruits et légumes frais Lieu d’implantation proposé Commune : Ensemble des communes

Justification du projet Le secteur n’exprime toutefois pas encore tout son potentiel eu égard à la biodiversité climatique et culturale du Maroc, et de la région en particulier, à la qualité de ses ressources humaines et à sa proximité de marchés porteurs. Ces potentialités et ces performances font du secteur marocain des conserves végétales un élément clé de la stratégie de développement socio-économique du Maroc de demain, un opérateur économique dynamique et bien intégré aux zones de libre échange établies avec l’Union Européenne, les pays arabes et les Etats-Unis d’Amérique

Coût global du projet 11.500.000 MAD Capacité de production 600 tonnes/an de fruits légumes

et

Besoin en superficie 5 000 m²

Conditions d’approvisionnement

Besoin en RH 40 personnes

Vu la richesse de la production agricole de la région, l’approvisionnement en matière première ne constitue pas une entrave. Toutefois l’unité doit se doter des installations adéquates pour assurer la qualité de production estimée.

Marchés potentiel Local, national et export.

Généralement, les produits seront triés et mis en cartons, en filets ou en barquettes pour être exportés Liste des produits :

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 -

Courgettes Melons Fraises Artichauts

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_25

Intitulé du projet Unité de surgélation de fruits et légumes : Fèves, petits pois, oignons, fonds et cœurs d’artichauts, melons, fraises, pêches et poires Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Had Kort, Sidi Slimane,Moulay Bousselham,Machraa Belksiri, Souk Tlat Lgharb, Lamnasra, Arbaoua, Khnichat Coût global du projet 20.500.000 MAD Capacité de production 5.000 tonnes/an de fruits légumes

et

Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Local, national, export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur La production agricole au niveau de la région est d’une importance assurant au branche du secteur de l’industrie agroalimentaire de disposer de matière première suffisante et de bonne qualité. La production des produits surgelés est une de ces branches, qui, au niveau de la région de GCBH, reste insuffisante pour d’une part absorber la production agricole qui lui est destinée, et d’autre part atteindre la taille critique permettant au secteur dans son ensemble de devenir compétitif en constituant une débouché de la production agricole.

Justification du projet L’importance de la production agricole de la région offre plusieurs opportunités d’investissements tout au long de la filière. Parmi ces opportunités les produits surgelés destinée à la consommation. Sur un autre registre la consommation des produits surgelés, respectant les conditions d’hygiènes, est de plus en plus importante, surtout avec le changement des modes de consommation de la population marocaine et de la région en particulier. Fruits congelés (fraises, abricot, pêches, pulpes), Légumes congelés (petits pois, carottes, betteraves, etc.)

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première ne constitue nullement une barrière à l’entrer dans ce secteur. Toutefois cette industrie est soumise à des conditions d’hygiène très stricte nécessitant une expérience et une connaissance approfondie. En plus elle demande des procédures de production spécifiques : Ligne de préparation (lavage et triage), tunnel de surgélation, chambres de conservation, machines de conditionnement, cuiseur à vapeur, équipements spéciaux pour fruits et légumes (dénoyauteuse, calibreuse...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_26

Intitulé du projet Unité de surgélation de frites Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 18.500.000 MAD Capacité de production 1 500 tonnes/an de frites et de 500 tonnes de flocons pour la purée de pomme de terre Besoin en superficie 5000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Local et national Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région. Les infrastructures telles que les mûrisseries, les stations de conditionnement, les entrepôts frigorifiques ou les unités de congélation sont très peu nombreuses et appartiennent à quelques exploitants ou sociétés agricoles.

Justification du projet La proportion élevée de sols aptes aux cultures maraîchères, la dotation en eau, le faible coût relatif de la main d’œuvre et la proximité des grands centres de consommation, sont des avantages de taille pour la production de fruits et légumes dans cette région. Ces avantages se traduisent par la compétitivité de certains produits de la région. Leur meilleure valorisation nécessite l’installation de stations de conditionnement et d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse des capacités au niveau de la région ainsi que la tendance de la demande des agglomérations de Kenitra et de Rabat constituent de bonnes opportunités pour l’installation de nouvelles unités de conditionnement et d’entreposage de fruits et légumes.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients. Il faut s’assurer aussi de l’approvisionnement en matières premières à faible taux de sucres réducteurs pour éviter la caramélisation lors du passage en friteuse.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_27

Intitulé du projet Unité de production de chips de pommes de terre Secteur Industrie agro-alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 3.250.000 MAD Capacité de production 1.200 kg par jour Besoin en superficie 2000m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Marché régional, international

national,

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Données sur le secteur L’agriculture, l’élevage les équipements agricoles et l’agro-industrie, constituent incontestablement le secteur le plus prometteur de la région. Bénéficiant de conditions naturelles exceptionnelles par rapport aux autres régions du Maroc en termes de ressources en eau (précipitations assez abondantes, barrages permettant d’irriguer de grandes superficies, infrastructures d’irrigation) et en sols favorables et diversifiés permettant la pratique de cultures nombreuses et à forte valeur ajoutée. Ce secteur bénéficie de tous les atouts pour se développer et hisser la région parmi les principales zones d’approvisionnement du Maroc en denrées alimentaires (céréales, légumineuses, cultures industrielles, produits maraîchers, agrumes, rosacées, produits laitiers, viandes banches et viandes rouges, miel, etc.).

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité de la matière première, une main d’œuvre abondante et la proximité des grands marchés de consommation et d’écoulement.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en pomme de terre fournies en général par des partenaires locaux. Pour cela il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients. Prévoir également un approvisionnement en film en plastique pour l’emballage et en huiles alimentaires pour la friture.

Conseils techniques Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Prévoir un équipement comprenant essentiellement des systèmes de contrôle, des convoyeurs en bande, des convoyeurs vibrant de réception et de séparation d’huile, des convoyeurs vibrants de distribution et d’inspection, des convoyeurs d’alimentation coupeuse, des convoyeurs d’alimentation peseuse, des calibreurs de diamètre, des coupeurs de pomme de terre, des trieuses et des pompes à produits alimentaires.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_28

Intitulé du projet Séchage de vigne Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de fruits et de légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Sidi Kacem Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production 2000 T/an Besoin en superficie 1000 m² Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels Marché national Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La région présente de grandes potentialités de production de raisins (8.800T actuellement et potentiellement 75.000T). Cette Culture est en extension dans le Gharb notamment avec l'introduction de nouvelles technologies (variétés productives, irrigation localisée, conduite en pergola…).

Justification du projet - Inexistence d'unité de transformation de la production de raisins dont la grande partie est consommée à l'état frais. - Grande importation de raisins secs sur le marché national actuellement.

Conditions d’approvisionnement Les raisons doivent être traitées efficacement car s’il est contaminé de manière généralisée par les moisissures : - il ne peut pas être utilisé pour la consommation humaine, ni frais, ni comme raisin sec, ni pour l'élaboration de moût concentré, de jus de raisin, de vinaigre ; - son utilisation doit être limitée à la distillation. Quelques conseils techniques pour la production destinée à l’obtention de raisins secs : - Trier les raisins en éliminant les grains endommagés et contaminés. - Favoriser le séchage progressif et uniforme de toutes les parties de la grappe. - Pour les conditions particulières de séchage en plein air, il est recommandé d’effectuer le séchage dans des conditions bien ventilées et de couvrir les raisins pendant la nuit pour éviter la condensation de l’humidité.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_29

Intitulé du projet Conserverie végétale Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de fruits et légumes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 600 T/Jour Besoin en superficie 9.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels National et Export Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Le secteur maraîcher du Gharb commence à se développer avec l'introduction des cultures sous-abris dans la zone côtière. L’activité de conservation de légumes est la plus importante en termes de valeur ajoutée et surtout en termes d’exploitations. Ainsi, cette activité a enregistré un chiffre d’affaire total de plus de 1,5 milliards de DH dont 1,3 milliards de DH à l’export.

Justification du projet - Potentiel de la production en augmentation prévisible avec les travaux actuels d'aménagement, de réhabilitation et d'extension des secteurs irrigués.

- Proximité des grands centres d'écoulement des produits finis. - Larges possibilités d'exportation compte tenu de la forte demande des marchés extérieurs. - Volonté des producteurs de s'organiser en OPA pour la production et la commercialisation du produit.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_30

Intitulé du projet Les escargots en conserves Secteur Industrie alimentaire Branche Escargot préparé et conservé Lieu d’implantation proposé Provinces de Kénitra et Sidi Kacem Coût global du projet 4.750.000 MAD Capacité de production 45 millions d'escargots par an Besoin en superficie 2.500 m² Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels Export 80%, National 20% Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L'escargot fait aujourd'hui l'objet d'un commerce intense. Il est très apprécié dans l'alimentation et constitue une source importante de protéine animale et rentre également dans la pharmacopée où il est utilisé entre autre pour le traitement de l'asthme et l'hémorroïde. En outre, sa coquille sert d'emballage pour les anti-poisons et les antivenimeux et est aussi utilisée pour amender les sols acides et dans l'alimentation de la volaille. De nos jours, l'expansion de l'aménagement des terres hydro morphes qui sont leurs habitats de prédilection et le prélèvement intense occasionnent une raréfaction de l'escargot et menacent dangereusement la survie de l'espèce.

Justification du projet La région offre les conditions propices à la réalisation d’un tel projet vu son écosystème adapté et la disponibilité des matériaux nécessaires à la nourriture des escargots. Le produit est demandé au niveau international, en l’occurrence en Europe.

Conseils techniques L’entrepreneur peut s’inspirer des pratiques accumulées par les pays avancés, tel que la France. Il est toutefois appelé à assurer une traçabilité précise, conforme aux normes et standards internationaux pour pourvoir conquérir le marché international. D’un point de vu technico-commercial, il est recommandé: • Que le Bouillon soit enrichi en aromates • De proposer des boîtes équipées de couvercles à ouverture facile • De Proposer une gamme de conserves en formats multiples ; • D’adopter une stratégie de communication adaptée;

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Fiche de projet n° S_IAA_31

Intitulé du projet Terrine d'escargot gentiane

à

la

Secteur Industrie alimentaire Branche Escargot préparé et conservé Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 4 800 000 MAD Capacité de production 750 T par an. Besoin en superficie 2500 m² de bâtiments

Données sur le secteur L'escargot fait aujourd'hui l'objet d'un commerce intense. Il est très apprécié dans l'alimentation et constitue une source importante de protéine animale et rentre également dans la pharmacopée où il est utilisé entre autre pour le traitement de l'asthme et l'hémorroïde. En outre, sa coquille sert d'emballage pour les anti-poisons et les antivenimeux et est aussi utilisée pour amender les sols acides et dans l'alimentation de la volaille. De nos jours, l'expansion de l'aménagement des terres hydro morphes qui sont leurs habitats de prédilection et le prélèvement intense occasionnent une raréfaction de l'escargot et menacent dangereusement la survie de l'espèce.

Justification du projet La région offre les conditions propices à la réalisation d’un tel projet vu son écosystème adapté et la disponibilité des matériaux nécessaires à l’élevage des escargots. Le produit est demandé au niveau international, en l’occurrence en Europe.

Besoin en RH 40 personnes

Conseils techniques

Marchés potentiels Export 80%, National 20%

Composition : farce campagne et escargot, ail, persil, oignon, gentiane (1,3%), œuf, farine, sel, poivre.

Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Il faudra assurer une traçabilité précise, conforme aux normes et standards internationaux pour pourvoir conquérir le marché international. D’un point de vu technico-commercial, il est recommandé : •

Que le Bouillon soit enrichi en aromates ;



De proposer des boîtes équipées couvercles à ouverture facile ;



De Proposer une gamme de conserves en formats multiples ;



D’adopter une communication adaptée.

stratégie

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

de

de

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Fiche de projet n° S_IAA_32

Intitulé du projet Unité moyenne de transformation de la niora (pimenterie) Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et Conditionnement des légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Lalla Mimouna Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production 900 tonnes par an Besoin en superficie 2500 m² Besoin en RH 8 permanents Marchés potentiels : National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le Maroc consacre une superficie de 700.000 ha à la culture des fruits et légumes avec une production globale de 3 millions tonnes de fruits et 4 millions tonnes de légumes. Le secteur maraîcher du Gharb se compose des productions de saison, des primeurs et des productions destinées à la transformation. Ce secteur a connu un développement avec l'introduction des cultures sous-abris dans la zone côtière. A partir du début des années 80, le secteur maraîcher s’est orienté vers les cultures d'exportation, en particulier la fraise, et les cultures de transformation notamment le niora et la tomate La niora est une plante annuelle appartenant à la famille des solanacées. Le fruit est la base d’un condiment en poudre, utilisé comme colorant alimentaire dans la cuisine marocaine. Le secteur de la production de piment est important eu égard aux superficies cultivées et à la production relativement importante du piment moulu. Cette activité contribue activement à l’amélioration du niveau socioéconomique.

Justification du projet La proportion élevée de sols aptes aux cultures maraîchères, la dotation en eau, le faible coût relatif de la main d’œuvre et la proximité des grands centres de consommation, sont des avantages de taille pour la production et la transformation de la niora dans la région.

Conseils techniques La transformation de la niora en piment passe par la réception de la matière première, la mouture, l’huilage et malaxage, le tamisage, le conditionnement, le stockage et enfin la livraison.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant auprès des producteurs de la région ou des régions avoisinantes.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_33

Intitulé du projet Unité de transformation des pruneaux Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Moulay Bousselham, Sidi Slimane, Sidi Kacem, Ouezzane Coût global du projet 6.500.000 MAD Capacité de production 13.000 tonnes par an Besoin en superficie 3.500 m² Besoin en RH 25 permanents Marchés potentiels : National et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet La demande tant à l’étranger qu’au niveau national est très importante et la possibilité de produire une grande quantité localement sont les principales justifications de ce projet. Les pruneaux transformés par cette unité devront être présentés sous différentes formes : - les crèmes de pruneaux : elles sont fabriquées à partir de pruneaux, généralement de petits calibres, tamisés pour éliminer les noyaux. On ajoute du sucre et on stérilise. - les pruneaux au sirop : ce sont des pruneaux réhydratés, mis en boîte ou bocal avec un sirop de sucre et stérilisés. - les jus de pruneaux : ils sont obtenus après diffusion complète dans l’eau chaude. La matière sèche recueillie est ensuite concentrée sous forme de jus de pruneaux très appréciés en alimentation diététique. - le concentré de jus de pruneaux : il est obtenu en concentrant les bains de réhydratation de pruneaux puis en les re-diluant pour obtenir un produit utilisé notamment en diététique. - les pâtes de pruneaux : elles sont obtenues en malaxant de la pulpe de pruneaux et additionnées ou non de sucre, de pectine de pomme et d’aromatisant. Cette pâte est notamment utilisée pour la préparation de pruneaux fourrés.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_34

Intitulé du projet Unité de conditionnement de prunes secs Secteur Industrie alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham, Sidi Slimane Coût global du projet 5 000 000 MAD Capacité de production 10 000 tonnes par an Besoin en superficie 5 000 m² Besoin en RH 12 permanents Marchés potentiels : National et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet La demande tant à l’étranger qu’au niveau national est très importante et la possibilité de produire une grande quantité localement sont les principales justifications de ce projet. Les produits séchés traditionnellement comprennent des fruits (exemple : les raisins, les figues, les prunes et les dattes), des légumes et d'autres plantes. Les techniques utilisées sont très rudimentaires et consistent a exposer au soleil des produits entiers si ils sont de petites tailles, ou très riches en sucre (raisins, figues, prunes) ou des produits découpés si ils sont plus gros et riches en humidité . L'exposition se fait directement sur le sol. Certains produits reçoivent avant exposition au soleil un traitement pour conserver les couleurs, ou les caractéristiques du produit. Cette technique peu capitalistique et simple constitue une opportunité à saisir. Eventuellement, il serait important que l’unité créée apporte des améliorations aux techniques actuelles de séchages solaire consistent à savoir : - Mettre les produits à l'abri des poussières pendant le séchage et le stockage - Traiter les produits contre les insectes et acariens - réduire au minimum les transports des fruits frais, très vulnérables aux manipulations

Conditions d’approvisionnement Le stockage des prunes séchés se fait dans des sacs en papier ou en jute ou dans des couffins. Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients. Soit, il faut intégrer la filière en amont et assurer une autoproduction.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_35

Intitulé du projet Mini – Huilerie d’olive Secteur Industrie alimentaire Branche Fabrication d'huiles d'olives Lieu d’implantation proposé Commune : Arbaoua, Ain Dfali, Selfat, Had Kort, Béni Quolla, Sidi Ameur El Hadi, Jorf El Melha, Mechraâ Bel Ksiri, Béni Oual, Sidi Azouz, Moulay Abdel Kader, Sidi Ameur El Hadi, Sidi Ahmed Ben Aisaa, Lmrabih, Sidi M’hamed Chelh, Taoughlit, Khénichet, Bab Tiouka, Zirara, Zagota, Selfat, Tekna, Bir Taleb, Chbanat, Masmouda, Mzefouren, Sidi Redouane, Ounana, Lamjaara, Teroual, Zghira, Sidi Hmed Cherif, Sidi Bousber, Nouirat, Sidi Al Kamal, Rmilat, Sefsaf, Al Haouafat, Dar Laaslouji, Lalla Mimouna, Sidi Boubker Coût global du projet 1.300.000 MAD Capacité de production 10 tonnes par jour Besoin en superficie 400 m² Besoin en RH 8 personnes Marchés potentiels : Régional et national Informations utiles : Contacts : 

CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’oléiculture revêt un intérêt particulier dans le tissu économique national en général et l’économie rurale en particulier. La superficie occupée par l’olivier a atteint 477 mille hectares avec une production de 455 mille tonnes durant la campagne 2001-2002. En ce qui concerne les unités de trituration des olives, le Maroc compte 287 unités d’une capacité nominale de 506 mille tonnes par an ainsi que de plus de 15 mille mâasras (unités traditionnelles de trituration des olives). Les unités industrielles de trituration installées dans la région du GharbChrarda-Beni Hssen sont au nombre de 9 et ont une capacité nominale de plus de 10 mille tonnes par an. La région compte aussi 778 mâasras. L’ensemble de ces unités (industrielles et mâasras) se situent dans la province de Sidi Kacem.

Justification du projet La caractéristique la plus importante pour l’huile d’olive est sa faible consommation par tête au Maroc comparée avec celle de nos voisins et concurrents immédiats (Espagne, Tunisie). En moyenne la consommation au Maroc ne dépasse pas les 3 kg/personne/an, contre 10/12 pour l’Espagne. Cette caractéristique correspond aussi à un faible taux d’industrialisation de la transformation. Par conséquent, le marché de l’huile d’olive au Maroc est porteur en termes de demande car la consommation par tête y demeure réduite. Les capacités de transformation moderne dans la région sont limitées à quelques unités. La compétitivité de la production agricole régionale est avérée et la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen participe par une production de plus 7 mille tonnes et une superficie de près de 7 mille hectares. Cette production est appelée à augmenter du fait des extensions des plantations oléicoles et de l’introduction de nouvelles variétés à forte productivité dans le cadre des programmes projetés par le département de l’agriculture. Par ailleurs, la rentabilité étudiée dans les projets en cours pour ce type d’investissement serait assurée par l’amélioration des taux d’extraction qui permettrait d’accroître la marge de transformation de 1 à 2 DH/kg d’huile brute.

Conditions d’approvisionnement Au niveau de la région de GCBH, le producteur peut produire pour son propre compte ou acheter auprès des producteurs locaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_36

Intitulé du projet Huilerie d’olive en flux continu Secteur Industrie alimentaire Branche Fabrication d'huiles d'olives Lieu d’implantation proposé Commune : : Arbaoua, Ain Dfali, Selfat, Had Kort, Béni Quolla, Sidi Ameur El Hadi, Jorf El Melha, Mechraâ Bel Ksiri, Béni Oual, Sidi Azouz, Moulay Abdel Kader, Sidi Ameur El Hadi, Sidi Ahmed Ben Aisaa, Lmrabih, Sidi M’hamed Chelh, Taoughlit, Khénichet, Bab Tiouka, Zirara, Zagota, Selfat, Tekna, Bir Taleb, Chbanat, Masmouda, Mzefouren, Sidi Redouane, Ounana, Lamjaara, Teroual, Zghira, Sidi Hmed Cherif, Sidi Bousber, Nouirat, Sidi Al Kamal, Rmilat, Sefsaf, Al Haouafat, Dar Laaslouji, Lalla Mimouna, Sidi Boubker Coût global du projet 4 000 000 MAD Capacité de production 60 tonnes par jour Besoin en superficie 840 m² Besoin en RH 14 permanents Marchés potentiels : Régional et national Informations utiles : Contacts : 

CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’oléiculture revêt un intérêt particulier dans le tissu économique national en général et l’économie rurale en particulier. La superficie occupée par l’olivier a atteint 477 mille hectares avec une production de 455 mille tonnes durant la campagne 2001-2002. En ce qui concerne les unités de trituration des olives, le Maroc compte 287 unités d’une capacité nominale de 506 mille tonnes par an ainsi que de plus de 15 mille mâasras (unités traditionnelles de trituration des olives). Les unités industrielles de trituration installées dans la région du GharbChrarda-Beni Hssen sont au nombre de 9 et ont une capacité nominale de plus de 10 mille tonnes par an. La région compte aussi 778 mâasras. L’ensemble de ces unités (industrielles et mâasras) se situent dans la province de Sidi Kacem.

Justification du projet La caractéristique la plus importante pour l’huile d’olive est sa faible consommation par tête au Maroc comparée avec celle de nos voisins et concurrents immédiats (Espagne, Tunisie). En moyenne la consommation au Maroc ne dépasse pas les 3 kg/personne/an, contre 10/12 pour l’Espagne. Cette caractéristique correspond aussi à un faible taux d’industrialisation de la transformation. Par conséquent, le marché de l’huile d’olive au Maroc est porteur en termes de demande car la consommation par tête y demeure réduite. Les capacités de transformation moderne dans la région sont limitées à quelques unités. La compétitivité de la production agricole régionale est avérée et la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen participe par une production de plus 7 mille tonnes et une superficie de près de 7 mille hectares. Cette production est appelée à augmenter du fait des extensions des plantations oléicoles et de l’introduction de nouvelles variétés à forte productivité dans le cadre des programmes projetés par le département de l’agriculture. Par ailleurs, la rentabilité étudiée dans les projets en cours pour ce type d’investissement serait assurée par l’amélioration des taux d’extraction qui permettrait d’accroître la marge de transformation de 1 à 2 DH/kg d’huile brute.

Conditions d’approvisionnement Au niveau de la région de GCBH, le producteur peut produire pour son propre compte ou acheter auprès des producteurs locaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_37

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur

Besoin en superficie 10.000 m²

L'essentiel de la consommation des corps gras au Maroc concerne les huiles végétales raffinées. Ces huiles proviennent du raffinage des huiles brutes importées et des huiles brutes produites localement à partir de la trituration des graines. Pour la trituration, le Maroc traite aussi bien des graines importées que des graines produites localement. La capacité de trituration des unités industrielles au niveau national est de l’ordre de 500 à 600 000 T/an alors que les écrasements moyens au cours des 5 dernières années ont atteint 300 000 tonnes/an. Les huiles végétales brutes produites localement par les unités de trituration sont vendues aux raffineries. L'industrie de raffinage des huiles végétales au Maroc compte une dizaine d'unités ayant une capacité nominale de raffinage de 312 000 T/an dont 18 000 T/an (soit près de 6%) pour la seule huilerie installée dans la région du Gharb-ChrardaBeni Hssen. Cette filière se caractérise par l’importance des produits dérivés, les tourteaux, qui sont destinés à la fabrication d’aliments de bétail. La production de graines oléagineuses au Maroc est constituée essentiellement de graines de tournesol. Les autres graines (coton, soja et colza, carthame) ne représentent que des parts très faibles dans la production nationale. La production d'arachide quant à elle est destinée à la consommation humaine directement.

Besoin en RH 50 personnes

Justification du projet

Intitulé du projet Huilerie en container Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Slimane, Souk Larbaa, Mograne, Sidi Allal Tazi, Souk Tlet, Moulay Bousselham, M’Saada, Sidi Kacem, Mechraâ Bel Ksiri, Had Kourt Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 20 tonnes par jour pour l’huilerie et 5 tonnes par jour pour le raffinage

Marchés potentiels National 80% et export 20% Informations utiles : Contacts : 

CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La demande d’huile de graines s’est accrue rapidement durant les 20 dernières années. La consommation par tête a en effet augmenté de 4% par an et la demande globale de 5,2% bien qu’une stagnation de la demande par tête ait été enregistrée durant les dernières années. La demande de tourteaux se caractérise également par une dynamique favorable à cause de la croissance de la demande des viandes de volailles. Il existe des possibilités futures pour la commercialisation d'une huile de tournesol raffinée de bonne qualité en tant que produit distinct destiné à la consommation humaine.

Conditions d’approvisionnement La région présente des atouts manifestes en matière de maîtrise de l’approvisionnement puisque la production des graines oléagineuses dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de 25 000 tonnes de tournesol (soit 75% de la production nationale) sur une superficie de 35 500 ha, de 19 000 tonnes d’arachide (soit 48% de la production nationale).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_38

Données sur le secteur Intitulé du projet Huilerie moderne Secteur Agrobusiness

Branche Industrie Agroalimentaire

Lieu d’implantation proposé Commune : Ouezzane, Sidi Kacem, Kénitra Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 3.000 tonnes par an Besoin en superficie 125.00 m² Besoin en RH 10 personnes Marchés potentiels National et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L'essentiel de la consommation des corps gras au Maroc concerne les huiles végétales raffinées. Ces huiles proviennent du raffinage des huiles brutes importées et des huiles brutes produites localement à partir de la trituration des graines. Pour la trituration, le Maroc traite aussi bien des graines importées que des graines produites localement. La capacité de trituration des unités industrielles au niveau national est de l’ordre de 500 à 600 000 T/an alors que les écrasements moyens au cours des 5 dernières années ont atteint 300 000 tonnes/an. Les huiles végétales brutes produites localement par les unités de trituration sont vendues aux raffineries. L'industrie de raffinage des huiles végétales au Maroc compte une dizaine d'unités ayant une capacité nominale de raffinage de 312 000 T/an dont 18 000 T/an (soit près de 6%) pour la seule huilerie installée dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Cette filière se caractérise par l’importance des produits dérivés, les tourteaux, qui sont destinés à la fabrication d’aliments de bétail. La production de graines oléagineuses au Maroc est constituée essentiellement de graines de tournesol. Les autres graines (coton, soja et colza, arachide, carthame) ne représentent que des parts très faibles dans la production nationale.

Justification du projet Ce projet devra produire différentes variétés d’huiles de savons et de tourteaux. L’objectif poursuivi à travers ce projet type est d’installer une huilerie avec système continu de centrifugation de 2/3 phases doté de tous les éléments pour être capable de produire des huiles de haute qualité. Le fonctionnement de cette installation doit permettre la maîtrise des coûts de production et l’instauration d’une culture de production d’huile de qualité.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement en graines en effectuant des contrats avec les producteurs régionaux et nationaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_39

Intitulé du projet Conditionnement d’huile d’olives Secteur Agrobusiness

Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Ouezzane, Sidi Kacem, Kénitra, Sidi Slimane, Sidi Yahia Coût global du projet 6.000.000 MAD Capacité de production 200 tonnes par an Besoin en superficie 2.000 m² Besoin en RH 8 personnes Marchés potentiels Local (50%) et export (50%) Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur marocain des conserves végétales a connu une croissance constante. Sa production a passé de 150 000 tonnes en 1990 à 230 000 tonnes en 2000. Sa contribution au produit intérieur brut est importante et ses performances moyennes remarquables : Production 5 milliards de Dirhams Exportations 3,75 milliards de Dirhams Investissements Annuels 250 millions de Dirhams Valeur Ajoutée 1 milliards de Dirhams Emploi 20 000 emplois directs permanents Le secteur offre des opportunités d’investissement surtout avec le développement technologique qu’il connaît et la diversification de ses produits.

Justification du projet Le secteur n’exprime toutefois pas encore tout son potentiel eu égard à la biodiversité climatique et culturale du Maroc, à la qualité de ses ressources humaines et à sa proximité de marchés porteurs. Ces potentialités et ces performances font du secteur marocain des conserves végétales un élément clé de la stratégie de développement socio-économique du Maroc de demain, un opérateur économique dynamique et bien intégré aux zones de libre échange établies avec l’Union Européenne, les pays arabes et les Etats-Unis d’Amérique L’objectif est d’installer une salle de conditionnement d’huile d’olive, dotée de tous les éléments pour être capable de conditionner 200 tonnes d’huile par an.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première peut se faire localement aussi bien que des régions avoisinantes. L’emballage et le conditionnement de l’huile d’olive peut se faire aussi bien en verre qu’en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_40

Intitulé du projet Unité de production d’huile de tournesol Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Slimane, Souk Larbaa, Mograne, Sidi Allal Tazi, Souk Tlet, Moulay Bousselham, M’Saada, Sidi Kacem, Mechraâ Bel Ksiri, Had Kourt. Coût global du projet 7.500.000 MAD Capacité de production 750 T/an Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels Régional et national Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur de l’Agrobusiness est le plus prometteur de la région puisqu’il bénéficie de conditions naturelles exceptionnelles par rapport aux autres régions du Maroc en termes de ressources en eau (précipitations assez abondantes, barrages permettant d’irriguer de grandes superficies, infrastructures d’irrigation) et en sols favorables et diversifiés permettant la pratique de cultures nombreuses et à forte valeur ajoutée. Ce secteur bénéficie de tous les atouts pour se développer et hisser la région parmi les principales zones d’approvisionnement du Maroc en denrées alimentaires. Le secteur des oléagineux est considéré parmi les secteurs prioritaires de l’agriculture marocaine. Depuis les années 80, le tournesol a connu un développement important grâce aux actions de vulgarisation et de soutien de cette culture au niveau des zones productrices. Les oléagineux occupent au niveau du Gharb une superficie moyenne de l’ordre de 70.000 Ha soit 18% de la SAU dont 3500 Ha pour l’olivier assurent une production annuelle brute d’environ 47.000 Tonnes.

Justification du projet Le Gharb possède de nombreuses potentialités qui lui permettent d’être parmi les pôles à potentiel de production agroindustrielle les plus importants du Maghreb. La culture de tournesol occupe une surface de 34.000 ha avec une production annuelle qui atteint 48.000 T. L’huile est extraite des graines, dont la teneur dans les variétés améliorées varie de 45 à 50 %. L’huile de tournesol est appréciée pour son équilibre en acides gras : elle contient 12 % seulement d’acides gras saturés et beaucoup d’acides gras mono ou poly-insaturés, acide oléique, acide palmitique et surtout acide linoléique, qui est un acide gras essentiel. D’après les nutritionnistes, cette huile a d’excellentes qualités diététiques, par exemple pour combattre le diabète. C’est également une bonne source de vitamine E. L’huile de tournesol entre dans la composition des margarines. Elle sert aussi à la fabrication de savon et de cierges.

Conditions d’approvisionnement La région concentre près de 78% de la production agricole en oléagineuses. Cependant, pour un meilleur approvisionnement, il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Fiche de projet n° S_IAA_41

Intitulé du projet Unité de production d’huile d’arachide Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Slimane, Souk Larbaa, Mograne, Sidi Allal Tazi, Souk Tlet, Moulay Bousselham, M’Saada, Sidi Kacem, Mechraâ Bel Ksiri, Had Kourt Coût global du projet 8.000.000 MAD

Le secteur de l’Agrobusiness est le plus prometteur de la région puisqu’il bénéficie de conditions naturelles exceptionnelles par rapport aux autres régions du Maroc en termes de ressources en eau (précipitations assez abondantes, barrages permettant d’irriguer de grandes superficies, infrastructures d’irrigation) et en sols favorables et diversifiés permettant la pratique de cultures nombreuses et à forte valeur ajoutée. Ce secteur bénéficie de tous les atouts pour se développer et hisser la région parmi les principales zones d’approvisionnement du Maroc en denrées alimentaires Les huiles alimentaires constituent un produit de première nécessité au Maroc. Le secteur des oléagineux est considéré parmi les secteurs prioritaires de l’agriculture marocaine.

Justification du projet

Capacité de production 850 tonnes par an Besoin en superficie 16.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Régional et national international

Données sur le secteur

et

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le Gharb possède de nombreuses potentialités qui lui permettent d’être parmi les pôles à potentiel de production agroindustrielle les plus importants du Maghreb. La culture d’arachide occupe une surface de 9.280 ha avec une production annuelle qui atteint 22.000T. La région concentre 78% de la production des oléagineuses du Maroc L'huile d'arachide est une huile végétale alimentaire préparée et extraite à partir de cacahuètes au moyen d'une presse hydraulique. Il s'agit d'une huile à couleur très limpide idoine pour les cuissons à hautes températures, ce qui fait de cette huile appropriée pour frire les aliments, mais aussi pour préparer des mayonnaises ou encore des vinaigrettes pour salades.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement en arachides. Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_42

Intitulé du projet Unité de fabrication de beurre d’arachide Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Slimane, Sidi Kacem

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Les principales espèces oléagineuses annuelles cultivées au Maroc sont le tournesol, le colza, l'arachide, le soja et le carthame. La superficie totale réservée à la culture de l’arachide est de 25.000 ha pour un rendement moyen allant de 10 à 16 qx/ha. La région du Gharb concentre plus de 78% de la production oléagineuse. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées.

Justification du projet

Besoin en superficie 8.000 m²

La culture d'arachide a connu ces dernières années une extension importante dans les régions du Loukkos et du Gharb. En effet, elle occupe plus de 10.000 ha pour une production de 22.000 tonnes/an. L'adoption rapide de l'arachide et l'extension des superficies de cette culture sont justifiées par son rôle dans l'amélioration des revenus des agriculteurs et dans l'approvisionnement en alimentation du bétail.

Besoin en RH 45 permanents

L’arachide est une denrée semi-périssable. Stockée dans des conditions favorables, elle peut se conserver pendant plusieurs années.

Marchés potentiels Régional et national

Dans le cas contraire, elle peut devenir impropre à la consommation en l’espace d’un mois à cause de la moisissure, des insectes ou de l’absorption de saveur étrangère qu’on appelle alors rancissement.

Coût global du projet 12.000.000 MAD Capacité de production 1.000 T/an

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Conseils techniques La fabrication du beurre de cacahuète comprend le décorticage, le grillage à sec, le blanchiment des graines et le broyage fin. Le grillage et le blanchiment ne sont pas impératifs. Néanmoins la pellicule rouge ocre doit être enlevée avant le broyage, éventuellement à la main. En général, des ingrédients tels que le sel, les matières grasses hydrogénées, le dextrose, la glycérine et la lécithine ou anti-oxydant, sont incorporés afin d’améliorer la saveur, d’éviter la séparation de l’huile et de maîtriser le rancissement.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement en arachides. Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_43

Intitulé du projet Fabrication de glace et de sorbets: Crème glacée Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 18.000.000 MAD Capacité de production 3.000 litres par jour Besoin en superficie 7.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels : National 90%, Export 10% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L'infrastructure industrielle de transformation du lait au Maroc s'est rapidement développée au cours de ces dernières années. La capacité de traitement installée est ainsi passée de 850 000 litres/j en 1975 à 2,7 millions de litres/j en 2004. En 2004, les quantités de lait transformées représentent 60 % de la production totale. Toutefois, près de 90 % du lait collecté est transformé en lait pasteurisé de boisson, les dérivés laitiers qui assurent les marges bénéficiaires les plus élevées ne représentant que 10 % des volumes collectés.

Justification du projet Le secteur laitier représente une des rares activités agricoles où le prix à la production est stable et connu par rapport à d’autres spéculations (maraîchage, arboriculture, etc.). Cette stabilité constitue un attrait indéniable pour de nombreux acteurs économiques, en particulier les éleveurs. Ces derniers doivent s’efforcer de produire à un coût de revient inférieur au prix du lait à la production. Ce secteur se caractérise aussi par une filière longe et diversifiée, qui avec l’existence de matière première abondante tel que au niveau de la région de GCBH, permet des opportunités d’investissement importante. Parmi les branches porteuses de cette filière on retrouve la production de Crème glacée conditionnée sous différentes formes, qui avec l’amélioration du pouvoir d’achat des consommateurs de la région aussi bien que leurs habitudes de consommation. L’émergence de nouveaux marchés demandeurs tels que l’Afrique Ouest constitue également une excellente opportunité à saisir.

Conditions d’approvisionnement Au niveau de la région GCBH, la matière première ne constitue pas une contrainte pour l’exercice de cette activité, toutefois les normes et les conditions d’hygiène régissant ce secteurs sont strictes et nécessitent la mise en place de structure de production adapté et de qualité tel que : Matériel de réception de lait, pasteurisateur, malaxeur, cuves, groupes frigorifiques, chambres de congélation, ligne de conditionnement. La production régionale laitière peut satisfaire largement les besoins d’une telle unité.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_44

Intitulé du projet Projet de fabrication de pulpes de : pommes – fraises – pêches- poires Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Lalla Mimouna Coût global du projet 22.000.000 MAD Capacité de production 5.000 tonnes par an Besoin en superficie 3.500 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Local et national Informations utiles : Contacts : 

CRI-Kénitra

+212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production agricole au niveau de la région est d’une importance assurant aux branches du secteur de l’industrie agroalimentaire de disposer de matière première suffisante et de bonne qualité. Cette production dispose par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet La valorisation des productions des fruits nécessite l’installation de stations de conditionnement et d’entrepôts frigorifiques dont la faiblesse des capacités au niveau de la région ainsi que la tendance de la demande des agglomérations de Kénitra et de Rabat constituent de bonnes opportunités pour l’installation de nouvelles unités de conditionnement et d’entreposage de fruits. En fait, les infrastructures telles que les mûrisseries, les stations de conditionnement, les entrepôts frigorifiques ou les unités de congélation sont très peu nombreuses et appartiennent à quelques exploitants ou sociétés agricoles.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première ne constitue nullement une barrière à l’entrer dans ce secteur. En effet, la production régionale permet de s’approvisionner dans de bonnes conditions. Toutefois cette industrie est soumise à des conditions d’hygiène très stricte nécessitant une expérience et une connaissance approfondie. En plus elle demande des procédures de production spécifiques : Ligne de préparation (lavage et triage), tunnel de surgélation, chambres de conservation, machines de conditionnement, cuiseur à vapeur, équipements spéciaux pour fruits (dénoyauteuse, calibreuse...). Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_45

Intitulé du projet Fabrication de jus de raisin destiné aux conditionneurs de Jus de fruits Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Moulay Bousselham Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 3 500 tonnes par an Besoin en superficie 3000 m² Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels Local et national Informations utiles : Contacts : 

CRI-Kénitra

+212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production agricole au niveau de la région est d’une importance assurant au branche du secteur de l’industrie agroalimentaire de disposer de matière première suffisante et de bonne qualité. Cette production dispose par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet Le raisin est un des trois fruits avec l’orange, et la tomate dont on peut faire un concentré. Le rendement en jus du raisin est de 87% contre 42 % pour l’orange. Le raisin doit être traité très vite après récolte et une campagne dure rarement plus de 40 jours dans les pays méditerranéens. Les jus de raisin pour être concentrés doivent être clarifiés et la qualité des jus s’en ressent car le chauffage prolongé même à basse température modifie la structure physico-chimique des jus. Pour clarifier le jus on peut agir par clarification mécanique centrifugeuse ou par voie enzymatique (patinasses) puis par échange à contre courant vapeur.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première ne constitue nullement une barrière à l’entrer dans ce secteur. En effet, la région enregistre une grande production agricole. Toutefois cette industrie est soumise à des conditions d’hygiène très stricte nécessitant une expérience et une connaissance approfondie. En plus elle demande des procédures de production spécifiques : Ligne de préparation (lavage et triage), tunnel de surgélation, chambres de conservation, machines de conditionnement, cuiseur à vapeur, équipements spéciaux pour fruits (dénoyauteuse, calibreuse...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_46

Intitulé du projet Fabrique de glace hydrique Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Produits - Glaçons, sac de 2 à 10 Kg - Sac en paillettes, de 10 à 20 Kg - Bloc de glace à sculpter Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Mehdia, Moulay Bousselham, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 2.500.000 Dhs Capacité de l’unité 6.000 m3 de chambre de congélation Besoin en superficie 3.500 m² Besoin en RH 10 personnes Marchés potentiels Local Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’agriculture, l’élevage les équipements agricoles et l’agro-industrie, constituent incontestablement le secteur le plus prometteur de la région. Bénéficiant de conditions naturelles exceptionnelles par rapport aux autres régions du Maroc en termes de ressources en eau (précipitations assez abondantes, barrages permettant d’irriguer de grandes superficies, infrastructures d’irrigation) et en sols favorables et diversifiés permettant la pratique de cultures nombreuses et à forte valeur ajoutée. Ce secteur bénéficie de tous les atouts pour se développer et hisser la région parmi les principales zones d’approvisionnement du Maroc en denrées alimentaires (céréales, légumineuses, cultures industrielles, produits maraîchers, agrumes, rosacées, produits laitiers, viandes banches et viandes rouges, miel, etc.).

Justification du projet La région dispose de potentialité importante dans le domaine de la pêche maritime. D’autre part, Ces produits sont très demandés pour les secteurs suivants : Tourisme, Agro Alimentaire, prestataires des compagnies aériennes, Chimie, Marée, Industries, Stations Services, Conserveries, Grande Distribution au niveau national, Grossistes, Grandes manifestations sportives, culturelles et concerts médiatiques, traiteurs, cattering, hôtellerie, restauration, et maintenant l’événementiel avec le bloc à sculpter. Les tours et les fabriques à glace présentes au niveau de la région ne répondent pas à la grande demande existante et ne couvrent tout le territoire.

Conseils techniques La glace hydrique alimentaire doit être fabriquée suivant des normes et dans des locaux agrées. Les contrôles qualité sont réglementés.

Conditions d’approvisionnement Les produits sont fabriqués à base d'eau potable osmosée (absence de minéralité).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_47

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur

Secteur Agrobusiness

Le Maroc consacre une superficie de 700.000 ha à la culture des fruits et légumes avec une production globale de 3 millions tonnes de fruits et 4 millions tonnes de légumes. L’activité de conservation de légumes est la plus importante en terme de valeur ajoutée et surtout en matière d’exportations. Elle comprend la conserve des olives, des cornichons et des câpres, mais aussi le jus de légumes.

Branche Industrie Agroalimentaire

Justification du projet

Intitulé du projet Unité spécialisé en production de jus de légumes

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 18.000.000 MAD Capacité de production 3.000 tonnes par an Besoin en superficie 8.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Local et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen est estimée à plus de 1 million de tonnes et est réalisée sur une superficie de prés de 35.000ha. Les principales productions dans la région sont les agrumes, le melon, la pomme de terre, la tomate, le poivron, l’artichaut, ainsi que divers maraichages et primeurs. Cette production abondante constitue une opportunité en matière de traitement et conditionnement des fruits et légumes. La demande pour les jus de légumes est importante, essentiellement la demande exprimée des marchés de consommation européens. En effet, le jus de légume est une source importante d'aliments crus raison du grand engouement que connaît ce produit.

Conseils techniques Cette industrie est soumise à des conditions d’hygiène très stricte nécessitant une expérience et une connaissance approfondie. En plus elle demande des procédures de production spécifiques : Ligne de préparation (lavage et triage), tunnel de surgélation, chambres de conservation, machines de conditionnement, cuiseur à vapeur, équipements spéciaux pour fruits (dénoyauteuse, calibreuse...).

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première peut se faire au niveau de la région tout en assurant un approvisionnement constant de légumes de bonne qualité.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_48

Intitulé du projet Unité intégrée : Traitement du lait & Fabrication de produits laitiers

Secteur Agrobusiness

Branche Industrie alimentaire

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mnasra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Souk Larbaa

Coût global du projet 400.000.000 MAD

Capacité de production 100.000 litres par jour

Besoin en superficie 300 ha

Besoin en RH 280 personnes

Marchés potentiels Marché national

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10 ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au contrôle de la production et de la commercialisation du lait et produits laitiers.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production laitière est de l’ordre de 1,2 milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est destinée au secteur industriel. La part de la transformation artisanale est estimée entre 20 et 30% de la production. L’autoconsommation a tendance à régresser. Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et sociétés) réparties sur le territoire national et ayant une capacité de transformation de 3 millions litres/jour, pour une production annuelle de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Beni Hssen compte une coopérative laitière ayant une capacité de 200 000 litres/jour. Les principaux produits mis sur le marché sont le lait pasteurisé, le lait stérilisé, le lait UHT, la poudre de lait, les yaourts, le Raïbi, le petit lait (Lben), les beurres industriels et le fromage. C’est une industrie très concentrée. Le leader détient près de 50% du marché du lait pasteurisé et plus de 80% de celui des produits dérivés du lait. L’approvisionnement des laiteries en lait frais est assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou améliorée), soit près de 14% de l’effectif national.

Justification du projet Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous produits confondus, avec un taux de croissance annuel de 4%. La consommation par tête est de l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de celle des pays de la région, même si le coefficient budgétaire (part de la dépense en produits laitiers par rapport à la dépense totale des ménages) a eu tendance à croître régulièrement. Les importations de produits laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en 2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la consommation nationale. La tendance s’est toutefois renversée depuis l’interdiction des importations de génisses européennes. La production de lait frais dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120 millions de litres par an dont 29 millions de litres seulement sont usinés.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Conditions d’approvisionnement La réfrigération en vrac et le ramassage en citerne sont deux séquences d'un même système destiné à améliorer la qualité du lait et à diminuer les frais. C'est pourquoi on retrouve dans ces deux équipements un certain nombre de caractères communs. Dans la construction de la citerne et de ses accessoires on s'attachera à ce qu'elle conserve au lait sa qualité initiale par la facilité du nettoyage, la simplicité des circuits, l'isolation suffisante. Elle sera conçue de manière à réduire en effort et en temps le travail du ramasseur : compteur à lait, accessoires pratiques, prélèvement automatique des échantillons. Enfin l'ensemble véhiculeciterne sera choisi de telle sorte qu'il permette de réduire les frais de collecte tout en étant adapté aux conditions locales : état des routes, relief de la zone, accès aux tanks, multiplicité des fournisseurs.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_49

Intitulé du projet Mini laiterie : Traitement du lait & Fabrication de produits laitiers Secteur Agrobusiness Branche Industrie Agroalimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Slimane, Ouezzane, Sidi Kacem, Souk Tlet, Souk Larbaa Coût global du projet 6 000 000 MAD Capacité de production 10 000 litres par jour Besoin en superficie 500 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (04-012001) Décret n° 2-00-425 du 10 ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au contrôle de la production et de la commercialisation du lait et produits laitiers.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

coopérative laitière ayant une capacité de 200 000 litres/jour. Les principaux produits mis sur le marché sont le lait pasteurisé, le lait stérilisé, le lait UHT, la poudre de lait, les yaourts, le Raïbi, le petit lait (Lben), les beurres industriels et le fromage. C’est une industrie très concentrée, le leader détient près de 50% du marché du lait pasteurisé et plus de 80% de celui des produits dérivés du lait. L’approvisionnement des laiteries en lait frais est assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou améliorée), soit près de 14% de l’effectif national.

Justification du projet Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous produits confondus, avec un taux de croissance annuel de 4%. La consommation par tête est de l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de celle des pays de la région, même si le coefficient budgétaire (part de la dépense en produits laitiers par rapport à la dépense totale des ménages) a eu tendance à croître régulièrement. Les importations de produits laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en 2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la consommation nationale. La tendance s’est toutefois renversée depuis l’interdiction des importations de génisses européennes. La production de lait frais dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120 millions de litres par an dont 29 millions de litres seulement sont usinés.

Données sur le secteur

Conditions d’approvisionnement

La production laitière est de l’ordre de 1,2 milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est destinée au secteur industriel. La part de la transformation artisanale est estimée entre 20 et 30% de la production. L’autoconsommation a tendance à régresser. Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et sociétés) réparties sur le territoire national et ayant une capacité de transformation de 3 millions litres/jour, pour une production annuelle de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent de 2,4 millions litres/jour. La région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen compte une

La réfrigération en vrac et le ramassage en citerne sont deux séquences d'un même système destiné à améliorer la qualité du lait et à diminuer les frais. C'est pourquoi on retrouve dans ces deux équipements un certain nombre de caractères communs. Dans la construction de la citerne et de ses accessoires on s'attachera à ce qu'elle conserve au lait sa qualité initiale par la facilité du nettoyage, la simplicité des circuits, l'isolation suffisante. Elle sera conçue de manière à réduire en effort et en temps le travail du ramasseur : compteur à lait, accessoires pratiques, prélèvement automatique des échantillons. Enfin l'ensemble véhicule-citerne sera choisi de telle sorte qu'il permette de réduire les frais de collecte tout en étant adapté aux conditions locales : état des routes, relief de la zone, accès aux tanks, multiplicité des fournisseurs.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_50

Intitulé du projet Laiterie : Traitement du lait Fabrication de produits laitiers

&

Secteur Agrobusiness Branche Industrie alimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mnasra, Larbaa

Souk

Coût global du projet 250 000 000 MAD Capacité de production 100 000 litres par jour Besoin en superficie 35.000 m² Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels Régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10 ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au contrôle de la production et de la commercialisation du lait et produits

Données sur le secteur La production laitière est de l’ordre de 1,2 milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est destinée au secteur industriel. La part de la transformation artisanale est estimée entre 20 et 30% de la production. L’autoconsommation a tendance à régresser. Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et sociétés) réparties sur le territoire national et ayant une capacité de transformation de 3 millions litres/jour, pour une production annuelle de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent de 2,4 millions litres/jour. La région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen

compte une coopérative laitière ayant une capacité de 200 000 litres/jour. Les principaux produits mis sur le marché sont le lait pasteurisé, le lait stérilisé, le lait UHT, la poudre de lait, les yaourts, le Raïbi, le petit lait (Lben), les beurres industriels et le fromage. C’est une industrie très concentrée, le leader détient près de 50% du marché du lait pasteurisé et plus de 80% de celui des produits dérivés du lait. L’approvisionnement des laiteries en lait frais est assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou améliorée), soit près de 14% de l’effectif national.

Justification du projet Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous produits confondus, avec un taux de croissance annuel de 4%. La consommation par tête est de l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de celle des pays de la région, même si le coefficient budgétaire (part de la dépense en produits laitiers par rapport à la dépense totale des ménages) a eu tendance à croître régulièrement. Les importations de produits laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en 2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la consommation nationale. La tendance s’est toutefois renversée depuis l’interdiction des importations de génisses européennes. La production de lait frais dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120 millions de litres par an dont 29 millions de litres seulement sont usinés.

Conditions d’approvisionnement La réfrigération en vrac et le ramassage en citerne sont deux séquences d'un même système destiné à améliorer la qualité du lait et à diminuer les frais. C'est pourquoi on retrouve dans ces deux équipements un certain nombre de caractères communs. Dans la construction de la citerne et de ses accessoires on s'attachera à ce qu'elle conserve au lait sa qualité initiale par la facilité du nettoyage, la simplicité des circuits, l'isolation suffisante. Elle sera conçue de manière à réduire en effort et en temps le travail du ramasseur : compteur à lait, accessoires pratiques, prélèvement automatique des échantillons. Enfin l'ensemble véhicule-citerne sera choisi de telle sorte qu'il permette de réduire les frais de collecte tout en étant adapté aux conditions locales : état des routes, relief de la zone, accès aux tanks, multiplicité des fournisseurs.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_51

Intitulé du projet Fromage à pâte pressée type Edam, Gruyère, Saint polain et Fromage à pâte molle (Sicilien et Mozzarella) Secteur Agrobusiness Branche Industrie alimentaire Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mnasra , Sidi Kacem, Sidi Slimane, Souk Larbaa Coût global du projet 18.700.000 MAD Capacité de production 2 tonnes de fromage / jour Besoin en superficie 4500 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels : Local 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10 ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au contrôle de la production et de la commercialisation du lait et produits laitiers.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production laitière est de l’ordre de 1,2 milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est destinée au secteur industriel. La part de la transformation artisanale est estimée entre 20 et 30% de la production. L’autoconsommation a tendance à régresser. Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et sociétés) réparties sur le territoire national et ayant une capacité de transformation de 3 millions litres/jour, pour une production annuelle de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Beni Hssen compte une coopérative laitière ayant une capacité de 200 000 litres/jour.

Justification du projet Le chiffre d’affaires annuel de l’industrie du lait s’élève à près de 5 milliards de Dirhams tous produits confondus, avec un taux de croissance annuel de 4%. La consommation par tête est de l’ordre de 45 litres/tête/an et reste en deçà de celle des pays de la région, même si le coefficient budgétaire (part de la dépense en produits laitiers par rapport à la dépense totale des ménages) a eu tendance à croître régulièrement. Les importations de produits laitiers ont eu tendance à décroître jusqu’en 2000, pour atteindre l’équivalent de 7% de la consommation nationale. La tendance s’est toutefois renversée depuis l’interdiction des importations de génisses européennes. La production de lait frais dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est de l’ordre de 120 millions de litres par an dont 29 millions de litres seulement sont usinés.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement des laiteries en lait frais est assuré par 964 centres de collecte dont 69 sont situés dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Cette dernière compte par ailleurs près de 344 mille bovins (dont 62% de race pure ou améliorée), soit près de 14% de l’effectif national.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Données sur le secteur

Fiche de projet n° S_IAA_52

Intitulé du projet Unité artisanale de production de fromage de chèvre Secteur Industrie alimentaire Branche Traitement du lait & Fabrication de produits laitiers Lieu d’implantation proposé L’ensemble des communes de Région.

la

Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production 50 Kg / jour Besoin en superficie 8000 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels : Local et Régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10 ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au contrôle de la production et de la commercialisation du lait et produits laitiers.

La production laitière est de l’ordre de 1,2 milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est destinée au secteur industriel. La part de la transformation artisanale est estimée entre 20 et 30% de la production. L’autoconsommation a tendance à régresser. Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et sociétés) réparties sur le territoire national et ayant une capacité de transformation de 3 millions litres/jour, pour une production annuelle de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Béni Hssen compte une coopérative laitière ayant une capacité de 200 000 litres/jour.

Justification du projet Ce produit très prisé par les consommateurs (produit diététique) est appelé à se développer. Les fromages de chèvre apportent en quantité intéressante des nutriments bénéfiques pour la forme et la santé. Ils sont sources de minéraux variés : tout d'abord du calcium (de 80 à plus de 530 mg/100g), mais aussi du phosphore et de l'iode, du zinc, du magnésium et du fer. L'ensemble des vitamines du groupe B, et plus particulièrement les vitamines B2 et B9, est présent dans les fromages de chèvre. Ils sont aussi une source intéressante de vitamine A. Ils apportent également des protéines d'excellente qualité nutritionnelle car elles contiennent tous les acides aminés indispensables que notre organisme ne peut synthétiser. Leur apport énergétique est très variable, allant de 160 à 330 kcal pour 100g et ce, suivant l'affinage du fromage : en effet, plus un fromage de chèvre est frais et plus sa valeur énergétique sera faible en raison d'une présence d'eau plus importante. Une part de 30g de bûchette apporte environ 90 kcal, soit l'équivalent d'un yaourt. Enfin, leur teneur en matière grasse se situe dans la moyenne des autres fromages. Oscillant entre 12 et 27g pour 100g, c'est elle qui leur confère leur typicité gustative et leur texture. Ainsi, les fromages de chèvre, par leurs qualités nutritionnelles et leur diversité de goûts et de textures, constituent des aliments de choix dont la consommation participe à un bon équilibre alimentaire.

Conditions d’approvisionnement La chèvre produit du lait pendant les 10 mois qui suivent la naissance d’un chevreau et cela, à chaque naissance. Elle ne sera pas traite durant la phase de tarissement : les deux à quatre mois qui précèdent la naissance.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_53

Intitulé du projet Unité de production de fromage de chèvre Secteur Industrie alimentaire Branche Traitement du lait & Fabrication de produits laitiers Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mnasra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Souk Larbaa, Ouezzane Coût global du projet 3.500.000 MAD Capacité de production 300 Kg / jour Besoin en superficie 30.000 m² Besoin en RH 60 personnes Marchés potentiels : Local, Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : B_O n° 4862 du 9 chaoual 1421 (0401-2001) Décret n° 2-00-425 du 10 ramadan 1421 (07-12-2000) relatif au contrôle de la production et de la commercialisation du lait et produits laitiers.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production laitière est de l’ordre de 1,2 milliards de litres par an (en 2002) dont 55% est destinée au secteur industriel. La part de la transformation artisanale est estimée entre 20 et 30% de la production. L’autoconsommation a tendance à régresser. Le Maroc compte 38 laiteries (coopératives et sociétés) réparties sur le territoire national et ayant une capacité de transformation de 3 millions litres/jour, pour une production annuelle de 700 millions de litres par an, soit l’équivalent de 2,4 millions litres/jour. La région du GharbChrarda-Béni Hssen compte une coopérative laitière ayant une capacité de 200 000 litres/jour.

Justification du projet Ce produit très prisé par les consommateurs (produit diététique) est appelé à se développer. Les fromages de chèvre apportent en quantité intéressante des nutriments bénéfiques pour la forme et la santé. Ils sont sources de minéraux variés : tout d'abord du calcium (de 80 à plus de 530 mg/100g), mais aussi du phosphore et de l'iode, du zinc, du magnésium et du fer. L'ensemble des vitamines du groupe B, et plus particulièrement les vitamines B2 et B9, est présent dans les fromages de chèvre. Ils sont aussi une source intéressante de vitamine A. Ils apportent également des protéines d'excellente qualité nutritionnelle car elles contiennent tous les acides aminés indispensables que notre organisme ne peut synthétiser. Leur apport énergétique est très variable, allant de 160 à 330 kcal pour 100g et ce, suivant l'affinage du fromage : en effet, plus un fromage de chèvre est frais et plus sa valeur énergétique sera faible en raison d'une présence d'eau plus importante. Une part de 30g de bûchette apporte environ 90 kcal, soit l'équivalent d'un yaourt. Enfin, leur teneur en matière grasse se situe dans la moyenne des autres fromages. Oscillant entre 12 et 27g pour 100g, c'est elle qui leur confère leur typicité gustative et leur texture. Ainsi, les fromages de chèvre, par leurs qualités nutritionnelles et leur diversité de goûts et de textures, constituent des aliments de choix dont la consommation participe à un bon équilibre alimentaire.

Conditions d’approvisionnement La chèvre produit du lait pendant les 10 mois qui suivent la naissance d’un chevreau et cela, à chaque naissance. Elle ne sera pas traite durant la phase de tarissement : les deux à quatre mois qui précèdent la naissance.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_54

Intitulé du projet Pâtés, Beurres Mousses à Base Sardines

Et De

Secteur Industrie alimentaire Branche Préparation et conserve de poissons Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mehdya Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 5 millions de barquettes/an Besoin en superficie 2 500 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels : Marché national, l’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Textes juridiques : Loi n° 12-03 relative aux études d'impact sur l'environnement

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des industries de transformation des produits de la mer est appelé à jouer un rôle primordial dans le développement économique et social et ce, grâce aux atouts majeurs dont dispose le Maroc pour développer cette branche d’activité, à savoir : - L’existence de matières premières génératrices de produits à haute valeur ajoutée comme les petits pélagiques (sardine et maquereau), les thonidés (espadon et thon) et les céphalopodes (calamar, seiche) ; - La proximité des marchés demandeurs des produits à haute valeur ajoutée (le marché européen) ; - Un marché local à fortes potentialités.

Présentation du projet Il s'agit d'une unité de fabrication de pâtés, pâtés à tartiner, beurres pour toast, mousses à bases de sardines mélangées avec d’autres ingrédients (légumes, épices, crustacés, etc.). La sardine peut être fraîche ou congelée. L’unité peut utiliser d’autres types de poissons pour la fabrication de produits identiques. L’investissement pour la réalisation de cette unité sera de l’ordre de 10 millions de dirhams. Les produits se présentent sous forme de barquettes de 500 grs de durée de vie de 42 jours. Le contenant est en plastique recouvert d’un opercule facile à ouvrir. Les produits subissent préalablement un traitement thermique de pasteurisation qui a pour vertu de préserver la quasi totalité des vitamines contenues dans les matières premières.

Conditions d’approvisionnement Trois zones de pêche à la sardine existe au Maroc, la première, s’étale de Tanger à El Jadida, ses ressources en sardines ne sont pas importantes parce qu’elles ont été, en grande partie, épuisées. Quant la deuxième zone, qui s’étend d’El Jadida à Laâyoune, son stock en sardines est nettement supérieur à celui de la première. La troisième zone, qui va de Laâyoune jusqu’aux littoral de Boujdour, est de loin la plus riche en poissons actuellement. Des stratégies de partenariat et le plus souvent de fabrication en sous-traitance pour les distributeurs.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_55

Intitulé du projet Filets de Sardines Secteur Industrie alimentaire Branche Préparation poissons

et

conserve

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mehdya Coût global du projet 13 millions de MAD Capacité de production 5 millions de barquettes par an Besoin en superficie 3000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Local, Régional et international Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Le secteur des industries de transformation des produits de la mer est appelé à jouer un rôle primordial dans le développement économique et social et ce, grâce aux atouts majeurs dont dispose le Maroc pour développer cette branche d’activité, à savoir : - L’existence de matières premières génératrices de produits à haute valeur ajoutée comme les petits pélagiques (sardine et maquereau), les thonidés (espadon et thon) et les céphalopodes (calamar, seiche) ; - La proximité des marchés demandeurs des produits à haute valeur ajoutée (le marché européen) ; - Un marché local à fortes potentialités.

Présentation du projet Il s'agit d'une unité de fabrication de pâtés, pâtés à tartiner, beurres pour toast, mousses à bases de sardines mélangées avec d’autres ingrédients (légumes, épices, crustacés, etc.). La sardine peut être fraîche ou congelée. L’unité peut utiliser d’autres types de poissons pour la fabrication de produits identiques. L’investissement pour la réalisation de cette unité sera de l’ordre de 10 millions de dirhams. Les produits se présentent sous forme de barquettes de 500 grs de durée de vie de 42 jours. Le contenant est en plastique recouvert d’un opercule facile à ouvrir. Les produits subissent préalablement un traitement thermique de pasteurisation qui a pour vertu de préserver la quasi totalité des vitamines contenues dans les matières premières.

Conditions d’approvisionnement Trois zones de pêche à la sardine existe au Maroc, la première, s’étale de Tanger à El Jadida, ses ressources en sardines ne sont pas importantes parce qu’elles ont été, en grande partie, épuisées. Quant la deuxième zone, qui s’étend d’El Jadida à Laâyoune, son stock en sardines est nettement supérieur à celui de la première. La troisième zone, qui va de Laâyoune jusqu’aux littoral de Boujdour, est de loin la plus riche en poissons actuellement. Des stratégies de partenariat et le plus souvent de fabrication en sous-traitance pour les distributeurs.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_56

Intitulé du projet Plats Cuisines A Base De Poisson Secteur Industrie alimentaire Branche Préparation poissons

et

conserve

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mehdya Coût global du projet 25 millions de DH Capacité de production 2 500 000 barquettes / an Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels : Local, régional et national Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Loi n° 12-03 relative aux études d'impact sur l'environnement

Données sur le secteur Le secteur des industries de transformation des produits de la mer est appelé à jouer un rôle primordial dans le développement économique et social et ce, grâce aux atouts majeurs dont dispose le Maroc pour développer cette branche d’activité, à savoir : l'existence de matières premières génératrices de produits à haute valeur ajoutée comme les petits pélagiques (sardine et maquereau), les thonidés (espadon et thon) et les céphalopodes (calamar, seiche) ; la proximité des marchés demandeurs des produits à haute valeur ajoutée (le marché européen) ; un marché local à fortes potentialités.

Présentation du projet Il s'agit d'une unité de fabrication des produits suivants : plats à base de poisson et sauce : barquette de 500 grs ; plats à base de poisson, sauce et garniture : barquette de 500 grs ; salades à base de poisson : barquette de 200 grs. L’unité en question est spécialisée dans la cuisson et l’assemblage des ingrédients : poisson, légumes et sauce. Les matières premières (poissons et légumes) seront livrées prêtes à l’utilisation sous forme de produits congelés selon un cahier de charges bien défini. Quant à la sauce, elle doit être préparée sur place par un spécialiste sachant que la réussite gastronomique des produits dépend de la qualité des sauces. Les espèces de poissons utilisés dans la production sont le calamar, le thon, l’espadon, la lotte, la sole et autres poisson blanc. Le poisson est fourni à l’usinier sous forme de médaillon ou de darne. Pour permettre la sécurisation de l’investissement qui est de 25 millions de dirhams, et en cas de manque d’approvisionnement en poisson, l’unité de production étudiée est conçue de telle sorte qu’elle puisse se convertir à la production des plats cuisinés à base de viande.

Conditions d’approvisionnement Des conventions devront être signées entre l’unité proposée et les unités de congélation en matière de traitement des écarts de triage (conservation) et leurs conditions de livraison.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_57

Intitulé du projet Plats cuisinés et cuisinés

semi-

Secteur Industrie alimentaire Branche Préparation poissons

et

conserve

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Mehdya, Kénitra Coût global du projet 18.000.000 MAD Capacité de production 800 plats / jour Besoin en superficie 10.000m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels : Local 50% - Export 50% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Le secteur des industries de transformation des produits de la mer est appelé à jouer un rôle primordial dans le développement économique et social et ce, grâce aux atouts majeurs dont dispose le Maroc pour développer cette branche d’activité, à savoir : - l'existence de matières premières génératrices de produits à haute valeur ajoutée comme les petits pélagiques (sardine et maquereau), les thonidés (espadon et thon) et les céphalopodes (calamar, seiche) ; - la proximité des marchés demandeurs des produits à haute valeur ajoutée (le marché européen) ; un marché local à fortes potentialités.

Justification du projet Il s'agit d'une unité de fabrication des produits L’unité en question est spécialisée dans la cuisson et l’assemblage des ingrédients : poisson, légumes et sauce. Les matières premières (poissons et légumes) seront livrées prêtes à l’utilisation sous forme de produits congelés selon un cahier de charges bien défini. Quant à la sauce, elle doit être préparée sur place par un spécialiste sachant que la réussite gastronomique des produits dépend de la qualité des sauces. Les espèces de poissons utilisés dans la production sont le calamar, le thon, l’espadon, la lotte, la sole et autres poisson blanc. Le poisson est fourni à l’usinier sous forme de médaillon ou de darne.

Conditions d’approvisionnement Des conventions devront être signées entre l’unité proposée et les unités de congélation en matière de traitement des écarts de triage (conservation) et leurs conditions de livraison.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_58

Intitulé du projet Unité de valorisation écarts de triage produits de la mer

des des

- Conserve : Beurre de crevettes (20% de crevettes) - Conserve : Chair de crevettes (100% de crevettes) - Conserve : Bisque de crevettes (10% de crevettes) - Conserve : Fond de crevettes (20% de crevettes) - Frais : Salade de crevettes (42% de crevettes) -Frais : Cocktail de fruits de mer - Surgelés : Noisettes de crevettes (25% de crevettes) - Surgelés : Queues de crevettes (100% de crevettes)

Secteur Industrie alimentaire Branche Préparation et conserve de poissons Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Mehdya Coût global du projet 6.000.000 MAD

Données sur le secteur Le secteur des industries de transformation des produits de la mer est appelé à jouer un rôle primordial dans le développement économique et social et ce, grâce aux atouts majeurs dont dispose le Maroc pour développer cette branche d’activité, à savoir : - L’existence de matières premières génératrices de produits à haute valeur ajoutée comme les petits pélagiques (sardine et maquereau), les thonidés (espadon et thon) et les céphalopodes (calamar, seiche) ; - La proximité des marchés demandeurs des produits à haute valeur ajoutée (le marché européen) ; - Un marché local à fortes potentialités.

Justification du projet Il s’agit d’une unité qui va collecter les écarts de triage et les produits endommagés (Ex : crevette avec tête cassée) auprès des unités de congélation. Ces produits seront revalorisés pour fabriquer des sauces, des pâtes,…

Conditions d’approvisionnement Des conventions devront être signées entre l’unité proposée et les unités de congélation en matière de traitement des écarts de triage (conservation) et leurs conditions de livraison.

Capacité de production 200 Tonnes/an Besoin en superficie 5000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels National et Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_59

Intitulé du projet Unité de production d’aliments composés pour volaille et bétail Secteur Industrie alimentaire Branche Fabrication animaux

d'aliments

pour

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Slimane, Sidi Kacem, Souk Larbaa, Had Kourt Coût global du projet 14.000.000 MAD Capacité de production 16 000 tonnes par an Besoin en superficie 4 000 m² Besoin en RH 25 personnes Marchés potentiels : Local et Régional

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production d’aliments composés avoisine les 2 millions de tonnes par an. Les ¾ de cette production sont destinés à l’élevage avicole, le reste étant destiné aux ruminants. Le secteur compte actuellement 32 unités ayant une capacité totale de 2 millions tonnes (soit un taux d’utilisation de 100%). En termes de concentration, 4 entreprises détiennent plus de 40% de la capacité totale installée au niveau national.

Justification du projet La production des aliments composés a connu une forte croissance à partir de 1992 grâce notamment aux programmes de soutien du gouvernement pour la production d’aliments composés pour ruminants et surtout du fait de la croissance du secteur avicole. La nécessité d’installer des unités de production d’aliments composés pour bétail dans la région du Gharb-Chrarda-Béni-Hssen est justifiée par les faits suivants : - L’effectif du cheptel dans la région se compose de plus de 340 mille têtes de bovins et de 1million de têtes d’ovins. - Le développement du secteur avicole industriel fait apparaître de bonnes perspectives pour l’évolution du secteur des aliments composés. - La céréaliculture occupe une place très importante dans la région, permettant d’avoir une matière première abondante et à bon prix. - L’approvisionnement en mélasse ne posera pas de difficulté grâce à la présence d’unités sucrières dans la région.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques :

La faiblesse de la concurrence puisque la région du Gharb-Chrarda-Béni-Hssen ne dispose que d’une seule unité dont la production ne dépasse guère 3 à 4 000 tonnes par an.

Se conformer à la loi concernant l’impact l’environnement.

Conditions d’approvisionnement

n°12-03 sur

Les matières premières utilisées sont d’origine végétale ou animale auxquelles des additifs tels que vitamines, minéraux, colorants et parfois antibiotiques sont incorporés. Les produits d’origine végétale comprennent notamment des céréales, des fèves, des graines oléagineuses, des huiles, du sucre et de la mélasse, des pulpes de betterave, etc. Les matières premières animales sont par exemple des sous-produits de l’industrie du pois son, du sang, des os, des graisses, du lait et d’autres sousproduits. La livraison peut se faire pour les conditionnements en vrac et en sac.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_60

Intitulé du projet Unité de paille pelletisée

mélasse

Secteur Industrie alimentaire Branche Production d'aliment pour bétail Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 3 500 000 MAD

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le projet vise la production de paille mélasse pelle tissée enrichie pour ruminants. Les principales matières premières à utiliser sont : l'orge, son de blé, mélasse, paille, urée, tourteaux, écorces d'agrumes, etc.

Justification du projet La région totalise une superficie de 125800Ha soit 2% des forêts du pays dont 45 914 ha de forêts naturelles Les raisons qui expliquent le choix sont : • le cheptel ; est important (790 100 têtes environ) •

la

céréaliculture

occupe

une

superficie 218 000 ha.

Capacité de production 4 800 tonnes par an

• la mélasse existe dans le Gharb en

Besoin en superficie 2 ha

Les mélasses de betterave et de canne proviennent de 7 sucreries installées dans le Gharb.

Besoin en RH 30 permanents

Conditions d’approvisionnement

Marchés potentiels Le Marché Régional et national Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Se conformer à la loi n°12-03 concernant l’impact sur l’environnement.

quantité très importante

La région offre des conditions d’approvisionnement très favorable au développement de l’activité. Les cultures céréalières, notamment les céréales d’automne, représentent plus de 80% de la SAU et couvrent plus de 450 000 ha. La production de paille est estimée à plus de 1 000 000 de tonnes par an. Les sucreries de la région fournissent annuellement plus de 70 000 tonnes de mélasse.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_61

Intitulé du projet Entrepôt frigorifique fruits et légumes

pour

Secteur Industrie agro-alimentaire Branche Transformation et conservation de légumes et fruits Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Slimane, Souk Larbaa, Mograne, Sidi Allal Tazi, Souk Tlet, Moulay Bousselham, M’Saada, Sidi Kacem, Mechraâ Bel Ksiri, Had Kourt Coût global du projet 11.000.000 MAD Capacité de l’unité 2000 T réparties en 5 chambres de 400 T chacune Besoin en superficie 5000 m2 Besoin en RH 12 personnes Marchés potentiels National et Export Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La production des fruits et légumes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen est estimée à plus d’un million de tonnes par an ; elle est réalisée sur une superficie de près de 35 000 hectares. Les principales productions sont les agrumes (326 000 tonnes), le melon (près de 180 000 tonnes), la pomme de terre, la tomate, le poivron et l’artichaut. Ces productions disposent par ailleurs d'opportunités réelles de croissance fondée sur un secteur agricole performant avec des terres irriguées et un climat favorable. Ces productions ne sont cependant que faiblement valorisées du fait que les capacités de conditionnement installées restent insuffisantes dans la région.

Justification du projet Les productions maraîchères dépassent 408.000 T et les produits de l'arboriculture 800.000 T, alors que la capacité d'entreposage est de 200.000 T ce qui ne représente que 16,5% de la production. Le stockage et la conservation des denrées périssables dans des conditions appropriées ont pour but de régulariser le marché et de préserver la qualité.

Conditions d’approvisionnement Il faut fédérer autour de l’entreprise un ensemble de producteurs régionaux. Ces producteurs partenaires doivent être engagés sur un cahier des charges commun et partagent les objectifs de qualité et de services clients.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAA_62

Intitulé du projet Unité de fabrication de pâtes fraîches Secteur Agrobusiness

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des industries agroalimentaires est incontestablement le secteur le mieux développé dans la région. Les grandeurs économiques du secteur en attestent. On note aussi que le plan émergence privilégie davantage les régions de Gharb, Meknès et Fès pour la promotion du secteur d'agroalimentaire. Les orientations stratégiques dans le domaine se présentent ainsi :

-



Branche IAA



Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra Coût global du projet 400.000 DH Capacité de production 35.000 Kg par an Besoin en superficie 500 m² Besoin en RH 8 personnes Marchés potentiels Local, Régional Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Développement de 8 à 10 filières en traitant les problèmes structurels (notamment en amont) et cela par :



-

L'accélération des filières existantes (fruits/ légumes et corps gras); L'émergence de nouvelles filières à valeur ajoutée (bio, plats cuisinés); Le poids des filières clés long terme (huile d’olive, jus d’orange).

Développement de projets intégrés autour de Pôles Agro ou Agro techniques dédiés (Agadir, Gharb, bi-pôles Fès- Meknès, Oriental).

Justification du projet Certes, les pâtes sèches sont les plus utilisées et les plus consommées par les ménages marocains. Ce sont des aliments économique et facile à conserver et facile à cuire aussi. Cependant, les pâtes fraiches sont meilleures au goût et proposent un meilleur apport nutritif. Les pâtes fraiches sont produites de manière artisanale sans additifs ni conservant et sont incomparables aux pâtes déshydratées et empaquetées. L'appellation « pâtes fraîches aux œufs frais » suppose la réunion de trois conditions : un taux d'humidité supérieur à 12%, une semoule de blé dur de qualité supérieure classée, et un minimum de 140g d’œufs par kg de semoule. Le développement urbain et des modes de consommation alimentaire, de plus en plus exigeants sur la qualité et l’origine des produits, en plus du développement de la grande distribution dans la région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen peuvent contribuer largement à la réussite d’un tel projet.

Conseils techniques Le procédé de fabrication des pâtes fraîches est appelé « laminage ». Le mélange pâteux est aplati jusqu'à l'obtention d'une fine feuille d'environ un millimètre d'épaisseur. Ainsi, on parle souvent de double laminage pour les raviolis dits à « quatre coins » pour lesquels deux feuilles de pâtes sont superposées, puis scellées, après l'injection de la farce. À l'inverse, on parle de raviolis « coussins »

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

pour ceux fabriqués à partir d'une seule feuille de pâte. Il vaut mieux de s’équiper d’une machine à pâtes avec un bol rond en acier inoxydable idéal pour les mélanges à haute vitesse et une daille à lasagne comprise. Cette machine doit pouvoir produire divers types de pâtes, courtes ou longues. Pour cela elle doit comprendre un couteau électronique ajustable pour la coupe de pâtes courtes, un ventilateur d'asséchage et un système de refroidissement à l'eau de l'extrudeuse. Toutes les parties venant en contact avec les pâtes doivent être faites de matériaux compatibles avec les aliments et peuvent être démontées facilement pour un nettoyage en profondeur facile.

Conditions d’approvisionnement Assurer un conditionnement constant en farine de blé dur et en œufs de bonne qualité. Assurer un bon conditionnement pour les produits finis pour meilleures livraison.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Fiche de projet n° S_ITC_01

Données sur le secteur Intitulé du projet Tissu gabardine Secteur Industrie textile Branche Tissage cotonnière

de

l'industrie

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi Coût global du projet 95.000.000 MAD Capacité de production 9 millions de mètres linéaires Besoin en superficie 16.500 m² Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels Local 20% - Export 80% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en fil de coton auprès de producteur nationaux et internationaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_02

Données sur le secteur

Besoin en superficie 15.000 m²

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en RH 150 personnes

Justification du projet

Intitulé du projet Tissu denim Secteur Industrie textile Branche Tissage cotonnière

de

l'industrie

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi Coût global du projet 200.000.000 MAD Capacité de production 12 millions de mètres linéaires à un rendement de 90%

Marchés potentiels Local 20% - Export 80% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en fil de coton auprès de producteur nationaux et internationaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_03

Données sur le secteur Intitulé du projet Tissus pour pantalons Secteur Industrie textile Branche Tissage cotonnière

de

l'industrie

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi Coût global du projet 150.000.000 MAD Capacité de production 9 millions mètres linéaires finis Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels Local 20% - Export 80% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en fil de coton auprès de producteur nationaux et internationaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ITC_04

Données sur le secteur

Besoin en superficie 10.000 m²

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en RH 190 personnes

Justification du projet

Intitulé du projet Tissus pour chemises Secteur Industrie textile Branche Tissage cotonnière

de

l'industrie

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi Coût global du projet 125.000.000 MAD Capacité de production 7,5 millions mètres linéaires par an

Marchés potentiels Local 20% - Export 80% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en fil de coton auprès de producteur nationaux et internationaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_05

Données sur le secteur Intitulé du projet Tissu pour vêtements travail

de

Secteur Industrie textile Branche Tissage cotonnière

de

l'industrie

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 400.000.000 MAD Capacité de production 11 millions mètres linéaires par an

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en superficie 18 000 m²

Justification du projet Besoin en RH 450 personnes Marchés potentiels Local 20% - Export 80% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en fil auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la soustraitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_06

Données sur le secteur Intitulé du projet Finissage de tissus chaîne et trame Secteur Industrie textile Branche Tissage cotonnière

de

l'industrie

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 150.000.000 MAD Capacité de production 9 millions mètres linéaires par an

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en superficie 10.000 m²

Justification du projet Besoin en RH 120 Marchés potentiels Local 10% - Export 90% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en fil auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la soustraitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_07

Données sur le secteur Intitulé du projet Prêt-à-porter Homme produit fini

en

Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessus

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 15.000.000 MAD Capacité de production 70.000 U/an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 120 personnes Marchés potentiels Export 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_08

Données sur le secteur Intitulé du projet Confection de prêt-à-porter féminin Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessus

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 3000 articles par jour

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en superficie 6.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Justification du projet Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_09

Données sur le secteur Intitulé du projet Pantalons sous-traitance Secteur Industrie textile Branche Tissage cotonnière

de

l'industrie

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 9.000.000 MAD Capacité de production 150.000 unités par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 70 personnes

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet

Marchés potentiels Export 100%

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_10

Données sur le secteur Intitulé du projet Pantalons jeans en produit fini Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessus

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 560 000 unités par an Besoin en superficie 6.000 m²

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels Export 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_11

Données sur le secteur

Besoin en superficie 9.000 m²

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en RH 100 personnes

Justification du projet

Intitulé du projet Chemises en produit fini Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessus

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 13.000.000 MAD Capacité de production 350.000 U/an

Marchés potentiels Export 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_12

Intitulé du projet Unité moyenne de tissage Secteur Industrie de Textile et Cuire (ITC) Branche Textile Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Taibi, Sidi Slimane Coût global du projet 500.000 DH Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie 250 m² Besoin en RH 20 permanents Marchés potentiels National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur ITC participe à la production industrielle régionale à hauteur de 3% et à la production nationale du secteur à raison de 0,7%. En effet, ce secteur ITC a produit 175 Millions MAD, soit une baisse de 17% contre une amélioration de 27% en 2004. Cette baisse est due à la disparition de la branche industrie du cuir et de la chaussure, et à la contre performance enregistrée par les deux autres branches. La branche industrie textile représente 98% de la production du secteur. Le Chiffre d’Affaires a connu une baisse remarquable au niveau de toutes les branches du secteur; principalement la branche industrie textile qui a enregistré un recul important de 24% du CA. Pour la VA, ce secteur concourt à la formation de la VA industrielle de la région à hauteur de 1,6% et la VA nationale du secteur à hauteur de 0,73%. Toutefois, le nombre d’établissements et l’effectif permanent restent faibles, puisqu’ils représentent respectivement 5,5% et 3,55% par rapport aux grandeurs de la région ; alors qu’ils contribuent respectivement à hauteur de 0,63% et 0,16% dans le dispositif national.

Justification du projet Le secteur industries des textiles et du cuir se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ses grandeurs économiques. En 2005, on note l’arrêt de l’activité relative à la branche industrie du cuir et de la chaussure et hausse de la branche du tissage. Ceci renseigne sur le potentiel de la région à développer de petites et moyennes unités de tissage dont le produit sera destiné soit aux acteurs nationaux soir à l’export.

Conseils techniques Le tissu est obtenu par le tissage qui est le résultat de l'entrecroisement, dans un même plan, de fils disposés dans le sens de la chaîne et de fils disposés, perpendiculairement aux fils de chaîne, dans le sens de la trame. Le liage obtenu entre ces fils de chaîne et trame se définit par une armure. On distingue trois grandes classes fondamentales d'armures : Toile, sergé et satin. Il existe des armures dérivées des trois précédentes : le reps, le cannelé, le croisé, le satin à répétition, etc. Un tissu peut être composé de plusieurs armures différentes et dans ce cas on parle de tissu façonné.

Conditions d’approvisionnement En premier lieu assurer l'approvisionnement en matières, à savoir les fils à tisser. Ensuite, c’est le dévidage, qui consiste à transporter la matière approvisionnée du support sur lequel elle vous est livrée, vers un certain nombre de bobines. Puis on Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

procède au calcul des quantités de matières nécessaire. Commence alors l’opération d’ourdissage, qui consiste à mettre aussi parallèlement que possible les fils sur l'ensouple arrière. L'ensemble de ces fils constitue la chaîne. Il existe plusieurs techniques d'ourdissage dont certaines font intervenir l'utilisation d'un appareil nommé ourdissoir.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_13

Intitulé du projet Unité de traditionnel

DERRAZ

Secteur Artisanat Branche Tissage traditionnel Lieu d’implantation proposé Communes : Ouezzane, Béni Quolla, Sidi Redouane, Masmouda, Mzefroune Coût global du projet 500.000 MAD Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie 600 m² Besoin en RH 15 permanents Marchés potentiels Le Marché local, national. Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Etant l'un des premiers pays au monde à voir naître sur son sol une industrie lithique très variée, le Maroc, de par son passé, ses traditions millénaires, la diversité de sa population et de sa culture a su forger cette richesse et la concrétiser dans le tapis, les costumes traditionnels, les bijoux, la poterie, la céramique, le bois gravé, le zellidj ciselé, le plâtre sculpté... Le secteur de l'artisanat occupe une place de choix dans l'économie marocaine (8% du PIB) et emploie une main d'œuvre importante. En effet, cette activité occupe le 2ème rang après l'agriculture, le 5ème rang en ce qui concerne l'apport en devises après les Ressortissants Marocains à l'Etranger (RME), les Phosphates, l'Agriculture et le Tourisme. Les exportations artisanales jouent un rôle essentiel dans le développement de la production, la réduction du taux de chômage et l'équilibre de la balance commerciale du Maroc.

Justification du projet La région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen en général et la ville d’Ouezzane en particulier, offre de grandes opportunités d’investissement dans le secteur de l’artisanat, essentiellement dans les métiers du tissage traditionnel. Ce dernier, étant un secteur porteur eu égard au savoir-faire des artisans locaux, l’abondance des matières premières à l’échelle locale et la spécialisation de la région en quelques produits spécifiques. De plus l’investissement dans le secteur de l’artisanat est peu capitalistique et n’exige pas une technologie de pointe en comparaison avec les autres branches d’activités économiques. Tous ces atouts constituent une excellente opportunité d’investissement à saisir.

Conditions d’approvisionnement Pour les matières premières, vu l'importance du cheptel dans la province (bovins, caprins et came lins) les besoins en laine et poils utilisés dans différentes sortes de tissage, sont couverts par la production locale.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_14

Intitulé du projet Unité de tissage de drapeaux à base d’El kherka Ouezzania Secteur Artisanat Branche Décoration Lieu d’implantation proposé Communes : Ouezzane, Béni Quolla, Sidi Redouane, Masmouda, Mzefroune Coût global du projet 1.500.000 MAD Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie 500 m² Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels National et international Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’artisanat est un secteur d’activités important par le chiffre d’affaires qu’il génère et par la main d’œuvre qu’il emploi, il représente 10% du PIB national et fait vivre le 1/5 ième de la population. Le tissage traditionnel, connaît un grand essor dans la région notamment au niveau de la ville d’Ouezzane, réputée par le tissage de « La Kherka Ouezzania" qui connaît une tendance à la multi utilisation des produits tissés dans l'ameublement, et les objets vestimentaires. Le nombre d’artisans travaillant dans ce domaine est estimé à 400 artisans. La commercialisation de la Kherka Ouezzania se fait dans le souk local de la ville de Ouezzane par la méthode de DLALA (vente aux enchères) également elle se commercialise dans les autres parties du Maroc

Justification du projet La région du Gharb Chrarda Beni Hssen en général et la région d’Ouezzane en particulier, offre de grandes opportunités et possibilités d’investissement dans le secteur de l’artisanat, essentiellement dans les métiers du tissage traditionnel de la Kherka el Ouezzania étant un secteur porteur eu égard au savoir-faire des artisans, la prédominance des matières premières à l’échelle locale et la spécialisation de la région en quelques produits spécifique tel que la Kherka el Ouezzania. De plus l’investissement dans le secteur de l’artisanat est peu capitalistique et n’exige pas une technologie de pointe en comparaison avec les autres branches d’activités économiques. L’activité de tissage de drapeau est ancienne dans la région d’Ouezzane, cependant il se doit de la faire connaître plus et de s’intéresser aux marchés extérieurs.

Conditions d’approvisionnement La matière de la Kherka el Ouezzania est importée des régions de la ville de Moulay Driss Zerhoun et de la région du Gharb en tant que DEZZA ou fils ou importée de l’étranger.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_15

Intitulé du projet Unité de tissage d’el Kharka el Ouazzania Secteur Artisanat Branche Habillement Lieu d’implantation proposé Communes : Ouezzane, Béni Quolla, Sidi Redouane, Masmouda, Mzefroune Coût global du projet 4.000.000 MAD Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie 1.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Local, Régional et National Informations utiles : Contacts : +212.37.37.46.27  CRI-Kénitra

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Données sur le secteur L’artisanat est un secteur d’activités important par le chiffre d’affaires qu’il génère et par la main d’œuvre qu’il emploi, il représente 10% du PIB national et fait vivre le 1/5 ème de la population. Le tissage traditionnel, connaît un grand essor dans la région notamment au niveau de la ville d’Ouezzane, réputée par le tissage de « La Kharka Ouazzania" qui connaît une tendance à la multi utilisation des produits tissés dans l'ameublement, et les objets vestimentaires. Le nombre d’artisans travaillant dans ce domaine est estimé à 400 artisans. La commercialisation de la Kharka Ouazzania se fait dans le souk local de la ville de Ouezzane par la méthode de DLALA (vente aux enchères) également elle se commercialise dans les autres parties du Maroc.

Justification du projet La région du Gharb Chrarda Beni Hssen en général et la région d’Ouezzane en particulier, offre de grandes opportunités et possibilités d’investissement dans le secteur de l’artisanat, essentiellement dans les métiers du tissage traditionnel de la Kharka el Ouazzania étant un secteur porteur eu égard au savoir-faire des artisans, la prédominance des matières premières à l’échelle locale et la spécialisation de la région en quelques produits spécifique tel que la Kharka el Ouazzania. De plus l’investissement dans le secteur de l’artisanat est peu capitalistique et n’exige pas une technologie de pointe en comparaison avec les autres branches d’activités économiques.

Conditions d’approvisionnement La matière de la Kharka el Ouazzania est importée des régions de la ville de Moulay Driss Zerhoun et de la région du Gharb en tant que DEZZA ou fils ou importée de l’étranger.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_16

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité de passementerie Secteur Industrie textile Branche Tissage de l'industrie cotonnière Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 7.000.000 MAD Capacité de production 1.5000.000 Unités par an Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 80 personnes Marchés potentiels National, International Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet La passementerie est un métier et un art qui remonte à la plus haute antiquité. Depuis que l'homme a eu l'idée de nouer, de tresser ou de tisser des fils sans but utilitaire, il a fait de la passementerie sans le savoir. Au Maroc, parmi les innombrables traditions artisanales, la passementerie est de celles qui ont toujours su se renouveler, s’adaptant aux modes, les précédant parfois, discrète et pourtant indispensable. La fabrication de passementerie est extrêmement variée : du plus petit galon de finition de tenture murale aux larges galons à dessins de tous styles pour les rideaux, du cache-clous des sièges en galon à la crête en guipure exécutée mécaniquement ou à la main, de l'effilé bordant les rideaux. Les salons marocains sont de grands consommateurs de passementerie et dans toutes les familles le salon doit être un lieu convivial et indispensable.

Conseils techniques La passementerie est une production textile complexe faisant intervenir successivement différentes techniques tel que le tissage Jacquard ou à la main, le tressage et le retordage pour la réalisation d'un seul article. Une fois le modèle défini, la fabrication, essentiellement manuelle, demande un long cheminement qui va de l'élaboration du produit à sa réalisation technique au travers de 8 grandes étapes : Le choix des modèles, le réassort ou coloration, le dévidage, l'ourdissage, la mise en carte et le montage du métier à tisser, le tissage mécanique ou à la main, le retord ou rouet, le travail à l'Établi ou enjolivure. La réalisation nécessite une grande maîtrise technique mais également un savoir-faire. Il faut

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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aussi prévoir l’acquisition de certaines machines dont : Bobinoirs pour rubans, machines pour le blanchiment des rubans, machines à imprimer les rubans, machines à découper les rubans, machines à mesurer et à emballer les rubans, séchoirs pour rubans, tresses et passementeries, calandres pour rubans, machines à apprêter rubans et tresses, machines à tendre les rubans et la passementerie, toronneuses pour passementerie, machines pour la fabrication de cordonnets de soie, tresseuses pour passementerie, machines à joindre les tresses, points visibles et cachés, machines pour mesurer les tresses, métiers à retordre pour passementerie, machines textiles pour revêtement en spirale, machines à faire les franges, pour l'industrie textile, machines pour tissus chenilles…

Conditions d’approvisionnement La région dispose de facteurs de production combinant coûts raisonnables, qualité, proximité par rapport au marché européen. Assurer un approvisionnement constant en pure soie, en soie schappe, en bourrettes de soie, en tresses et cordons en soie,…

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_17

Données sur le secteur Intitulé du projet Soutiens gorges en produit fini Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessous

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 15.000.000 MAD Capacité de production 1.000.000 U/an Besoin en superficie 15. 000 m² Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels Export 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_18

Données sur le secteur Intitulé du projet Vêtements de bonneterie en produit fini Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessous

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 90.000.000 MAD Capacité de production 5 600 000 unités par l'équivalent de 6000 kg tissus maille par jour

an de

Besoin en superficie 17.000 m² Besoin en RH 300 personnes Marchés potentiels Export 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Justification du projet Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_19

Données sur le secteur

Capacité de production 100.000 unités par an soit 360 pièces/jour

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en superficie 2.500 m²

Justification du projet

Intitulé du projet Vêtements de bonneterie en grosse maille (tricotage rectiligne) en produit fini Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessous

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 13.000.000 MAD

Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels Export 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_20

Données sur le secteur Intitulé du projet Finissage de vêtements de bonneterie Secteur Industrie textile Branche Fabrication industrielle vêtements de dessous

de

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 60.000.000 MAD Capacité de production 2 800 tonnes par an 10.000 kg par jour

soit

L’industrie du Textile et de l’Habillement occupe une position de premier plan au niveau du Maroc. Elle contribue à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier et plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH, soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent aussi 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier. Ce secteur est en perte de vitesse au cours des dernières années, sous l’effet d’un environnement international de plus en plus concurrentiel. Le secteur du textile se positionne à la 4ème place dans le paysage industriel de la région GCBH, et ce en considération de toutes ces grandeurs économiques.

Besoin en superficie 18.000 m²

Justification du projet Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels Export 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le nombre des entreprises opérant dans ce secteur dans la région du GCBH s’avère insuffisant pour arriver à répondre à la demande qui ne cesse de croître.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en tissu auprès de producteurs nationaux et internationaux. Cette activité peut se prêter à la sous-traitance auprès d’opérateurs étrangers.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_21

Intitulé du projet Vêtements en cuir Secteur Artisanat Branche Confection d'articles en cuir Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane Coût global du projet

10.000.000 MAD Capacité de production Sur commande Besoin en superficie

5.000 m2 Besoin en RH 80 permanents

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Données sur le secteur L'un des métiers où l'artisan marocain est excellent, sans conteste, le travail du cuir. La grande maîtrise de cet art par les artisans marocains a donné lieu à une profusion de techniques utilisées en maroquinerie tels le cuir excisé, la pelleterie, le cuir pigmenté, le cuir brodé de soie, la reliure. La branche des vêtements en cuir, qui connaît aujourd’hui un essor considérable, comporte 19 unités modernes de transformation, contribue par 6,5% de la production du secteur en valeur. Elle emploi 3% de l'effectif total de ce secteur cuir et exporte une valeur de 21% Millions d’Euros soit 11% du total des exportations des produits en cuir.

Justification du projet Les vêtements en cuir sont de plus en plus à, surtout s’il y a créativité et suivi de la mode, mais aussi l'adaptation de la production aux exigences de et clientèle.

Conseils techniques Marchés potentiels

National et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L'industrie du cuir dépend, en amont, de l'élevage et de l'abattage pour son approvisionnement en matières premières de base, à savoir les peaux, et de certaines industries manufacturières pour toutes les phases de sa transformation. Les principales sont la chimie et parachimie pour le traitement des peaux (tannage), le textile, les articles en métaux, le caoutchouc et le plastique pour l’ornement et l’habillage des divers produits à base de cuir, le commerce des articles en cuir, etc. Aussi cette industrie nécessite une veille continue sur le monde de la mode au niveau international.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_22

Intitulé du projet Tannerie et mégisserie Secteur Industrie du chaussure

cuir

et

de

la

Branche Apprêt et tannage des cuirs Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane Coût global du projet

4.500.000 MAD Capacité de production Sur commandes Besoin en superficie

3.000 m2 Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels

National et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur L'un des métiers où l'artisan marocain est excellent, sans conteste, c’est le travail du cuir. La grande maîtrise de cet art a donné lieu à une profusion de techniques utilisées dans toute la chaîne cuir. La branche "Tannerie mégisserie" est une de ces branches, voir la principale dans la chaîne de l’industrie du cuir. Elle compte plus de 55 unités modernes pour l'essentiel de grandes tailles réalisant prés de 23% de la production totale du secteur en valeur et 5% des ventes à l'étranger Ces unités ont opéré une diversification de leur production et une amélioration de la qualité des cuirs tannés très Appréciées sur le marché international.

Justification du projet Au niveau de la région GCBH les articles en cuir sont de plus en plus demandés, surtout les produits artisanaux. Ceci exige l’existence d’unités de production, mais indispensablement des unités de tannage et messigerie.

Conseils techniques Le tannage dépend en amont de l'élevage et de l'abattage, qui est abondant au niveau de la région GCBH. En aval, l’industrie du cuir exprime un besoin important au niveau national. Toutefois ce domaine est soumis à un ensemble de normes d’hygiène et de sécurité qu’il faut respecter.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ITC_23

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité de fabrication de petite maroquinerie Secteur Industrie du chaussure

cuir

et

de

la

Branche Fabrication d'articles de voyage et de maroquinerie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Ouazzane, Sidi Taibi Coût global du projet 8.500.000 MAD Capacité de production 1000 pièces/jour Besoin en superficie

L'un des métiers où l'artisan marocain excellent, sans conteste, le travail du cuir. Cet art, dont les origines remontent aux Almohades est l'apanage des villes impériales de Fès et Marrakech. La grande maîtrise de cet art par les artisans marocains a donné lieu à une profusion de techniques utilisées en maroquinerie tels le cuir excisé, la pelleterie, le cuir pigmenté, le cuir brodé de soie, la reliure. Née de cet art traditionnel, la Maroquinerie moderne ou industrielle n'est pas en reste. Elle demeure surtout centralisée à Casablanca où elle est très florissante.

Justification du projet Ce projet vise d'une part, la modernisation du secteur de la maroquinerie notamment par l'adaptation de la production aux exigences de la clientèle et d'autre part l'industrialisation du potentiel du cuir local en produits fins.

15.000 m2 Conditions d’approvisionnement Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels National et International Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L'industrie du cuir dépend, en amont, de l'élevage et de l'abattage pour son approvisionnement en matières premières de base, à savoir les peaux, et de certaines industries manufacturières pour toutes les phases de sa transformation. Les principales sont la chimie et parachimie pour le traitement des peaux (tannage), le textile, les articles en métaux, le caoutchouc et le plastique pour l’ornement et l’habillage des divers produits à base de cuir, le commerce des articles en cuir, etc.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_24

Intitulé du projet Unité de confection d'articles en cuir Secteur Artisanat Branche Confection d'articles de cuir Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Taibi, Sidi Slimane Coût global du projet 8.000.000 MAD. Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie

1.500 m2 Besoin en RH 40 permanents Marchés potentiels

National et export Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Le Maroc jouit d'une grande réputation en matière de transformation du cuir grâce à son savoir faire traditionnel à la disponibilité d'une main d'œuvre qualifiée et à l'utilisation des technologies avancées L'exploitation des possibilités réelles d'intégration en amont et en aval permet la valorisation des matières premières et la fabrication d'articles en cuir d'une grande diversité et d'une bonne qualité. Le Maroc fournit au marché international une quantité importante et diversifiée de produits en cuir à différents stades de transformation; le marché européen de part sa proximité géographique constitue le principal débouché pour les articles fabriqués. L’industrie du cuir et du tannage couvre le traitement de matières premières, c’est à dire la conversion de la peau brute, un matériau périssable, en cuir, un matériau stable, et sa finition, de manière à l’utiliser pour fabriquer un large éventail de produits de consommation. Ce secteur compte près de 35O non inclus les entreprises artisanales et offre plus de 17000 emplois directs permanents. Il a réalisé un chiffre d’affaire de plus de 232 millions d'Euros avec près de 187 millions d'Euros en exportation et une valeur ajoutée de 8O millions d'Euros.

Justification du projet La grande demande local, régional, national et international en plus du grand potentiel du développement de ce secteur dans la région au vu du grand cheptel, sont les principales justifications de ce projet.

Conditions d’approvisionnement L'industrie du cuir dépend, en amont, de l'élevage et de l'abattage pour son approvisionnement en matières premières de base, à savoir les peaux, et de certaines industries manufacturières pour toutes les phases de sa transformation. Les principales sont la chimie et parachimie pour le traitement des peaux (tannage), le textile, les articles en métaux, le caoutchouc et le plastique pour l’ornement et l’habillage des divers produits à base de cuir, le commerce des articles en cuir, etc.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_25

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité de fabrication de sac à main Secteur Industrie du chaussure

cuir

et

de

la

Branche Fabrication d'articles de voyage et de maroquinerie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Ouazzane, Sidi Taibi Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 300 pièces / jour Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marché potentiels National et International Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Au niveau national, l’industrie du cuir et de la chaussure inclut plus de 230 entreprises, en plus des entreprises semi-industrielles et artisanales qui couvrent environ cent millions de paires de chaussures de toutes sortes. La valeur est estimée à 122 millions de dollars.

Justification du projet L’activité de transformation de cuir est presque inexistante dans la région. Et ce en présence d’une demande importante et évolutive due à l’expansion démographique que connaît la région. En effet, la consommation en articles chaussures au niveau de la région est estimée à 1 500 000 paires par an.

Conditions d’approvisionnement L'industrie du cuir dépend, en amont, de l'élevage et de l'abattage pour son approvisionnement en matières premières de base, à savoir les peaux, et de certaines industries manufacturières pour toutes les phases de sa transformation. Les principales sont la chimie et parachimie pour le traitement des peaux (tannage), le textile, les articles en métaux, le caoutchouc et le plastique pour l’ornement et l’habillage des divers produits à base de cuir, le commerce des articles en cuir, etc.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_26

Intitulé du projet Chaussures de ville Secteur Industrie du chaussure

cuir

et

de

la

Branche Fabrication industrielle de chaussures modernes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Kacem, Sidi Yahia, Ouezzane Coût global du projet 24.000.000 MAD Capacité de production 2 100 paires par jour Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 210 personnes Marchés potentiels Local 35% - Export 65% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Au niveau national, l’industrie de la chaussure inclut plus de 230 entreprises, en plus des entreprises semi-industrielles et artisanales qui couvrent environ cent millions de paires de chaussures de toutes sortes. La valeur est estimée à 122 millions de dollars. L’industrie de la chaussure concerne les chaussures de luxe et semi luxe; chaussures de ville; chaussures pour dames, hommes ou enfants; chaussures de sport; sandales; chaussures tressées; mocassins; pantoufles; chaussures de travail, de sécurité et spéciales; chaussures militaire, de montagne et chaussures en caoutchouc ou en plastique. Les types de chaussures fabriquées se différencient, aussi, par le procédé de fabrication dont on cite : blake; california; cousu retourné et cousu sandalette; cousu trépointe; injecté plastique; mixte, Soudé et Vulcanisé.

Justification du projet L’activité de transformation de cuir est presque inexistante dans la région. Et ce en présence d’une demande importante et évolutive due à l’expansion démographique que connaît la région. En effet, la consommation en articles chaussures au niveau de la région est estimée à 1 500 000 paires par an.

Conditions d’approvisionnement L'industrie du cuir dépend, en amont, de l'élevage et de l'abattage pour son approvisionnement en matières premières de base, à savoir les peaux, et de certaines industries manufacturières pour toutes les phases de sa transformation. Les principales sont la chimie et parachimie pour le traitement des peaux (tannage), le textile, les articles en métaux, le caoutchouc et le plastique pour l’ornement et l’habillage des divers produits à base de cuir, le commerce des articles en cuir, etc.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ITC_27

Intitulé du projet Chaussures de sécurité Secteur Industrie du chaussure

cuir

et

de

la

Branche Fabrication industrielle de chaussures modernes Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Kacem, Sidi Yahia Coût global du projet 18.500.000 MAD Capacité de production 3 100 paires par jour Besoin en superficie 6.000 m² Besoin en RH 80 personnes Marchés potentiels Local 20% - Export 80% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Au niveau national, l’industrie de la chaussure inclut plus de 230 entreprises, en plus des entreprises semi-industrielles et artisanales qui couvrent environ cent millions de paires de chaussures de toutes sortes. La valeur est estimée à 122 millions de dollars. L’industrie de la chaussure concerne les chaussures de luxe et semi luxe; chaussures de ville; chaussures pour dames, hommes ou enfants; chaussures de sport; sandales; chaussures tressées; mocassins; pantoufles; chaussures de travail, de sécurité et spéciales; chaussures militaire, de montagne et chaussures en caoutchouc ou en plastique. Les types de chaussures fabriquées se différencient, aussi, par le procédé de fabrication dont on cite : blake; california; cousu retourné et cousu sandalette; cousu trépointe; injecté plastique; mixte, Soudé et Vulcanisé.

Justification du projet L’activité de transformation de cuir est presque inexistante dans la région. Et ce en présence d’une demande importante et évolutive due à l’expansion démographique que connaît la région. En effet, la consommation en articles chaussures au niveau de la région est estimée à 1 500 000 paires par an.

Conditions d’approvisionnement L'industrie du cuir dépend, en amont, de l'élevage et de l'abattage pour son approvisionnement en matières premières de base, à savoir les peaux, et de certaines industries manufacturières pour toutes les phases de sa transformation. Les principales sont la chimie et parachimie pour le traitement des peaux (tannage), le textile, les articles en métaux, le caoutchouc et le plastique pour l’ornement et l’habillage des divers produits à base de cuir, le commerce des articles en cuir, etc.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IMME_01

Intitulé du projet Fonderie de métaux Secteur Industries métallurgiques, mécaniques, électriques et électroniques (IMME) Branche Métallurgie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 25.000.000 MAD Capacité de production 1000 tonne/ an Besoin en superficie 10.000m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Le marché régional et national Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L'industrie de la fonderie est très ancienne au Maroc et a toujours constitué un puissant facteur de développement du pays. Elle est passée de l'état artisanal à l'état industriel avec l'émergence de grands ensembles industriels intégrés. Ces derniers regroupent les activités de conception, de fabrication de moules, de fusion, d'usinage, de traitement thermique. Ces unités produisent pour le compte de l'industrie, de l'agriculture, des mines des carrières et bien d'autres secteurs.

Justification du projet La fonderie est une activité d’une grande importance pour la région qui exprime de plus en plus un besoin croissant en matériaux et produit de fonderie. En effet c’est une activité nécessaire dans chaque pôle urbain et industriel du Gharb où on ne trouve que de petites unités quasi artisanales.

Conditions d’approvisionnement L'approvisionnement du secteur en matières premières, il se fait à travers deux canaux de distribution : - Le marché local : achat de la ferraille, des éléments d'alliages, des alliages cuivreux et des alliages antimoine ; - Le marché international : achat des lingots de différente provenance notamment de France, des pays du Benelux et d'Allemagne

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_IMME_02

Intitulé du projet Unité de fabrication de fils métalliques Secteur IMME Branche Métallurgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Souk Larbaa Coût global du projet 6.000.000DH Capacité de production 12.000.000 mètres par an Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs. Cette production touche aussi bien le secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits imprimés, diodes, électroménagers...).

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la grande demande provenant de plusieurs secteurs d’activité telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries. Cette unité proposera une large gamme de bobines de fils de fer, de fils de bronze et de fils d’étain. Cependant, une unité peut éventuellement se spécialiser dans la production d’un seul type de fils uniquement.

Conditions d’approvisionnement L’unité devra assurer un approvisionnement constant en fer, en bronze et en étain. Cet approvisionnement se fera soit sur le marché national soit à travers l’importation.

Conseils techniques Le Parc machine devra être composé de dresseuses, bobineuses, d’un équipement de traitement thermique et de machines de pliage. Cette unité peut produire une large gamme de fils :  Fils Clairs industriels pour articles en fils métalliques : Pour pliage, soudage, assemblage d'articles comme des présentoirs, grilles, treillis, containers, rayonnages, broches de volets et persiennes ;  Fils galvanisés : Pour articles de pêche, arceaux de tunnels maraîchage, cages d'élevage, anses de seaux, articles industriels...  Fils torsadés pour pointes spéciales, articles en fils, décoration ;  Fils crantés H.R ;  Fils aluminium ;  Fils de bronze ;

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fils d’étain ; Fils de brochage et reliure ; Fils vert, galvanisés, recuits pour fleuristes ; Fils pour Conditionnements : Couronnes trancannées, rosaces, touret bois, dressé – coupé à dimensions ; Fils recuits pour ligaturage : Cerclage des balles de déchets compressés sur presse automatique équipements pour producteurs ou transformateurs de carton ondulé, centre de tri et recyclage, récupérateurs de déchets cartons, papiers, films ou bouteilles plastiques, PVC, ...ou semi automatique ; Fil de ligature pour armatures bâtiments, pour le cerclage et la manutention de pièces, en particulier pour la galvanisation à chaud,…

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Fiche de projet n° FP_S_IMME_03

Intitulé du projet Unité de fabrication pointes diverses

de

Secteur IMME Branche Métallurgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet 5.500.000DH Capacité de production 6.000 tonnes par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs. Cette production touche aussi bien le secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits imprimés, diodes, électroménagers...).

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la grande demande provenant de plusieurs secteurs d’activité telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries. Cette unité proposera une large gamme de pointes Cependant, une unité peut éventuellement se spécialiser dans la production d’un seul type de pointes.

Conditions d’approvisionnement L’unité devra assurer un approvisionnement constant en fer, en cuivre, en inox, etc. Cet approvisionnement se fera soit sur le marché national soit à travers l’importation.

Conseils techniques Le Parc machine devra être composé de dresseuses, bobineuses, d’un équipement de traitement thermique et de machines de pliage. Cette unité peut produire une large gamme pointes :  Pointes double tête ;  Pointes galvanisées à chaud ;  Pointes électro-zinguées ;  Pointes annelées ;  Pointes cuivres-laiton-inox ;  Pointes à béton,… Mais aussi une gamme diversifiée de pointes à usage différencié :  Pointes Torsadées ;  Pointes Crantées ;  Pointes Annelées ;  Pointe lisses coupe biaisée ;  Pointe lisses coupe diamant, …

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Fiche de projet n° FP_IMME_04

Intitulé du projet Unité de fabrication pointes en acier

de

Secteur IMME Branche Métallurgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet 3.500.000DH Capacité de production 4.000 tonnes par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs. Cette production touche aussi bien le secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits imprimés, diodes, électroménagers...).

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la grande demande provenant de plusieurs secteurs d’activité telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries. Cette unité proposera une gamme de pointes en acier.

Conditions d’approvisionnement L’unité devra assurer un approvisionnement constant en acier qui se présente sous la forme d'une bobine constituée d'un câble d'un diamètre voisin de celui du clou souhaité. Cet approvisionnement se fera soit sur le marché national soit à travers l’importation.

Conseils techniques 1ère étape : la fabrication du clou : La matière première, l'acier, se présente sous la forme d'une bobine constituée d'un câble d'un diamètre voisin de celui du clou souhaité. Le choix de l'acier dépend des caractéristiques recherchées lors de la fixation (fixation dans du béton, du plâtre, dans un métal, etc.), et de l'engin qui va servir à l'enfoncer. Ce câble est entraîné dans une machine qui réalise la fabrication du clou. Dans cette machine, le câble est découpé en tronçons d'acier. Chaque tronçon servira à la fabrication d'un clou. Il existe pour cela deux méthodes, qui sont utilisées selon le type de clou souhaité. La première de ces méthodes est la frappe, qui consiste à déformer l'acier par des chocs successifs pour lui donner la forme du clou. La deuxième méthode est la découpe, qui consiste à l'aide de deux couteaux, à supprimer la matière superflue pour tailler la pièce souhaitée dans la masse. Cette deuxième méthode implique donc des pertes de matière mais elle convient mieux à la fabrication des clous minces (3 ou 4 millimètres de

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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diamètre). La tête du clou est ensuite réalisée par frappe à froid. 2ème étape : le traitement thermique : Les clous ainsi fabriqués subissent ensuite un traitement thermique. Ils passent dans un four à 900°C à la sortie duquel ils sont plongés dans un bain d'huile à température ambiante. Ce trempage leur permet d'obtenir une grande dureté, qui leur permet de ne pas se déformer ou s'écraser sur un mur de béton ou une plaque d'acier. Après avoir été nettoyés, ils passent dans un second four à la température de 200°C à la sortie duquel ils refroidissent lentement à l'air libre. Ce second passage permet aux clous de ne pas être trop fragiles. 3ème étape : le traitement de surface : Les clous, une fois refroidis, bénéficient d'un traitement de surface destiné à les rendre plus présentables et plus résistants à la corrosion. Ils sont donc d'abord ébavurés par frottement avec de la pierre ponce rugueuse, ce qui permet de supprimer une grande partie des imperfections et des défauts. Ils sont ensuite pris en charge par un automate qui déplace des lots de clous de bassin en bassin, chaque bassin contenant une solution spécifique à une opération. Les automates contrôlent les variations de composition des solutions et le temps de passage des lots de clous en solution. Les clous sont d'abord nettoyés et dégraissés, puis ils sont recouverts d'une fine couche de zinc coloré pour leur donner une couleur bleue, dorée ou argentée. Les clous sont ensuite prêts à être conditionnés et distribués.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_IMME_05

Intitulé du projet Unité de fabrication pièces en fils de fer

de

Secteur IMME Branche Métallurgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet 4.000.000DH Capacité de production 2.000 tonnes par an Besoin en superficie 2.500 m² Besoin en RH 25 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs. Cette production touche aussi bien le secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits imprimés, diodes, électroménagers...).

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la grande demande provenant de plusieurs secteurs d’activité telle que le bâtiment, l’agriculture et les industries. Cette unité proposera plusieurs pièces en fils métalliques standards, mais aussi des produits spécifiques sur commande.

Conditions d’approvisionnement L’unité devra assurer un approvisionnement constant en bobines de fils de fer. Cet approvisionnement se fera soit sur le marché national soit à travers l’importation.

Conseils techniques Cette unité devra œuvrer à la fabrication de pièces en fils à partir d'une plieuse à 2 têtes de cintrage à partir de bobines, munie d'un système de transfert automatique et d'une tête de soudage par rapprochement. Le type de pièces réalisées concernera à titre d’exemple des :  Grillages en fils de fer ;  Du fil de fer barbelé (coupant, piquant,…) ;  Des cadres ;  Des cerces ;  Des pièces diverses fermées ou non, …

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_06

Intitulé du projet Traitement de surface revêtement de métaux

et

Secteur IMM Branche Traitement des mécanique générale.

métaux ;

Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Taibi, Sidi Kacem Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité de production Selon la demande Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Le Marché régional et national. Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Les opérations de traitement et de revêtement des métaux donnent à des produits métalliques ou composites des spécificités fonctionnelles visant à les protéger, en modifier les propriétés physiques ou les décorer en utilisant une multitude de techniques. Cette activité permet d’accroître la durabilité, la protection contre la corrosion, la conductibilité électrique ou les caractéristiques de glissement. C’est un passage obligé dans le processus de production de bon nombre de pièces en métal.

Justification du projet Les secteurs clients sont nombreux. Les plus importants sont l’automobile, le bâtiment et les travaux publics avec près de la moitié du chiffre d’affaires. Viennent ensuite la fabrication de matériel électrique et électronique et la construction aéronautique. Les entreprises du traitement et du revêtement des métaux sont des entreprises de soustraitance. Les objectifs de qualité, de délais et de prix de leurs donneurs d’ordres les contraignent à adapter en permanence leurs procédés, et ce en tenant compte de la contrainte réglementaire environnementale de plus en plus exigeante. Toutefois en aillant la flexibilité requise, surtout en travaillant en flux tendu, permet à cette industrie d’assurer un service de qualité avec une plus grande maîtrise des coûts.

Conseils techniques Les opérations de traitements de surfaces sont effectuées de nos jours par une multitude de petites entreprises sous-traitantes pour le compte de grands groupes industriels dans les domaines de l'automobile, des « produits blancs », de l'aérospatiale…

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IMME_07

Intitulé du projet Unité de fabrications de boulonnerie visserie, écrous, raccords, tiges Secteur

Travail des métaux Branche Visserie et boulonnerie, fabrication de chaines et de ressorts Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 2.000.000 unités / an Besoin en superficie 2.000 m² Besoin en RH 40 personnes

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Données sur le secteur Le secteur d'activité visé concerne la boulonnerie et la visserie spéciale obtenue à la base de technique du décolletage qui est une spécialité à part entière au service d'un nombre de secteurs consommateurs tant finaux, qu'intermédiaires (industrie) et se classe parmi les activités de soustraitance nécessaires dans chaque pôle industriel.

Justification du projet Dans le cadre de la diversification du tissu des IMM de la région et de l'intégration des activités industrielles existantes, une telle unité est justifiée pour répondre aux besoins du marché.

Conditionnement d’approvisionnement L'approvisionnement du secteur en matières premières, il se fait à travers deux canaux de distribution : -

Marchés potentiels Marché régional Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

-

Le marché local : achat de la ferraille, des éléments d'alliages, des alliages cuivreux et des alliages antimoine ; Le marché international : achat des lingots de différente provenance notamment de France, des pays du Benelux et d'Allemagne

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_08

Intitulé du projet Unité de menuiserie métallique Secteur Industrie Mécanique

Métallique

et

Branche Travail des métaux Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 7 000 000 MAD Capacité de production 15 000 m² par an

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques et Mécaniques (IMM), est au centre de tous les autres secteurs économiques. Actuellement il intervient pour 17,55% dans la production industrielle nationale. Ce secteur emploi presque 70 000 personnes dans plus de 38 métiers différents.

Justification du projet Le secteur des IMM recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs.

Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Local Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004 publié au Bulletin Officiel n° 5240 du 19 août 2004 Loi 13-89 du Commerce extérieur promulguée par le dahir n° 1-91201 du 9 novembre 1992

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Données sur le secteur Fiche de projet n° S_IMME_09

Intitulé du projet Unité de tourneurs, fraiseurs, traitement des métaux Secteur I.M.M Branche Traitement des métaux Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité d’acceuil 200 T par an Besoin en superficie 2.500 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Parmi les métiers prometteurs, il y a le tourneur traditionnel fabrique des pièces sur un tour. Le fraiseur, lui aussi, fabrique des pièces mécaniques mais sur une machine appelée fraiseuse. Le tourneur façonne sur une machine-outil des pièces parfaitement lisses à des dimensions exactes correspondant à la commande. Sur un tour, c’est l’outil qui avance sur la pièce. Sur une fraiseuse c’est la pièce qui avance vers l’outil. Sur les pièces à produire, le fraiseur perce, fait des rainures ou toute autre opération selon des commandes à exécuter avec précision.

Justification du projet Le besoin de la région en tourneurs et fraiseurs est de plus en plus important, exprimé par les différents secteurs qui se basent sur la mécanique. Il s’agit principalement des tourneurs et fraiseurs usant des nouvelles technologies de pointe vu la complexité de la mécanique exploitée par les industries nouvelles.

Conseils techniques Le métier du tourneur et fraiseur est de plus en plus informatisé, permettant une précision optimum et la maîtrise de la qualité Pour les unités entièrement automatisées, l'opérateur peut surveiller plusieurs machines travaillant en réseau. Aujourd’hui, La plupart des tours et fraiseuses sont des machines automatisées à commandes numériques. Le tourneur-fraiseur étudie, à l’aide de plans pré-établis, les pièces mécaniques à fabriquer puis monte et règle les outils nécessaires à leur production. Pendant la fabrication, les mécaniciens tourneurs-fraiseurs veillent sur la machine et contrôlent les pièces usinées.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_10

Intitulé du projet Fabrication de moules pour semelles Secteur Industries Métalliques et Mécaniques Branche

Fabrication de machines et équipements Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 6.000.000 MAD Capacité de production 30.000 unités par an Besoin en superficie 3.500 m² Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels Le Marché local, national Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Au niveau national, l’industrie de la chaussure inclut plus de 230 entreprises, en plus des entreprises semi-industrielles et artisanales qui couvrent environ cent millions de paires de chaussures de toutes sortes. La valeur est estimée à 122 millions de dollars. L’industrie de la chaussure concerne les chaussures de luxe et semi luxe ; chaussures de ville ; chaussures pour dames, hommes ou enfants ; chaussures de sport ; sandales ; chaussures tressées ; mocassins ; pantoufles ; chaussures de travail, de sécurité et spéciales ; chaussures militaire, de montagne et chaussures en caoutchouc ou en plastique. Les types de chaussures fabriquées se différencient, aussi, par le procédé de fabrication dont on cite : blake ; california ; cousu retourné et cousu sandalette ; cousu trépointe ; injecté plastique ; mixte, Soudé et Vulcanisé.

Justification du projet Cette activité fait partie de l’industrie mécanique (IMME) et constitue le fleuron de l’industrie de la chaussure dont dépend étroitement le développement du secteur cuir. L’inexistence de cette activité constitue encore un handicap au secteur et réduit énormément de sa compétitivité et créativité. L’industrie chaussure marocaine est tributaire des importations de moules pour semelles, à raison de 55 Millions DH en moyenne par an. Situation qui offre une opportunité d’investissement en matière de fabrication de moules pour semelles et matrices pour l’industrie cuir au Maroc, afin de se substituer des importations massives d’une part, et de dynamiser le secteur cuir d’autre part, pour rehausser sa compétitivité et performance tant au niveau national qu’international. L’activité de transformation de cuir est presque inexistante dans la région. Et ce en présence d’une demande importante et évolutive due à l’expansion démographique qu’elle connaît. En effet, la consommation en articles de chaussures au niveau de la région est estimée à 1 500 000 paires par an.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_11

Intitulé du projet Fabrication de semoirs et pulvérisateurs destinés à la préparation et entretien des récoltes Secteur Fabrication de machines et équipements

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Données sur le secteur La région du GCBH est sans conteste une région à fort potentiel agricole. En effet, elle totalise 1,2% du territoire national avec une superficie de 893 860 ha dont 68% de surface agricole utile (7% de la SAU nationale). Un peu plus de 20% de la SAU est aménagée et irriguée.

Branche Fabrication de matériel agricole

Avec 130 000 hectares irrigués, la région du Gharb constitue le périmètre d'irrigation le plus étendu du pays, soit 21% de la superficie nationale irriguée en grande hydraulique.

Lieu d’implantation proposé Commune : kénitra, Sidi Kacem

La valeur ajoutée d'un hectare équipé est de l'ordre de 20 000 DH.

Coût global du projet 18.000.000 MAD Capacité de production 1.500 unités par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Le Marché régional et national Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Les activités agricoles occupent plus de 50% de la population de la région. L'agriculture est appelée à alimenter un secteur agro-industriel et un marché très important constitué par les grands centres de consommation : Casablanca, Rabat, Fès et Tanger.

Justification du projet La région du Gharb est une région à vocation essentiellement agricole. Dans ce sens le besoin en matériel agricole est important, surtout avec le développement et la diversification de la pratique agricole qu’elle connaît.

Conseils Recherche de partenaires étrangers ou nationaux pour sous-traitance en matière de montage et représentation commerciale.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IMME_12

Intitulé du projet Unité de fabrication de plaques photovoltaïques à usage domestique (énergie solaire) Secteur I.M.M Branche Fabrication de machines et équipements Lieu d’implantation proposé Commune : Kenitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 10.000 m² de capteurs Besoin en superficie

15.000 m2 Besoin en RH 50 personnes. Marchés potentiels

National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Le Maroc est, pour de nombreux experts internationaux, un site potentiel pour la production d'énergie solaire qui est capable d'assurer la couverture des besoins mondiaux en électricité dans les décennies à venir. Le Maroc dispose d'un important gisement solaire. 30 % du territoire reçoit annuellement plus de 2000 kWh par m2. Avec un rendement du système Stirling de 25 % et un taux d'occupation du sol aussi de 25 %, la mobilisation de 1 % de la surface avec le gisement élevé permettrait de produire environ 210 TWh par an, ce qui représente plus de 15 fois la demande nationale en l'an 2000.

Justification du projet Le besoin en énergie se fait de plus en plus senti dans les milieux aussi bien industriels que ceux des ménages. Par conséquent, le recours aux nouvelles sources d’énergie renouvelable est la tendance actuelle et future. L'énergie solaire vient souvent en complément d'une autre source d'énergie (gaz, électricité, fioul). Elle permet d'alimenter en énergie le circuit de chauffage de la maison, d'apporter un complément pour les équipements électriques tel que le chauffe-eau. Pour l'eau chaude par exemple, elle représente une économie de 40 à 80 % d'énergie. Dans ce sens la création d’une unité de fabrication du matérielle d’utilisation de l’énergie solaire et photovoltaïque est une opportunité d’investissement importante à saisir, vu le besoin croissant qui s’exprime au niveau national et régional.

Conseils techniques Les technologies se divisent en deux grandes familles: - Le silicium cristallin (qu'il soit mono ou poly) est une technologie éprouvée, dont le rendement est de l'ordre de 13 %. - Silicium amorphe : Les coûts de fabrication sont sensiblement meilleur marché que ceux du silicium cristallin. Les cellules amorphes sont utilisées partout où une alternative économique est recherchée, ou, quand très peu d'électricité est nécessaire (par exemple, alimentation des montres, calculatrices, luminaires de secours). D'autres techniques semblent gagner du terrain aujourd'hui, ce sont les technologies en ruban et les couches minces.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IMME_13

Intitulé du projet Unité d’assemblage de matériel agricole Secteur Fabrication de équipements

machines

et

Branche Fabrication de matériel agricole Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Taibi, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 15.000.000 MAD

Données sur le secteur La région du GCBH est sans conteste une région à fort potentiel agricole. En effet, elle totalise 1,2% du territoire national avec une superficie de 893 860 ha dont 68% de surface agricole utile (7% de la SAU nationale). Un peu plus de 20% de la SAU est aménagée et irriguée. Avec 130 000 hectares irrigués, la région du Gharb constitue le périmètre d'irrigation le plus étendu du pays, soit 21% de la superficie nationale irriguée en grande hydraulique. La valeur ajoutée d'un hectare équipé est de l'ordre de 20 000 DH. Les activités agricoles occupent plus de 50% de la population de la région. L'agriculture est appelée à alimenter un secteur agro-industriel et un marché très important constitué par les grands centres de consommation : Casablanca, Rabat, Fès et Tanger.

Capacité de production 150 engins par an

Justification du projet Besoin en superficie 2.500 m² Besoin en RH 30 personnes

La région du Gharb est une région à vocation essentiellement agricole. Dans ce sens le besoin en matériel agricole est important, surtout avec le développement et la diversification de la pratique agricole qu’elle connaît.

Marchés potentiels Le Marché régional et national.

Conseils techniques

Informations Utiles :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Recherche de partenaires étrangers ou nationaux pour sous-traitance en matière de montage et représentation commerciale.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IMME_14

Intitulé du projet Unité de menuiserie d’aluminium Secteur IMM Branche Menuiserie métallique Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kecm, Ouezzane, Jorf El Melha, Sidi Taibi, Sidi Slimane, Sidi Yahia, Had Kourt, Souk Larbaa Coût global du projet 250.000 DH Capacité de production 1.000 m² par an Besoin en superficie 150 m² Besoin en RH 6 Permanents Marchés potentiels Régional, National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electrique, et Electriques, Electroniques(IMME), est au centre de tous les autres secteurs économiques. Le secteur des IMME intervient actuellement pour 17,55% dans la production industrielle nationale. La richesse du secteur des IMME c'est surtout 70 000 emplois occupés dans plus de 38 métiers différents. Le secteur IMME comprend 11 branches d'activités dont 4 disposent d'un fort potentiel à l'export, à savoir : Ouvrages en métaux ; Matériel de transport ; Matériel Electrique, Electronique & Composants Electroniques ; Sous-traitance électrique et électronique. Bien que le secteur des IMM ne constitue que 7% des investissements globales de la Région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, il a enregistré une progression qui dépasse les 200%. Ceci s’explique par l’implantation de nouvelles unités opérant dans le secteur. Les Industries Métallurgiques et Mécaniques (IMM) interviennent pour 17,55% dans la production industrielle nationale. Ce secteur emploi presque 70 000 personnes dans plus de 38 métiers différents.

Justification du projet La demande croissante pour les produits en profilé d’aluminium dans la construction, tant au niveau régional qu’au niveau national, constitue une opportunité importante d’investissement à saisir. Son caractère économique face à la concurrence du bois, sa facilité d’utilisation et l’aspect peu capitalistique du projet justifient la pertinence de ce projet.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en matériaux travaillés : profilés en alliages d'aluminium.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IMME_15

Intitulé du projet Unité de menuiserie en Inox Secteur IMM Branche Menuiserie métallique

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kecm, Ouezzane, Sidi Taibi, Sidi Slimane Coût global du projet 500.000 DH Capacité de production 1.000 ml par an Besoin en superficie 500 m² Besoin en RH 20 Permanents Marchés potentiels Régional, National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electrique, et Electriques, Electroniques(IMME), est au centre de tous les autres secteurs économiques. Le secteur des IMME intervient actuellement pour 17,55% dans la production industrielle nationale. La richesse du secteur des IMME c'est surtout 70 000 emplois occupés dans plus de 38 métiers différents. Le secteur IMME comprend 11 branches d'activités dont 4 disposent d'un fort potentiel à l'export, à savoir : Ouvrages en métaux ; Matériel de transport ; Matériel Electrique, Electronique & Composants Electroniques ; Sous-traitance électrique et électronique. Bien que le secteur des IMM ne constitue que 7% des investissements globales de la Région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, il a enregistré une progression qui dépasse les 200%. Ceci s’explique par l’implantation de nouvelles unités opérant dans le secteur. Les Industries Métallurgiques et Mécaniques (IMM) interviennent pour 17,55% dans la production industrielle nationale. Ce secteur emploi presque 70 000 personnes dans plus de 38 métiers différents.

Justification du projet La demande croissante pour les produits en inox dans la construction, tant au niveau régional qu’au niveau national, constitue une opportunité importante d’investissement à saisir. Son caractère économique face à la concurrence du bois, sa facilité d’utilisation et l’aspect peu capitalistique du projet justifient la pertinence de ce projet.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en matériaux travaillés : profilés en alliages d'aluminium.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IMME_16

Intitulé du projet Unité de fabrication de profilés en alliage d’aluminium Secteur IMME Branche Menuiserie métallique Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 30.000.000 MAD Capacité de production 40.000 m² par an Besoin en superficie 40.000 m² Besoin en RH 200 Personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electrique, et Electriques, Electroniques(IMME), est au centre de tous les autres secteurs économiques. Le secteur des IMME intervient actuellement pour 17,55% dans la production industrielle nationale. La richesse du secteur des IMME c'est surtout 70.000 emplois occupés dans plus de 38 métiers différents. Le secteur IMME comprend 11 branches d'activités dont 4 disposent d'un fort potentiel à l'export, à savoir : Ouvrages en métaux ; Matériel de transport ; Matériel Electrique, Electronique & Composants Electroniques ; Sous-traitance électrique et électronique. Bien que le secteur des IMM ne constitue que 7% des investissements globales de la Région GharbChrarda-Béni Hssen, il a enregistré une progression qui dépasse les 200%. Ceci s’explique par l’implantation de nouvelles unités opérant dans le secteur.

Justification du projet La demande croissante pour les produits en profilé d’aluminium dans la construction, tant au niveau régional qu’au niveau national, constitue une opportunité importante d’investissement à saisir. Son caractère économique face à la concurrence du bois, sa facilité d’utilisation et son esthétique justifient la pertinence de ce projet. Les menuiseries aluminium doivent leur succès à la mode des façades vitrées pour des bâtiments à usages professionnels et d’habitat. Par ailleurs, de nouveaux débouchés existent pour la menuiserie mixte « Aluminium-Bois » pour l’aménagement des espaces intérieurs. La région du GCBH dispose d’un grand bassin d’emploi de mains d’œuvres qualifiées ce qui est une exigence pour un tel investissement.

Conseils techniques La production de profilés en alliage d’aluminium passe par plusieurs étapes. Premièrement le filage consiste à forcer l’aluminium à s’écouler à travers une pièce métallique appelée filière, ayant au retrait près les dimensions du profilé à fabriquer. Celui-ci peut rester neutre ou être soumis à un traitement de surface par anodisation ou thermo laquage. L’anodisation reproduit de manière industrielle le phénomène naturel d’oxydation qui intervient lorsque l’aluminium se combine à l'oxygène de l'air pour former une couche d'oxyde protectrice. Le thermo laquage consiste lui en l'application d'une poudre polyester colorée qui se transforme après cuisson en un film dur et résistant. Le parachèvement des profilés en alliage d’aluminium est une activité de seconde œuvre qui

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

consiste à rendre un service sur-mesure offrant des produits prêts au montage.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en alliage d’aluminium. La demande mondiale d'aluminium a progressé de 10 millions de tonnes en 1970 à plus de 32 millions en 2005. Les projections pour 2015 atteignent 51 millions de tonnes. Bien que l'aluminium soit le troisième élément le plus abondant de la croûte terrestre, le coût et l'énergie requis pour transformer le minerai en aluminium utilisable industriellement est très significatif. L'aluminium, quelle que soit son origine, peut être recyclé indéfiniment sans perdre ses propriétés remarquables. Le recyclage de l'aluminium ne nécessite que 5% de l'énergie nécessaire à la production d'aluminium primaire. Le recyclage de l'aluminium économise l'énergie, sauvegarde les ressources fossiles, réduit les mises en décharge et relève du bon sens économique. L'aluminium recyclé devient une partie de plus en plus importante de la chaîne d'approvisionnement d'aluminium avec une part de marché qui devrait croître de 17% en 1960 à plus de 38% de 2020.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur

Fiche de projet n° S_IMME_17

La chaudronnerie est une branche de l'industrie, dont l’objet essentiel est la transformation de tous les métaux en feuilles (tôles), par battage ou martelage, pour en faire des appareils nécessaires à différentes industries, et ce avec des machines, notamment les tours à repousser et les presses à emboutir. La chaudronnerie façonne aussi les tubes et profilés. Les matériaux travaillés sont l’acier, l’acier inoxydable, l’aluminium, mais aussi le cuivre, le laiton, ou d’autres plus spécifiques à certaines industries comme l’aéronautique ou le spatial, à base d’alliages spéciaux. La chaudronnerie est utilisée pour l’industrie, la fabrication de charpentes, les coques de bateaux, pour l'industrie nucléaire, pour l'agro-alimentaire, pour la pétrochimie, etc. Aujourd’hui ce métier devient aussi de plus en plus un métier d’art, puisqu’il produit des articles et des ouvrages avec un contenu artistique important.

Intitulé du projet Unité moyenne de travail d’acier, du cuivre et du fer Secteur IMM Branche Chaudronnerie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Ouezzane, Souk Larbaa, Sidi Slimane

Justification du projet

Coût global du projet 250.000 DH

La chaudronnerie est par nature une industrie qui se trouve en amont de plusieurs filières même non industrielles. En effet, son output est utilisé dans des appareils nécessaires à différentes industries, et actuellement en tant qu’objets de décoration pour l’usage direct des ménages. La région GCBH, exprime le besoin des deux produits. En effet, la vocation industrielle de la région et le développement du secteur du BTP génèrent une demande croissante en chaudronnerie. De ce fait, une unité de chaudronnerie moderne répondant aux besoins de l’industrie et des ménages est une opportunité d’investissement importante.

Capacité de production 20 tonnes par an Besoin en superficie 250 m² Besoin en RH 4 personnes

Conseils techniques

Marchés potentiels Local et Régional Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27



La chaudronnerie se divise en deux grandes branches : la chaudronnerie en cuivre et la chaudronnerie en fer. C’est l’épaisseur, plutôt que la nature du métal travaillé, qui entraîne les spécialisations suivantes : Ferblanterie et chaudronnerie légère. / Tôlerie, et ses branches. / Chaudronnerie moyenne. / Grosse chaudronnerie. Les métiers de chaudronnier nécessitent une bonne connaissance des métaux et le respect des normes de sécurité.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant matériaux travaillés : fer, cuivre et l’acier

en

Données sur le secteur Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Données sur le secteur

Fiche de projet n° S_IMME_18

La chaudronnerie est une branche de l'industrie, dont l’objet essentiel est la transformation de tous les métaux en feuilles (tôles), par battage ou martelage, pour en faire des appareils nécessaires à différentes industries, et ce avec des machines, notamment les tours à repousser et les presses à emboutir. La chaudronnerie façonne aussi les tubes et profilés. Les matériaux travaillés sont l’acier, l’acier inoxydable, l’aluminium, mais aussi le cuivre, le laiton, ou d’autres plus spécifiques à certaines industries comme l’aéronautique ou le spatial, à base d’alliages spéciaux. La chaudronnerie est utilisée pour l’industrie, la fabrication de charpentes, les coques de bateaux, pour l'industrie nucléaire, pour l'agro-alimentaire, pour la pétrochimie, etc. Aujourd’hui ce métier devient aussi de plus en plus un métier d’art, puisqu’il produit des articles et des ouvrages avec un contenu artistique important.

Intitulé du projet Unité de chaudronnerie moderne Secteur IMM Branche Chaudronnerie Lieu d’implantation proposé Kénitra, Sidi Communes : Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet 6.000.000 MAD

Justification du projet La chaudronnerie est par nature une industrie qui se trouve en amont de plusieurs filières même non industrielles. En effet, son output est utilisé dans des appareils nécessaires à différentes industries, et actuellement en tant qu’objets de décoration pour l’usage direct des ménages. La région GCBH, exprime le besoin des deux produits. En effet, la vocation industrielle de la région et le développement du secteur du BTP génèrent une demande croissante en chaudronnerie. De ce fait, une unité de chaudronnerie moderne répondant aux besoins de l’industrie et des ménages est une opportunité d’investissement importante.

Capacité d’accueil 150 tonnes par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 75 personnes Marchés potentiels National

Conseils techniques

Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 •

La chaudronnerie se divise en deux grandes branches : la chaudronnerie en cuivre et la chaudronnerie en fer. C’est l’épaisseur, plutôt que la nature du métal travaillé, qui entraîne les spécialisations suivantes : Ferblanterie et chaudronnerie légère. / Tôlerie, et ses branches. / Chaudronnerie moyenne. / Grosse chaudronnerie. Les métiers de chaudronnier nécessitent une bonne connaissance des métaux et le respect des normes de sécurité.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en matériaux travaillés : fer, cuivre, l’acier, l’acier inoxydable, l’aluminium, le laiton…

Données sur le secteur Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_19

Intitulé du projet Rebobinage de moteurs électriques Secteur IMM Branche Réparation et maintenance du matériel électrique Lieu d’implantation proposé Kénitra, Sidi Communes : Kacem, Souk Larbaa Coût global du projet 3.000.000 MAD

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur d´activité électromécanique est l´un des acteurs chef de file pour : -

la maintenance

-

la remise en état et la réparation de commandes et de machines électriques.

-

La remise en état électrique des Moteurs

mécanique

et

Au niveau de la région ce secteur reste promoteur

Justification du projet La région du GCBH a opté pour une stratégie pragmatique d’industrialisation en l’occurrence dans l’industrie agroalimentaire et chimique. De ce fait, le besoin en assistance technique est de plus en plus sentie principalement dans la maintenance des machines et moteurs.

Capacité de production Selon la demande

L’offre de son coté reste limitée, même rare, ne pouvant pas suivre l’évolution industrielle attendue par la région.

Besoin en superficie 4000 m²

Conseils techniques

Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Le Marché régional et national

L’activité du rebobinage de moteurs est une activité nécessitant des compétences techniques de haute qualité ainsi que des habilités spécifiques. Et impose aux spécialistes en la matière de ce doter des outils et des matériaux adaptés aux intervention à réaliser. De ce fait une telle unité exigera la disponibilité d’un personnel de qualité que actuellement le marché de la région n’offre pas en nombre suffisant.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_20

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur d´activité électromécanique est l´un des acteurs chef de file pour :

Intitulé du projet Rebobinage de moteurs électriques

-

la maintenance

-

la remise en état et la réparation de commandes et de machines électriques.

Secteur IMM

-

La remise en état électrique des Moteurs

Branche Réparation de matériel électrique Lieu d’implantation proposé Kénitra, Sidi Communes : Kacem, Souk Larbaa Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production Selon la demande Besoin en superficie 1000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Le Marché régional et national

mécanique

et

Au niveau de la région ce secteur reste promoteur

Justification du projet La région du GCBH à opté pour une stratégie d’industrialisation en l’occurrence dans l’industrie agroalimentaire et chimique et pragmatique. De ce fait, le besoin en assistance technique est de plus en plus sentie principalement dans la maintenance des machines et moteurs. L’offre de son coté reste limitée, même rare, ne pouvant pas suivre l’évolution industrielle attendue par la région.

Conseils techniques L’activité du rebobinage de moteurs est une activité nécessitant des compétences techniques de haute qualité ainsi que des habilités spécifiques. Et impose aux spécialistes en la matière de ce doter des outils et des matériaux adaptés aux intervention à réaliser. De ce fait une telle unité exigera la disponibilité d’un personnel de qualité que actuellement le marché de la région n’offre pas en nombre suffisant.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Fiche de projet n°S_IMME_21

Données sur le secteur Intitulé du projet Fabrication de bennes pour tracteurs Secteur IMME Branche Industrie métallurgique Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 50 unités par an Besoin en superficie 8.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Local et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs. Cette production touche aussi bien le secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits imprimés, diodes, électroménagers...). Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electrique, et Electriques, Electroniques(IMME), est au centre de tous les autres secteurs économiques. Le secteur des IMME intervient actuellement pour 17,55% dans la production industrielle nationale. La richesse du secteur des IMME c'est surtout 70 000 emplois occupés dans plus de 38 métiers différents. Les projets actuels dans l'automobile et dans l'aéronautique en témoignent. Le Maroc peut abriter des plates-formes complètes pour l'assemblage, la fabrication, et même la conception d'éléments de machines complexes. La métallurgie prend également un essor considérable grâce à des ensembles industriels nouvellement créés, et à des entreprises dynamiques, exportatrices et créatrices de valeurs et d'emplois.

Justification du projet Le Gharb est une région agricole par excellence et concentre le plus grand nombre de tracteurs au Maroc, c’est

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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pourquoi la demande pour produit est potentiellement forte.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

ce

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_22

Intitulé du projet Fabrication de bennes pour camions Secteur IMME Branche Industrie métallurgique Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 50.000.000 MAD Capacité de production 80 unités par an Besoin en superficie 30.000 m² Besoin en RH 150 personnes

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs. Cette production touche aussi bien le secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits imprimés, diodes, électroménagers...). Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electrique, et Electriques, Electroniques(IMME), est au centre de tous les autres secteurs économiques. Le secteur des IMME intervient actuellement

Marchés potentiels Local et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

pour 17,55% dans la production industrielle nationale. La richesse du secteur des IMME c'est surtout 70 000 emplois occupés dans plus de 38 métiers différents. Les projets actuels dans l'automobile et dans l'aéronautique en témoignent. Le Maroc peut abriter des plates-formes complètes pour l'assemblage, la fabrication, Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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et même la conception d'éléments de machines complexes. La métallurgie prend également un essor considérable grâce à des ensembles industriels nouvellement créés, et à des entreprises dynamiques, exportatrices et créatrices de valeurs et d'emplois.

Justification du projet Le secteur du transport de marchandises est très développé, ceci s’explique par la situation géostratégique qu’occupe la région ce qui fait d’elle un passage obligé. Le développement du parc de camions au niveau de la région et des régions avoisinantes justifie l’importance et la pertinence d’un tel projet.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IMME_23

Intitulé du projet Fabrication de bennes pour camions utilitaires Secteur IMME Branche Industrie métallurgique Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 50 unités par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 70 personnes

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electriques et Electroniques a acquis une place de plus en plus prépondérante dans le tissu industriel marocain. Outre son rôle stratégique de pourvoyeur de biens d'équipement à l'économie nationale et de leur maintenance, il contribue largement à la promotion de l'enseignement technique et au renforcement de l'infrastructure industrielle du Maroc. Le secteur des IMME recèle d'importantes potentialités à l'exportation, ainsi plusieurs unités de production travaillent actuellement à 50%, et même moins de leur capacité de production et seraient en mesure, en augmentant le facteur de travail, de dégager une production supplémentaire destinée aux marchés extérieurs. Cette production touche aussi bien le secteur de l'industrie lourde (pièces en fonte, en acier...) que celui de l'industrie de pointe (circuits imprimés, diodes, électroménagers...). Le secteur des Industries Métallurgiques, Mécaniques, Electrique, et Electriques, Electroniques(IMME), est au centre de tous les autres secteurs économiques. Le secteur des IMME intervient actuellement pour 17,55% dans la production industrielle

Marchés potentiels Local et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

nationale. La richesse du secteur des IMME c'est surtout 70 000 emplois occupés dans plus de 38 métiers différents. Les projets actuels dans l'automobile et dans l'aéronautique en témoignent. Le Maroc peut abriter des plates-formes complètes pour l'assemblage, la fabrication, et même la conception d'éléments de machines complexes.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

La métallurgie prend également un essor considérable grâce à des ensembles industriels nouvellement créés, et à des entreprises dynamiques, exportatrices et créatrices de valeurs et d'emplois.

Justification du projet Le secteur du transport de marchandises est très développé, ceci s’explique par la situation géostratégique qu’occupe la région ce qui fait d’elle un passage obligé. Le développement du parc de camions au niveau de la région et des régions avoisinantes justifie l’importance et la pertinence d’un tel projet.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAuto_01

Intitulé du projet Faisceaux de câbles Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi Coût global du projet 25.000.000 MAD Capacité de production 1.000.000 unités par an Besoin en superficie 20 000 m² Besoin en RH 1000 personnes Marchés potentiels National et Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_02

Intitulé du projet Tubes annelés pour faisceaux de câbles automobiles Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 4.000 000 mètres / an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 450 personnes Marchés potentiels National et Export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Les tubes annelés employés pour le câblage dans le secteur automobile garantissent la protection de tout type d’agression (agents atmosphériques, substances chimiques, sources de chaleur) et permettent d’éliminer les interférences. Ils sont du type isolant à paroi simple. Ils se distinguent par leur flexibilité, leur adaptabilité dans les assemblages des câbles électriques et la facilité de leur connexion avec les différents supports du châssis. Du fait de leur légèreté, de leur maniabilité et surtout qu’ils peuvent être produits en grande vitesse, les applications des tubes flexibles annelés sont nombreuses. Ils sont produits par extrusion de matières plastiques tels que le polypropylène, le polyamide ou le polyéthylène haute densité. Les tubes ou tuyaux annelés utilisés pour la protection des faisceaux de câbles d’automobiles sont des éléments dont la demande peut croître d’une manière accélérée en rapport avec le développement important et rapide que connaît la production des faisceaux de câbles au Maroc en général et dans la Région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen en particulier. Le choix de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen se justifie essentiellement par la réduction des délais de débarquement et d’expédition grâce à la proximité des ports de Tanger et de Casablanca et aussi par la concentration en main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Conseils techniques La production des tubes annelés utilisés pour la protection des faisceaux de câbles automobiles doit obéir à des contraintes de qualité et des normes d’utilisation strictes. Elle a recours à l’extrusion comme procédé de fabrication. Cette activité vit à un rythme accéléré à l’instar du développement technologique que connaît la fabrication des faisceaux de câbles, activité à laquelle la production des tubes annelés est intimement liée. Sachant que le projet est destiné à travailler pour des constructeurs automobiles, le promoteur sera confronté à des équipementiers qui appliquent les méthodes de gestion de la qualité totale, de la livraison conformément au concept du juste à temps. Les constructeurs exigent des fournisseurs ou équipementiers « de second rang » et des sous traitants d’appliquer eux aussi ces mêmes méthodes. Cette unité devra s’équiper de d’une ligne d’extrusion, de jeux de 50+2 moules, d’équipement pour tête, d’une coupeuse à guillotine et d’un enrouleur. Le procédé de fabrication du tube annelé relève de la technologie de l’extrusion en continu. La séquence de fabrication comporte cinq phases. Phase I : La préparation de la matière est une phase critique qui commence par l’achat et se termine par la mise au point du mélange. Phase II : L’extrusion est l’étape de modelage du polymère. Phase III La mise en profil est l’étape de mise en forme du tube sorti de la filière d’extrusion en profil annelé à l’aide d’une profileuse à mouvement rotatif des moules. Phase IV : Dans la production des tuyaux plastiques, le calibrage représente l’étape de refroidissement qui permet de répondre aux exigences dimensionnelles. Phase V : On procède à cette étape au contrôle des tuyaux annelés. Tout au long du cycle de production (phase II à V), la production est contrôlée par le personnel de production et par le Contrôleur Qualité.

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Le choix de la matière première se fait en tenant compte des facteurs suivants : caractéristiques mécaniques, caractéristiques électriques, caractéristiques chimiques, caractéristiques thermiques, coloration, stabilité dimensionnelle, qui dépend des contraintes d’environnement (l’hygrométrie, la température, les contraintes mécaniques…), comportement au feu, qui peut varier en fonction de la géométrie du profilé, des additifs, du secteur visé et des conditions d’emploi, comportement aux agents climatiques. Certains thermoplastiques présentent une bonne résistance aux agents climatiques (UV, infrarouges, brouillard salin, …). La conception permet d’établir une liste des caractéristiques que devra posséder le produit. On pourra classer ces caractéristiques par ordre hiérarchique d’importance décroissante. La matière retenue sera celle qui satisfera le plus grand nombre de conditions principales. Ce choix de la matière permet de fixer définitivement les caractéristiques du profilé (géométrie, épaisseur, tolérances,…).

Conditions d’approvisionnement Le choix des matières premières est déterminant pour la qualité et les performances d’un produit. Les tubes annelés, selon l’usage qui en est fait et les conditions de leur utilisation, peuvent être extrudés à partir de diverses matières : le Polypropylène, le polyamide ou le PEhd. Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAuto_03

Intitulé du projet Systèmes d’échappement Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 44.500.000 MAD Capacité de production - Silencieux (avant et arrière) (500 000 Unités par an) - Catalyseurs (250 000 Unités par an) - Tuyaux collecteurs et intermédiaires (140 000 unités par an) Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels Export 60% et Local 40% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_04

Intitulé du projet Plaquettes de freins Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 11.000.000 MAD Capacité de production 300 000 jeux par an Besoin en superficie 5 000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Local 80 % Export 20 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_05

Intitulé du projet Moule pour pièces Auto Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi Coût global du projet 12.000.000 MAD

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Besoin en superficie 3 000 m²

Justification du projet

Besoin en RH 15 personnes

Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc.

Marchés potentiels Local 100 %

Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_06

Intitulé du projet Tapis autos (Equipements d’intérieur) Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 50.000.000 MAD Capacité de production 900 000 unités par an Besoin en superficie 25 000 m² Besoin en RH 250 personnes Marchés potentiels Local 20 % - Export 80 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Conditions d’approvisionnement L’industrie de la transformation du caoutchouc réalise, à partir de matières brutes, des mélanges crus qui seront dans un second temps mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses matières premières : des élastomères bruts, mais aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des huiles, du soufre, du zinc... Cette industrie est également une grosse consommatrice de métal dans le cadre de la fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal, et de textiles (rayonne, aramide, polyester, polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques, tuyaux, bandes transporteuses...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_IAuto_07

Intitulé du projet Soufflet de levier de vitesse (Equipements d’intérieur) Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 50.000.000 MAD Capacité de production 800 000 unités par an Besoin en superficie 20 000 m² Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels Local 20 % - Export 80 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composantes automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Conditions d’approvisionnement L’industrie de la transformation du caoutchouc réalise, à partir de matières brutes, des mélanges crus qui seront dans un second temps mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses matières premières : des élastomères bruts, mais aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des huiles, du soufre, du zinc... Cette industrie est également une grosse consommatrice de métal dans le cadre de la fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal, et de textiles (rayonne, aramide, polyester, polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques, tuyaux, bandes transporteuses...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_08

Intitulé du projet Equipements d’intérieur (Housses pour sièges) Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem et Sidi Taibi.

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Coût global du projet 70.000.000 MAD Capacité de production 1 000 000 unités par an Besoin en superficie 40 000 m² Besoin en RH 300 personnes Marchés potentiels Local 20 % - Export 80 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composantes automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_09

Intitulé du projet Pièces en caoutchouc pour automobile Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra Coût global du projet 60.000.000 MAD Capacité de production 1 200 tonnes/an Besoin en superficie 20 000 m² Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels Local 60% - Export 40% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams. L'industrie du caoutchouc est composée d'entreprises qui produisent principalement des pneus en caoutchouc, des tubes, des tuyaux, des courroies, des rondelles et des joints d'étanchéité, des coupe-froid, des bandes, etc. La fabrication des Pneumatiques et chambres à air est une activité exercée principalement par des filiales de grandes firmes multinationales qui travaillent aussi bien pour le marché local qu'à l'export. Les exportations ont été de l’ordre de 12,5 millions de dollars américains en 2003. Les principales destinations à l’export de cette branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne 11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,… L’industrie du pneu rechapé représente plus de 2 milliards de dollars par an dans le monde.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en pneus usés et matières premières tel que le caoutchouc naturel et synthétique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_10

Intitulé du projet Equipements d’intérieur (Panneaux de portes) Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 60.000.000 MAD Capacité de production 800.000 unités par an Besoin en superficie 30.000 m² Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels Local 20 % - Export 80 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Conditions d’approvisionnement L’industrie de la transformation du caoutchouc réalise, à partir de matières brutes, des mélanges crus qui seront dans un second temps mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses matières premières : des élastomères bruts, mais aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des huiles, du soufre, du zinc... Cette industrie est également une grosse consommatrice de métal dans le cadre de la fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal, et de textiles (rayonne, aramide, polyester, polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques, tuyaux, bandes transporteuses...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_11

Intitulé du projet Ressorts à lames Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 50.000.000 MAD Capacité de production 130.000 unités/an Besoin en superficie 12.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels Export 90 % Local 10% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée. Ce projet consiste en une entreprise qui fournira des ressorts à lames conventionnels et paraboliques pour différents types de véhicules et qui tiennent compte du double rôle du produit à savoir soutenir une charge et assurer le confort.

Conditions d’approvisionnement L’entreprise devra assurer un approvisionnement constant essentiellement en acier plat (Dimension : largeur : 50 à 120 mm ; épaisseur : 6 à 60 mm), patin en caoutchouc, visserie, bagues (en bronze, métal, caoutchouc,…), matière consommable (peinture, grenaille, bois, huiles,…). Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_11

Intitulé du projet Ressorts à lames Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 50.000.000 MAD Capacité de production 130.000 unités/an Besoin en superficie 12.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels Export 90 % Local 10% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée. Ce projet consiste en une entreprise qui fournira des ressorts à lames conventionnels et paraboliques pour différents types de véhicules et qui tiennent compte du double rôle du produit à savoir soutenir une charge et assurer le confort.

Conditions d’approvisionnement L’entreprise devra assurer un approvisionnement constant essentiellement en acier plat (Dimension : largeur : 50 à 120 mm ; épaisseur : 6 à 60 mm), patin en caoutchouc, visserie, bagues (en bronze, métal, caoutchouc,…), matière consommable (peinture, grenaille, bois, huiles,…). Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S-IAuto_12

Intitulé du projet Amortisseurs Secteur Industrie automobile

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises.

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi.

Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Coût global du projet 100.000.000 MAD

Justification du projet

Capacité de production 550 000 unités/an

Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc.

Branche Composantes automobiles

Besoin en superficie 30 000 m² Besoin en RH 100 Personnes Marchés potentiels Export 60% Local 40% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_13

Intitulé du projet Radiateurs en aluminium Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 24.000.000 MAD Capacité de production 50.000 unités par an Besoin en superficie 5000 m² Besoin en RH 50 Personnes Marchés potentiels Export 80% Local 20% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_14

Intitulé du projet Durits et Joints de portes Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 26.000.000 MAD Capacité de production 1 300 tonnes/an Besoin en superficie 10 000 m² Besoin en RH 80 Personnes Marchés potentiels Export 35 % Local 65% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_15

Intitulé du projet Garnitures d’embrayage Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 1 500 000 unités par an Besoin en superficie 8 000 m² Besoin en RH 75 personnes Marchés potentiels Local 30 % - Export 70 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_16

Intitulé du projet Câbles électriques Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 23.000.000 MAD Capacité de production 10 000 tonnes par an

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc.

Marchés potentiels Local 30 % - Export 70 %

Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Besoin en superficie 7 000 m² Besoin en RH 70 personnes

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_17

Intitulé du projet Fabrication de connectiques Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 20.000.000 MAD

-

Capacité de production Connecteur 1 : 2 250 000 U/an Connecteur 2 : 5 000 000 U/an Connecteur 3 : 150 000 U/an Connecteur 4 : 150 000 U/an Connecteur 5 : 50 000 U/an Besoin en superficie 15 000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels Export 80 % Local 20%

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_18

Intitulé du projet Filtres pour véhicules industriels Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Coût global du projet 48.000.000 MAD Capacité de production 3 500 000 unités/an Besoin en superficie 20 000 m² Besoin en RH 70 Personnes Marchés potentiels Export 80 % Local 20%

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée. Ce projet consiste en une entreprise de fabrication de filtres pour véhicules légers, poids lourds et véhicules industriels, pour la Première Monte comme pour la Rechange Indépendante.

Conseils techniques Pour assurer aux filtres un haut niveau de performance et de qualité, l’unité devra disposer :  d'un moyen d'assemblage performant, entièrement automatique,  et d'un contrôle unitaire qui répond aux exigences de sécurité des produits.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_19

Intitulé du projet Moulage à cire perdue de pièces automobiles Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi.

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Coût global du projet 54.000.000 MAD Capacité de production 75 tonnes/an Besoin en superficie 8 000 m² Besoin en RH 30 Personnes Marchés potentiels Export 10 % Local 90% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_20

Intitulé du projet Décolletage de pièces automobiles Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 23.000.000 MAD Capacité de production 10.000.000 pièces par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Export 95% Local 5% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 19972005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. Ce projet consiste en un entreprise de mécanique spécialisée dans le décolletage et l'usinage de haute précision pour la production de pièces de révolution en petites, en moyennes et en grandes séries pour les industriels. Du décolletage sur commandes numériques au décolletage traditionnel, les travaux sont réalisés sur des pièces de différentes formes et de différentes matières. L'usinage automatique des matériaux complexes et des alliages est entrepris sur des pièces en acier, en plastique, en laiton, en aluminium, en cuivre, en nylon, en inox, en bronze, en titane ou en fibre verre. Ces opérations sont complétées par des services de reprise, de soudage, d'assemblage, de traitement de surface et de traitement thermique pour une meilleure qualité du produit fini. Le fabricant assurera également la confection d'articles de boulonnerie, de visserie, de rondelles, de boulons, de goupilles et de dérivés.

Conseils techniques Cette unité devra être équipée de tours automatiques mono-broches à cannes, de tours automatiques multibroches, de tours escomatiques et de machines transferts à plateau rotatif travaillant la matière en fil.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement devra s’effectuer selon les demandes principalement en acier, en plastique, en laiton, en aluminium, en cuivre, en nylon, en inox, en bronze, en titane ou en fibre verre.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_21

Intitulé du projet Unité de traitement de surface par anodisation et bichromatage Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, ST Coût global du projet 45.000.000 MAD Capacité de production 3 000 tonnes/an Besoin en superficie 6 000 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Export 5 % Local 95% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export.

Conseils techniques S’équiper principalement de : Bain de liquide d’anodisation, Générateur de courant continu, Unité de dégraissage, Unité de décapage, Unité de rinçage par émersion, Bain à base de chrome, Machine à mesures 3D, Laboratoire, Outillages…

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_22

Intitulé du projet Garnitures de freins Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 40.000.000 MAD Capacité de production 150.000 unités/an

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc.

Marchés potentiels Export 60 % - Local 40%

Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 40 Personnes

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_23

Intitulé du projet Rénovation des cardans Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 35.000.000 MAD Capacité de production 70.000 unités/an

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc.

Marchés potentiels Export 20 % - Local 80%

Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Besoin en superficie 5 000 m² Besoin en RH 60 Personnes

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_24

Intitulé du projet Assemblage de Minibus Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem et Sidi Taibi. Coût global du projet 20.000.000. MAD Capacité de production 300 unités/an

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc.

Marchés potentiels Local

Les exportations des composants automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Besoin en superficie 40 000 m² Besoin en RH 60 Personnes

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Fiche de projet n°S_IAuto_25

Intitulé du projet Unité de montage d’assemblage d’autocars

et

Secteur Industrie automobile Branche Fabrication de bus et d’autocars Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 300.000.000 MAD

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet

Capacité de production 1000 autocars par an

Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur porteur pour le Maroc.

Besoin en superficie 80.000 m²

La région Gharb-Chrarda-Béni Hssen tend à se positionner sur ce secteur avec succès. L’aménagement futur du Pôle d’Excellence Industriel Intégré spécialisé dans l’industrie automobile et la proximité de la région des grands centres urbains marocains mais aussi européens sont autant de bonnes opportunités à saisir.

Besoin en RH 250 personnes Marchés potentiels : National et International Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_IAuto_26

Intitulé du projet Fabrication de jantes en aluminium pour voitures, motos et utilitaires Secteur Industrie automobile Branche Composantes automobiles Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem et Sidi Taibi Coût global du projet 100.000.000 MAD Capacité de production 1.000 tonnes /an Besoin en superficie 40.000 m² Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels Local 10 % - Export 90 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie automobile marocaine représente près de 5% du PIB industriel, assure 14% des exportations industrielles et entraîne une grande partie de l’économie marocaine. Cette activité comporte plus d’une centaine d’entreprises. Depuis 1996, date de lancement des projets des véhicules économiques, l’industrie automobile au Maroc a connu un nouvel essor de productivité et d’investissement. Sur le plan de la production, cette activité a connu une progression notable entre 1996 et 2003 avec un taux de croissance de près de 86% passant de 6.089 à 11.338 millions de dirhams.

Justification du projet Le plan Emergence a consacré le secteur de l’industrie Automobile en tant que secteur très porteur pour le Maroc. Les exportations des composantes automobiles ont connu un trend haussier durant la période 1997-2005, puisqu’ils étaient de près de un milliard de dirhams en 1997 pour dépasser les 7 milliards de dirhams en 2005. Cette tendance a été confortée par la montée en puissance des équipementiers de 1er rang ainsi que les équipementiers locaux qui, ayant renforcée leur compétitivité, ont pu percer à l’export. La région du Gharb possède plusieurs atouts tels sa proximité de l’Europe, de Tanger Med, de l’usine Renault – Nissan et l’abondance de main d’œuvre qualifiée.

Conseils techniques La fabrication d'une jante aluminium passe par trois étapes, la fonderie, l'usinage et le laquage. Dans la fonderie, par un processus complexe de moulage par dépression, sont formées les jantes brutes. Il s'agit d'un procédé de moulage par lequel le métal en fusion est aspiré par le bas, au travers d'un tuyau étroit dans la cavité du moule (coquille). Dans l'atelier de laquage, les jantes sont traitées de manière entièrement automatique. Elles reçoivent une première couche, après elles sont laquées d'argent dans un procédé « humide sur humide » et ensuite enduites d'une laque transparente de protection.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

La montée du métal en fusion se fait selon le principe de la pression du gaz. La couche supérieure du métal liquide produit une surpression qui pousse doucement le métal dans le moule surélevé. La jante brute est ensuite ébavurée des surplus de moulage (d'injection). Elle est ensuite passée dans une installation de radiographie afin de vérifier qu'aucune cavité et/ou fissure ne se soit formée dans la jante. Après le laquage « humide sur humide » les modèles à voile poli sont traitées par une machine, qui avec un diamant industriel poli le voile de la jante jusqu'à ce qu'il soit brillant. Ces jantes retournent ensuite une deuxième fois à l'atelier de laquage afin d'être protégées par une couche de vernis transparent. Le contrôle final est effectué par des spécialistes formés dans le domaine de l'assurance-qualité.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en aluminium et autres adjuvants composants l’alliage utilisé. Mais aussi, la peinture et le carton pour l’emballage des produits finis.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_01

Intitulé du projet Grande unité d’injection plastique Secteur Industrie Chimique et Para chimique Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Capacité en production 1500 t /an Coût global du projet 35.000.000 MAD Besoin en superficie 4.000 m² Besoin en RH 50 personnes

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Les plastiques apparaissent aujourd’hui comme de véritables "matériaux miracles". L'essor constant de la production d'articles en plastique partout dans le monde tient directement aux qualités intrinsèques de tels objets.

Marchés potentiels Local et export

Les plastiques ont éclipsé d'autres matériaux dans de nombreuses branches.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Ils concurrencent les matériaux traditionnels dans l'emballage, la construction, l'industrie automobile et dans de nombreuses autres branches de l'industrie. Le Maroc dispose d'une grande expérience dans ce secteur, il produit différents ouvrages en matière plastique. La production d'articles en plastique est très variée : emballages et conditionnements, chaussures, articles de ménage, appareils paramédicaux, produits industriels (tuyauteries, cableries). Elle compte 251 unités de production avec un effectif de 10756 personnes. les exportations ont été de 20,1 MUS $ en 2003. Les principales destinations sont la France (43%), la Libye (5%), l'Espagne (5%).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_02

Données sur le secteur

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem

Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Capacité en production 750 t /an

Justification du projet

Coût global du projet 15.000.000 MAD

Les plastiques apparaissent aujourd’hui comme de véritables "matériaux miracles".

Intitulé du projet Unité moyenne plastique Secteur Industrie chimique

d’injection

Chimique

et

Para

Branche Plasturgie

Besoin en superficie 2.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Local et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

L'essor constant de la production d'articles en plastique partout dans le monde tient directement aux qualités intrinsèques de tels objets. Les plastiques ont éclipsé d'autres matériaux dans de nombreuses branches. Ils concurrencent les matériaux traditionnels dans l'emballage, la construction, l'industrie automobile et dans de nombreuses autres branches de l'industrie. Le Maroc dispose d'une grande expérience dans ce secteur, il produit différents ouvrages en matière plastique. La production d'articles en plastique est très variée : emballages et conditionnements, chaussures, articles de ménage, appareils paramédicaux, produits industriels (tuyauteries, câbleries). Elle compte 251 unités de production avec un effectif de 10756 personnes. les exportations ont été de 20,1 MUS $ en 2003. Les principales destinations sont la France (43%), la Libye (5%), l'Espagne (5%).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_03

Intitulé du projet Unité d’extrusion plastiques Secteur Industrie chimique

Chimique

des

et

Para

Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Capacité en production 5 000 tonnes/an Coût global du projet 18.000.000 MAD Besoin en superficie 5000 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Local 80% - Export 20% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Les plastiques apparaissent aujourd’hui comme de véritables "matériaux miracles". L'essor constant de la production d'articles en plastique partout dans le monde tient directement aux qualités intrinsèques de tels objets. Les plastiques ont éclipsé d'autres matériaux dans de nombreuses branches. Ils concurrencent les matériaux traditionnels dans l'emballage, la construction, l'industrie automobile et dans de nombreuses autres branches de l'industrie. Le Maroc dispose d'une grande expérience dans ce secteur, il produit différents ouvrages en matière plastique. La production d'articles en plastique est très variée : emballages et conditionnements, chaussures, articles de ménage, appareils paramédicaux, produits industriels (tuyauteries, câbleries). Elle compte 251 unités de production avec un effectif de 10756 personnes. Les exportations ont été de 20,1 MUS $ en 2003. Les principales destinations sont la France (43%), la Libye (5%), l'Espagne (5%).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_04

Intitulé du projet Unité de production de tuyaux en PVC pour bâtiment Secteur Industrie Chimique et Para Chimique. Branche Industrie du Caoutchouc et du plastique Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 2.500.000 mètre linéaire / an Besoin en superficie

20.000 m2 Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels

Marché National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’usage du plastique dans le bâtiment est devenu plus courant ces dernières années, il intervient aussi bien dans les gros œuvres que dans les seconds œuvres. L’utilisation importante du plastique dans l’habitat est devenue possible grâce aux caractéristiques physiques et chimiques du produit, notamment : la propreté, la commodité, la légèreté et le prix compétitif. En 2003, le secteur employé près de 359 personnes (dont 289 femmes). La production a généré une valeur de 97 805 000 DH. Les investissements ont atteint 11 340 000 DH et le chiffre d’affaires est estimé à 100 672 000 Dh.

Justification du projet L’industrie du plastique dispose encore d’un potentiel sous-exploité et des perspectives prometteuses au Maroc. En effet, la consommation des produits à base de plastique est appelée à croître dans les années à venir, avec en particulier l’adduction de l’eau potable et le programme national d’irrigation. D’autant plus que le taux de substitution du plastique à certains matériaux tel que le bois et l’acier a connu ces derniers temps un accroissement important. Au niveau de la région GCBH, le besoin exprimé par le secteur du BTP est croissant, aussi bien dans le gros œuvre que dans le second, et ce œuvre pour les mêmes raisons.

Conseils techniques La matière première plastique à transformer est formée généralement de poudre, de granulés, de grumeaux ou de pastilles. A cette matière pure s’ajoute des produits auxiliaires. Les procédés de fabrication sont divers et comprennent essentiellement: Montage par compression; Montage par injection; Extrusion à l’aide d’une boudineuse; Calandrage pour la production des feuilles. L’innovation et la créativité sont importantes dans ce secteur.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_05

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité de fabrication d’équipements routiers en plastique Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 250.000 pièces par an Besoin en superficie

10.000 m2 Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels

Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc…), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du GharbChrarda-Béni Hssen

Conseils techniques

National et International

Il existe 2 grands principes de mise en œuvre :

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

- Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

- Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en irréversible.

forme

définitive

est

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_06

Intitulé du projet Unité de fabrication d’articles en matières plastiques pour l'agriculture et l'élevage Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet 15.000.000 DH Capacité de production 500 tonnes par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 75 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ce projet proposera différents produits en plastique à usage agricole tel que : les serres et grands abris, semi-forçage, bâche à plat, culture hors-sol, paillage, micro irrigation, plastiques pour ensilage, enrubannage et protection des fourrages, ficelles agricoles en polypropylène, matières premières plastiques pour les applications agricoles, sacs de pollinisation en matière plastique, matériel en matières plastiques pour l'élevage, etc. Ce projet représente plusieurs opportunités d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen au vu de son grand potentiel agricole d’une part et de sa position stratégique d’autre part.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_07

Intitulé du projet

Unité de fabrication de bonbonnes en plastique Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 8.000 000 DH Capacité de production 5.000.000 unités par an Besoin en superficie 8.000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen. Ce projet proposera des bonbonnes fabriquées sous des normes bien précises. La large ouverture des bonbonnes permettra l'écoulement de produits épais (diam 80 mm). Ces bonbonnes proposeront une fermeture par bouchon inviolable et une poignée de préhension amovible avec une capacité de 6 /10 / 12 litres.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_08

Intitulé du projet

Unité de fabrication de sceaux en plastique Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 10.000 000 DH Capacité de production 6.000.000 unités par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 75 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen. Ce projet proposera une gamme complète de seaux et pots en matière synthétique pour diverses applications. Seaux coniques ou seaux rectangulaires, seaux avec ou sans anse, anse métallique ou en matière synthétique selon le modèle, avec ou sans couvercle, volumes de 0,5 à 32 litres. Fabrication en polypropylène et de qualité alimentaire. Idéal pour le conditionnement de produits en vrac, liquides et produits alimentaires.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs,

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_09

Intitulé du projet

Unité de fabrication de bloc – tiroir en plastique Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 10.000 000 DH Capacité de production 50.000 unités par an

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 75 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_10

Intitulé du projet Unité de fabrication de bacs alimentaires en polypropylène Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 7.500 000 DH Capacité de production 5.000.000 unités par an Besoin en superficie 8.000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen. Ce projet proposera des une large gamme de bacs fabriqués sous des normes bien précises.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_11

Intitulé du projet Unité de fabrication de jouets en plastique Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 5.000 000 DH Capacité de production 75.000 unités par an Besoin en superficie 6.000 m² Besoin en RH 45 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_12

Intitulé du projet Unité de fabrication d’emballage en plastique pour produits alimentaires Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi, Had Kourt, Ouezzane, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Souk Tlet Coût global du projet 5.000.000 DH Capacité de production 2.500.000 unités par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est devenu un élément essentiel pour la conservation, la traçabilité, la communication ou l’innovation des produits de grande consommation comme des produits de luxe. L’emballage doit satisfaire aux besoins et contraintes techniques des industriels. L’emballage est de plus en plus étroitement lié à une conservation optimisée du produit transformé ce qui nécessite une conception de l’emballage prise en compte dès la conception du produit à conditionner. Par ses aspects techniques, marketing et ses valeurs d’usage, il doit satisfaire les attentes du consommateur de l’acte d’achat à la consommation. Par ailleurs, le développement d’emballage est soumis à des contraintes législatives, de plus en plus fortes, en termes de sécurité du consommateur ou de protection de l’environnement que l’industriel doit prendre en compte dès la conception. L’emballage et le conditionnement constituent une opération transversale dans l’industrie qui doit donc allier les différents services de l’entreprise. Ce projet représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière…

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_13

Intitulé du projet Unité de fabrication d’emballage en plastique pour produits agricoles Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi, Had Kourt, Ouezzane, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Souk Tlet Coût global du projet 6.000.000 DH Capacité de production 3.000.000 unités par an Besoin en superficie 8.500 m² Besoin en RH 60 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est devenu un élément essentiel pour la conservation, la traçabilité, la communication ou l’innovation des produits de grande consommation comme des produits de luxe. L’emballage doit satisfaire aux besoins et contraintes techniques des industriels. L’emballage est de plus en plus étroitement lié à une conservation optimisée du produit transformé ce qui nécessite une conception de l’emballage prise en compte dès la conception du produit à conditionner. Par ses aspects techniques, marketing et ses valeurs d’usage, il doit satisfaire les attentes du consommateur de l’acte d’achat à la consommation. Par ailleurs, le développement d’emballage est soumis à des contraintes législatives, de plus en plus fortes, en termes de sécurité du consommateur ou de protection de l’environnement que l’industriel doit prendre en compte dès la conception. L’emballage et le conditionnement constituent une opération transversale dans l’industrie qui doit donc allier les différents services de l’entreprise. Ce projet représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière…

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_14

Intitulé du projet Unité de fabrication de pots et bouteilles en plastique à usage biologique et médical Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 7.000.000 DH Capacité de production 5.000.000 unités par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 75 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est devenu un élément essentiel pour la conservation, la traçabilité, la communication ou l’innovation des produits de grande consommation comme des produits à usage biologique ou/et médical. L’emballage doit satisfaire aux besoins et contraintes techniques des utilisateurs. Ce projet proposera des pots et des bouteilles pour le portionnement, les prélèvements d'échantillons, les contrôles-qualité, les applications dans les laboratoires, les secteurs alimentaires, pharmaceutiques, cosmétique, etc. Ce projet représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_15

Intitulé du projet Unité de fabrication de produits et outils en plastique à usage médical Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 8.000.000 DH Capacité de production 5.000.000 unités par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 70 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est devenu un élément essentiel pour la conservation, la traçabilité, la communication ou l’innovation des produits de grande consommation comme des produits à usage biologique ou/et médical. L’emballage doit satisfaire aux besoins et contraintes techniques des utilisateurs. Ce projet proposera des seringues jetables en plastique, bock à lavement plastique, bassin de lit en plastique, connecteurs push-pull avec le corps entièrement en plastique, crachoirs à usage unique en plastique, cuvette haricot en plastique, inhalateur plastique autoclavable, pissette col de cygne en plastique, urinal homme et femme en plastique, etc. Ce projet représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_16

Intitulé du projet Unité de fabrication de pièces automobiles en plastique Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Oulad Slama Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 1.000.000 unités par an Besoin en superficie 25.000 m² Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels National et international Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. La Plasturgie, au niveau mondial, c'est 29 milliards d'euros pour un effectif de 155.732 salariés. Le secteur des pièces techniques représente plus du 1/3 de l'industrie de la transformation des polymères. Le secteur des pièces plastiques travaille à plus de 60% pour l'industrie automobile. Les statistiques mondiales indiquent que le secteur automobile utilise environ 1,7 million de tonnes de matières plastiques fabriquées à partir de 3,25 millions de tonnes de pétrole. Mais l'allègement des véhicules dû aux équipements plastiques induit une économie de carburant de 12 millions de tonnes, évitant l'émission d'environ 300 millions de tonnes de CO2. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen qui a fait de l’industrie des équipements automobiles une priorité stratégique. Ce projet concerne une unité qui effectuera le moulage et finition de pièces en SMC, la peinture et l’assemblage.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

- Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_17

Intitulé du projet Emballage pour produits alimentaires en plastique Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi, Had Kourt, Ouezzane, Moulay Bousselham, Souk Larbaa, Souk Tlet Coût global du projet 5.000.000 DH Capacité de production 2.500.000 unités par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc…), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. L’emballage, de part ses nombreuses fonctions, est devenu un élément essentiel pour la conservation, la traçabilité, la communication ou l’innovation des produits de grande consommation comme des produits de luxe. L’emballage doit satisfaire aux besoins et contraintes techniques des industriels. L’emballage est de plus en plus étroitement lié à une conservation optimisée du produit transformé ce qui nécessite une conception de l’emballage prise en compte dès la conception du produit à conditionner. Par ses aspects techniques, marketing et ses valeurs d’usage, il doit satisfaire les attentes du consommateur de l’acte d’achat à la consommation. Par ailleurs, le développement d’emballage est soumis à des contraintes législatives, de plus en plus fortes, en termes de sécurité du consommateur ou de protection de l’environnement que l’industriel doit prendre en compte dès la conception. L’emballage et le conditionnement constituent une opération transversale dans l’industrie qui doit donc allier les différents services de l’entreprise. Ce projet représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_18

Intitulé du projet Unité de fabrication de meubles en plastic Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 7.000.000 DH Capacité de production 25.000 unités par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 65 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ce projet proposera des meubles et du mobilier de jardin en plastique ou/et en PVC tel que des tables et chaises de jardin, des tables à manger, du mobilier de bureau, etc. Ce projet représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_19

Intitulé du projet Unité de mise en sac de sable de mer Secteur ICPC Branche Plasturgie

Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Medhdya, Sidi Taibi Coût global du projet 3.000.000 MAD Capacité de production 100.000 sacs de 15 Kg par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 30 Permanents Marchés potentiels National et export Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ce projet proposera des sacs de sable de jeux. Sable de mer fin pour bac à sable, coloris blanc, lavé et séché, dans un sac de poids : 15 kg. La disponibilité du sable de mer, dans la périphérie de la ville de Kénitra, en grande quantité et avec une bonne qualité, en plus de la grande demande exprimée par les marchés européens constituent une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-Chrarda-Béni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_20

Intitulé du projet Unité de production sacs en polypropylène

des

Secteur Industrie Chimique Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Slimane Coût global du projet 8 000.000 DH Capacité de production 500 à 750 T/an Besoin en superficie 1500 m² Besoin en RH 8 Personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Les sacs tissés de grande contenance en polypropylène sont utilisés dans l'emballage des produits alimentaires (farine, riz, légumineuses, etc..) des céréales et plusieurs autres produits. Les sacs en polypropylène tissés présentent plusieurs avantages tels que la résistance aux différentes manipulations, la légèreté et la propreté. Actuellement, la fabrication des sacs tissés est assurée par une dizaine de sources dont la capacité n'arrive pas à satisfaire toute la demande des différents utilisateurs.

Conditionnement d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_21

Intitulé du projet Unité de fabrication de pots alimentaires en polypropylène Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 5.000 000 DH Capacité de production 10.000.000 pots par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc…), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : - Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semi-finis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. - Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_22

Intitulé du projet

Unité de fabrication de barils alimentaires en polyéthylène Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 6.000.000 DH Capacité de production 135.000 barils par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc…), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_23

Intitulé du projet Unité de fabrication de pots de crème en polypropylène Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 6.500 000 MAD Capacité de production 7.500.000 pots par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen. Ce projet proposera une ligne de pots de crème de beauté prêts à être signés Disponible en dimension standard contenance 50ml : Ø 63 x 50 mm. Coloris : tous coloris disponibles sur demande (transparent, opaque, iridescent, métallisé..).

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur. Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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La mise en irréversible.

forme

définitive

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est

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_24

Intitulé du projet Unité de fabrication de pots cosmétiques pour crème et maquillage Secteur ICPC Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 6.500 000 DH Capacité de production 7.500.000 pots par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 50 permanents Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cd-rom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet Au-delà de ces perspectives économiques favorables, la plasturgie au Maroc doit faire preuve d’innovation pour améliorer la compétitivité et la qualité de ses prestations, pour profiter des opportunités offertes à l’échelle mondiale. Cette branche d’activité est en effet encore souvent loin de répondre aux exigences de normes et de créativité exigées à l’international. Ceci représente une bonne opportunité d’investissement pour la région du Gharb-ChrardaBéni Hssen. Ce projet proposera une gamme de pots cosmétiques pour les crèmes et le maquillage. Ces pots auront une capacité de 30ml, 50ml, 100ml, 150ml et 200ml. Différents matériaux seront utilisés : PP, SAN, PMMA... selon le pot. Des sérigraphies sont naturellement possibles ainsi que des métallisations, des effets laque, etc.

Conseils techniques Il existe 2 grands principes de mise en œuvre : Pour les thermoplastiques : la fabrication part de poudres, de granulés, ou de semifinis (plaques, films). Un apport de calories par chauffage ou frottement fait passer la matière de l'état solide à l'état plastique, la mise en forme est alors possible dans un moule ou une filière… L'objet est ensuite figé dans la forme voulue par un système de refroidissement. Mais il est possible de changer ultérieurement la forme ou l'état de la pièce. Le processus est réversible. Pour les thermodurcissables : Pour les THERMODURCISSABLES, les produits de base sont livrés à la transformation à l'état de polymérisation partielle. Celle-ci s'achève dans le moule - alors que la matière est déjà mise en forme - sous l'action de catalyseurs, mais aussi d'accélérateurs, voire même de chaleur.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Le démoulage n'intervient que lorsque la polymérisation est assez avancée pour que le produit présente les propriétés requises. La mise en forme définitive est irréversible.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_25

Intitulé du projet

Fabrication de meubles marocains en bois Secteur ICPC Branche

Bois et ouvrages en bois Lieu d’implantation proposé Province : Kénitra, Ouezzane,

Sidi Kacem Coût global du projet

2.000.000 MAD Capacité de production

Selon les commandes Besoin en superficie

1.500 m² Besoin en RH

30 permanents Marchés potentiels Le Marché nationale Informations utiles :

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Données sur le secteur Favorisé par l'abondance et la variété de ses essences sylvestres : cèdres de l'Atlas, thuyas, chênes, noyers, acacias, citronniers, ébène du sous qui fournissent une bonne et riche matière première pour la charpente, la menuiserie, l'ébénisterie et la boissellerie, le Maroc a développé des siècles durant un artisanat de bois de haute qualité. Le secteur du bois comprend tous les arts du bois utilisés aussi bien comme éléments architecturaux des palais, villas, mosquées, plafonds, coupoles… que d'objets transportables, tables, cendriers, et objets de décoration : coffrets en thuyas, en cèdre…etc.

Justification du projet Ce projet se justifie par l'existence au niveau de la région d'une main d'œuvre qualifiée, l'abondance de la matière première ainsi que la demande de produits de haute qualité exprimée surtout au niveau du marché national.

Conditions d’approvisionnement Achat du bois local et aussi l’unité pourra importer le bois de pays étranger

Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_26

Intitulé du projet Unité de production de bois pour bâtiment Secteur ICPC Branche Travail du bois et fabrication d’articles en bois Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Slimane, Sidi Taibi

Coût global du projet 8.000.000 MAD Capacité de production 870.000 m3 Besoin en superficie 20.000 m2 Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels

National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités d’utilisation en fonction des différents aspects : massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux de particules,... etc. Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres matériaux de construction, d’autant plus que le bois résiste aux effets mécaniques et possède des propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries et la construction elle-même. En tant que matériau de construction, le bois est solide, très résistant, ne fissure pas comme le béton et ne se rouille pas comme les métaux. Quant à la durée de vie des constructions en bois, elle dépend de sa mise en œuvre, de son traitement et de sa protection chimique. Il existe dans le monde près de 30 000 espèces végétales ligneuses classées en deux grandes familles : - Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin sylvestre, douglas, etc ; - Les feuillus : subdivisés en deux groupes : * feuillus métropolitaines (Châtaigner, Chêne, Hêtre, etc.,) ; * feuillus tropicales ou exotiques : à savoir l’Acajou d’Afrique, Angélique, Iroko, Okoumé, etc. Actuellement, le nombre de sociétés opérant dans le secteur de l’industrie du bois a évolué, passant de 302 en 2000 à 349 sociétés en 2003. L’effectif employé en 2003 s’élève à 4218 personnes. La production du bois a été de 562 millions de dirhams.

Justification du projet La production du bois assure une couverture des besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Ainsi, et même avec la concurrence des matériaux de substitution (aluminium, PVC, métal...), le bois reste un secteur d'activité des plus dynamiques au Maroc. Les potentialités forestières de la région du GCBH promettent des opportunités d’investissement importantes dans le secteur du bois destinés à la construction. Surtout que le secteur du BTP en générale connaît une croissance non négligeable.

Conseils techniques Il existe dans le monde près de 30 000 espèces. Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où 75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et 25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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production ligneuse couvre principalement, le bois d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les souches, le liège et l’alfa. Trois types d'activité caractérisent la production du liège : • La préparation du liège de reproduction (préparé en planche) ; • La bouchonnerie (en liège naturel) ; • La fabrication du liège aggloméré destinée à l'isolation : agglomérés expansés purs et agglomérés blancs.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_27

Intitulé du projet Unité de production de portes et d’éléments en bois pour bâtiment : Portes d’intérieur et d’extérieur, fenêtres,… Secteur ICPC Branche Travail du bois et fabrication d’articles en bois Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet

7.000.000 MAD. Capacité de production

7.000 Unités par an Besoin en superficie

10.000 m2 Besoin en RH

50 personnes Marchés potentiels

National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités d’utilisation en fonction des différents aspects : massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux de particules,... etc. Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres matériaux de construction, d’autant plus que le bois résiste aux effets mécaniques et possède des propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries et la construction elle-même. En tant que matériau de construction, le bois est solide, très résistant, ne fissure pas comme le béton et ne se rouille pas comme les métaux. Quant à la durée de vie des constructions en bois, elle dépend de sa mise en œuvre, de son traitement et de sa protection chimique. Les portes et autres éléments en bois font partie des ouvrages de second œuvre assurant une fonction de communication soit entre deux pièces à l’intérieur d’un bâtiment soit entre un logement et une partie abritée des intempéries soit commune soit privative. Accessoirement, les portes intérieures peuvent assurer une fonction esthétique.

Justification du projet La production du bois assure une couverture des besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Ainsi, et même avec la concurrence des matériaux de substitution (aluminium, PVC, métal...), le bois reste un secteur d'activité des plus dynamiques au Maroc. Les potentialités au niveau de la région du GCBH et sur le plan national offertes par le boom immobilier présentent des opportunités d’investissement importantes à saisir dans le secteur du bois destinés à la construction.

Conseils techniques Sur le plan fabrication, une distinction radicale doit être faite entre les vantaux de portes planes et les portes menuisées et les huisseries. Portes planes : Les points clés sont • le séchage et le calibrage, en épaisseur, des pièces du cadre • le collage (on utilise surtout des colles urée – formol) • la prise en compte et la mise en œuvre des éléments nécessaires à la stabilité dans le plan qui est critique par rapport à la performance thermique et surtout acoustique

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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choisir des panneaux de fibres des parois avec une forte cohésion interne, surtout la mise en œuvre d’un stratifié est prévue. Ainsi, les valeurs de résistance en traction perpendiculaire prévue par la norme NF EN 622-5 pour les panneaux de fibres sont-elles insuffisantes pour cet usage lorsque l’humidité relative des locaux est faible sur de longues périodes.

Portes menuisées et huisseries : Les points clés sont • le séchage des bois afin d’éviter les retraits, chutes de nez associées et déformation (flèche, voile) • la qualité d’exécution des assemblages • la maîtrise des retraits transversaux des panneaux de remplissage (soit partition des panneaux en bois massif soit mise en œuvre de panneaux dérivés du bois) et corrélativement l’adaptation des jeux périphériques des panneaux • la maîtrise de la chute de nez par un calage approprié des panneaux de remplissage • la préservation insecticide si le bois est sensible à l’attaque (essentiellement lyctus pour les feuillus, capricorne pour les résineux). Si les porters sont en classe d’emploi 2 (portes palières sur coursives), un traitement fongicide d’emploi 2 est à prévoir. • maîtrise de la rectitude du fil (elle conditionne la stabilité des vantaux). • maîtrise du calage d’assise des remplissages, surtout s’ils sont lourds (vitrages) afin que leur poids induisent les couples de déformation les plus faibles possible. Il existe des portes menuisées dans lesquelles le bois est remplacé par un panneau dérivé du bois (panneaux de particules ou MDF) et un placage d’essence fine. Le processus de fabrication est similaire à celles des portes en bois massif mais il convient d’apporter une vigilance particulière à la résistance des assemblages (souvent à tourillons).

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Conditions d’approvisionnement Il existe dans le monde près de 30 000 espèces végétales ligneuses classées en deux grandes familles : - Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin sylvestre, douglas, etc. - Les feuillus : subdivisés en deux groupes : * feuillus métropolitaines (Châtaigner, Chène, Hêtre, etc.,) ; * feuillus tropicales ou exotiques : à savoir l’Acajou d’Afrique, Angélique, Iroko, Okoumé, etc. Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où 75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et 25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la production ligneuse couvre principalement, le bois d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les souches, le liège et l’alfa. Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au Maroc sous différentes catégories, entre autres : - Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux nobles et aux sculptures; - Le cèdre employé pour les poutres ; - Le cèdre destiné à être peint. Le Maroc importe d’autres espèces de bois qui servent dans la menuiserie du bâtiment. En général, tous ces bois sont principalement utilisés pour : les linteaux, les portes, les fenêtres, les balustrades, les plafonds et les patios plafonnés.

Humidité : Utilisation de bois secs soit au plus 12 % selon le DTU 36.1 mais dans les faits, il faut plutôt viser un taux de 6-8 %. On doit rappeler que les bois feuillus sont nettement plus longs à sécher que les bois résineux. Les panneaux dérivés du bois n’ont, en général pas de difficulté à respecter une teneur en eau aussi basse.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_28

Intitulé du projet Unité de production de portes traditionnelles marocaines en bois Secteur ICPC Branche Travail du bois et fabrication d’articles en bois Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet

7.000.000 MAD. Capacité de production

7.000 Unités par an Besoin en superficie

10.000 m2 Besoin en RH

50 personnes Marchés potentiels

National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités d’utilisation en fonction des différents aspects : massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux de particules,... etc. Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres matériaux de construction, d’autant plus que le bois résiste aux effets mécaniques et possède des propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries et la construction elle-même. En tant que matériau de construction, le bois est solide, très résistant, ne fissure pas comme le béton et ne se rouille pas comme les métaux. Quant à la durée de vie des constructions en bois, elle dépend de sa mise en œuvre, de son traitement et de sa protection chimique. Les portes et autres éléments en bois font partie des ouvrages de second œuvre assurant une fonction de communication soit entre deux pièces à l’intérieur d’un bâtiment soit entre un logement et une partie abritée des intempéries soit commune soit privative. Accessoirement, les portes intérieures peuvent assurer une fonction esthétique.

Justification du projet La production du bois assure une couverture des besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Ainsi, et même avec la concurrence des matériaux de substitution (aluminium, PVC, métal...), le bois reste un secteur d'activité des plus dynamiques au Maroc. Les potentialités au niveau de la région du GCBH et sur le plan national offertes par le boom immobilier présentent des opportunités d’investissement importantes à saisir dans le secteur du bois destinés à la construction.

Conseils techniques Sur le plan fabrication, une distinction radicale doit être faite entre les vantaux de portes planes et les portes menuisées et les huisseries. Portes planes : Les points clés sont • le séchage et le calibrage, en épaisseur, des pièces du cadre • le collage (on utilise surtout des colles urée – formol) • la prise en compte et la mise en œuvre des éléments nécessaires à la stabilité dans le plan qui est critique par rapport à la performance thermique et surtout acoustique Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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choisir des panneaux de fibres des parois avec une forte cohésion interne, surtout la mise en œuvre d’un stratifié est prévue. Ainsi, les valeurs de résistance en traction perpendiculaire prévue par la norme NF EN 622-5 pour les panneaux de fibres sont-elles insuffisantes pour cet usage lorsque l’humidité relative des locaux est faible sur de longues périodes.

Portes menuisées et huisseries : Les points clés sont • le séchage des bois afin d’éviter les retraits, chutes de nez associées et déformation (flèche, voile) • la qualité d’exécution des assemblages • la maîtrise des retraits transversaux des panneaux de remplissage (soit partition des panneaux en bois massif soit mise en œuvre de panneaux dérivés du bois) et corrélativement l’adaptation des jeux périphériques des panneaux • la maîtrise de la chute de nez par un calage approprié des panneaux de remplissage • la préservation insecticide si le bois est sensible à l’attaque (essentiellement lyctus pour les feuillus, capricorne pour les résineux). Si les porters sont en classe d’emploi 2 (portes palières sur coursives), un traitement fongicide d’emploi 2 est à prévoir. • maîtrise de la rectitude du fil (elle conditionne la stabilité des vantaux). • maîtrise du calage d’assise des remplissages, surtout s’ils sont lourds (vitrages) afin que leur poids induisent les couples de déformation les plus faibles possible. Il existe des portes menuisées dans lesquelles le bois est remplacé par un panneau dérivé du bois (panneaux de particules ou MDF) et un placage d’essence fine. Le processus de fabrication est similaire à celles des portes en bois massif mais il convient d’apporter une vigilance particulière à la résistance des assemblages (souvent à tourillons).

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Conditions d’approvisionnement Il existe dans le monde près de 30 000 espèces végétales ligneuses classées en deux grandes familles : - Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin sylvestre, douglas, etc. - Les feuillus : subdivisés en deux groupes : * feuillus métropolitaines (Châtaigner, Chène, Hêtre, etc.,) ; * feuillus tropicales ou exotiques : à savoir l’Acajou d’Afrique, Angélique, Iroko, Okoumé, etc. Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où 75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et 25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la production ligneuse couvre principalement, le bois d’ d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les souches, le liège et l’alfa. Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au Maroc sous différentes catégories, entre autres : - Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux nobles et aux sculptures; - Le cèdre employé pour les poutres ; - Le cèdre destiné à être peint. Le Maroc importe d’autres espèces de bois qui servent dans la menuiserie du bâtiment. En général, tous ces bois sont principalement utilisés pour : les linteaux, les portes, les fenêtres, les balustrades, les plafonds et les patios plafonnés.

Humidité : Utilisation de bois secs soit au plus 12 % selon le DTU 36.1 mais dans les faits, il faut plutôt viser un taux de 6-8 %. On doit rappeler que les bois feuillus sont nettement plus longs à sécher que les bois résineux. Les panneaux dérivés du bois n’ont, en général pas de difficulté à respecter une teneur en eau aussi basse.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_29

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité de réparation de bateaux de pêche en bois Secteur ICPC Branche Bois et ouvrages en bois Lieu d’implantation proposé Commune : Kenitra, Mehdya Coût global du projet 2.000.000 MAD Besoin en superficie

25.000 m2 Besoin en RH 40 personnes

Les pêches maritimes marocaines peuvent se subdiviser en cinq sous-secteurs: la pêche thonière, la pêche hauturière aux céphalopodes, la pêche côtière pélagique et demersale au chalut et enfin la pêche dite artisanale ou aux petits métiers. Ce dernier sous-secteur a été longtemps mal connu en raison de sa dispersion géographique, de la diversité des ses structures, d'une absence d'organisation et de représentation socioéconomique et enfin par l'impossibilité de contrôler la grande partie de la production. Cependant, l’effort de pêche principal est exercé par une flotte de pêche côtière qui a connu une croissance soutenue en nombre et en capacité. En effet, elle est passée de 1.829 navires en 1985 avec un tonnage de 50.211 Tjb à 2.823 unités en 2004, pour un tonnage global de 82.761 Tjb. Cette flotte est constituée de 765 chalutiers, 397 senneurs, 971 palangriers, 286 chalutiers - senneurs, 214 palangriers senneurs, 87 chalutiers - palangriers, et 103 autres.

Justification du projet Marchés potentiels Local, Régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La région GCBH, dispose d’une côte de 140Km avec un plateau très riche en ressources halieutiques et possède aussi plusieurs ports de pêche et de bateaux. Ainsi, et avec l’effort de mise à niveau de la flottille de pêche côtière, les besoins en unités spécialisées dans la réparation des bateaux de pêche constitue une excellente opportunité à saisir pour la fabrication de chalutiers dans la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen. A ajouter que la situation géographique de la région offre une opportunité importante pour la localisation d’une telle unité.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_30

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité de fabrication de barques en bois pour pêche artisanale Secteur I.C.PC Branche Travail du bois et fabrication d’articles en bois. Lieu d’implantation proposé Communes : Mehdya, Kénitra, Ben Mansour, Mnasra, Moulay Bousselham Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production 40 unités par an Besoin en superficie 2500 m² Besoin en RH 10 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Les pêches maritimes marocaines peuvent se subdiviser en cinq sous-secteurs: la pêche thonière, la pêche hauturière aux céphalopodes, la pêche côtière pélagique et demersale au chalut et enfin la pêche dite artisanale ou aux petits métiers. Ce dernier sous-secteur a été longtemps mal connu en raison de sa dispersion géographique, de la diversité des ses structures, d'une absence d'organisation et de représentation socio-économique et enfin par l'impossibilité de contrôler la grande partie de la production. La pêche artisanale marocaine a fait l'objet d'actions relevant de programmes de développement et de recherche technique: plusieurs opérations ont été réalisées par l'ONP : motorisation des barques, des coopératives de production dotées de bateaux en polyester et en bois et engins de pêche La pêche artisanale aux petits métiers regroupe l'activité de 5,000 barques (Floukas) opérant à partir des plages et des ports, 800 palangriers opérant a partir des plages et une centaine de petits senneurs (chbeiks) opérant à partir des plages. Ce soussecteur compte quelque 16,000 emplois directs qui représentent environ 1,3% de la population active du secteur de la pêche. Les débarquements de la pêche artisanale contribuent à 40% en poids à la production nationale. L'importance économique de cette pêche se justifie dans la valeur de sa production et sa participation au développement national.

Justification du projet La région dispose d’une côte de 140Km avec un plateau très riche en ressources halieutiques et possède plusieurs ports de pêche. En plus, la situation géographique de la région offre une opportunité pour la commercialisation des barques sur un large marché. L’usage des barques en bois et aujourd’hui de plus en plus utilisé aussi dans les activités de tourisme.

Conseils techniques Respecter les normes de la construction des barques, l’innovation et la créativité sont un plus à mettre en valeur.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en bois de bonne qualité.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_31

Intitulé du projet Chantier naval pour fabrication de chalutiers en bois Secteur I.C.PC Branche Travail du bois et d’articles en bois.

fabrication

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra et Mehdya Coût global du projet 8.000.000 MAD Capacité de production 35 unités par an. Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels National et International Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Les pêches maritimes marocaines peuvent se subdiviser en cinq sous-secteurs: la pêche thonière, la pêche hauturière aux céphalopodes, la pêche côtière pélagique et demersale au chalut et enfin la pêche dite artisanale ou aux petits métiers. Cependant, l’effort de pêche principal est exercé par une flotte de pêche côtière qui a connu une croissance soutenue en nombre et en capacité. En effet, elle est passée de 1.829 navires en 1985 avec un tonnage de 50.211 Tjb à 2.823 unités en 2004, pour un tonnage global de 82.761 Tjb. Cette flotte est constituée de 765 chalutiers, 397 senneurs, 971 palangriers, 286 chalutiers - senneurs, 214 palangriers senneurs, 87 chalutiers - palangriers, et 103 autres. Les chalutiers côtiers, en raison du mode de conservation de leurs captures (sous glace) et de leur autonomie, effectuent des marées ne dépassant pas une semaine et exploitent les fonds peu profonds du littoral national. Ils approvisionnent particulièrement le marché national en poissons frais et dans une faible mesure le marché de l'export.

Justification du projet L’abondance des ressources halieutiques dans les côtes marocaines, l’effort de mise à niveau de la flottille de pêche côtière, les demandes extérieures de chalutiers en bois constituent une excellente opportunité à saisir pour la fabrication de chalutiers dans la région GharbChrarda-Béni Hssen.

Conseils techniques Respecter les normes de la construction des barques, l’innovation et la créativité sont un plus à mettre en valeur.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en bois de bonne qualité.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_32

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Données sur le secteur

Secteur ICPC

La branche des industries du bois et des articles compte 404 entreprises, ce secteur emploie un effectif de 9251 personnes et a exporté pour une valeur de 25,1 Millions de US$ en 2003. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Les principaux débouchés à l'export pour le bois sont : la France, Pays Bas, Italie, Espagne.

Branche Bois et ouvrages en bois

Justification du projet

Intitulé du projet Menuiserie moderne

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Slimane, Sidi Taibi, Souk Larbaa, Souk Tlet, Mechra Belksiri, Jorf El Melha, Sidi Allal Tazi, Had Kourt Coût global du projet 1.500.000 MAD Capacité de production 150.000 m3 par an Besoin en superficie 750 m² Besoin en RH 8 personnes Marchés potentiels Local, Régional Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La production du bois assure une couverture des besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Ainsi, et même avec la concurrence des matériaux de substitution (aluminium, PVC, métal...), le bois reste un secteur d'activité des plus dynamiques au Maroc. Les potentialités au niveau de la région du GCBH et sur le plan national offertes par le boom immobilier présentent des opportunités d’investissement importantes à saisir dans le secteur du bois destinés à la construction.

Conditions d’approvisionnement Il existe dans le monde près de 30 000 espèces végétales ligneuses classées en deux grandes familles : - Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin sylvestre, douglas, etc. - Les feuillus : subdivisés en deux groupes : * feuillus métropolitaines (Châtaigner, Chêne, Hêtre, etc.,) ; * feuillus tropicales ou exotiques : à savoir l’Acajou d’Afrique, Angélique, Iroko, Okoumé, etc. Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où 75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et 25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la production ligneuse couvre principalement, le bois d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les souches, le liège et l’alfa. Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au Maroc sous différentes catégories, entre autres : - Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux nobles et aux sculptures; - Le cèdre employé pour les poutres ; - Le cèdre destiné à être peint.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Le Maroc importe d’autres espèces de bois qui servent dans la menuiserie du bâtiment. En général, tous ces bois sont principalement utilisés pour : les linteaux, les portes, les fenêtres, les balustrades, les plafonds et les patios plafonnés.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_33

Intitulé du projet Unité de menuiserie de bois Secteur ICPC Branche Bois et Ouvrages en bois Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kecm, Ouezzane, Jorf El Melha, Sidi Taibi, Sidi Slimane, Sidi Yahia, Had Kourt, Souk Larbaa Coût global du projet 250.000 DH Capacité de production 1.000 m² par an Besoin en superficie 150 m² Besoin en RH 8 Permanents Marchés potentiels Régional, National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Les industries chimiques et para chimiques occupent une place importante dans l'industrie marocaine. Avec 2168 établissements (32% de la population des établissements industriels), ces industries contribuent à 32% de la production industrielle, à 33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif total et drainent 41% des investissements. La branche des industries du bois et des articles compte plus de 404 entreprises, ce secteur emploie un effectif de 9251 personnes et a exporté pour une valeur de 25,1 Millions de US$ en 2003. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois.

Justification du projet La demande croissante pour les produits en bois dans la construction, tant au niveau régional qu’au niveau national, constitue une opportunité importante d’investissement à saisir. Le caractère économique et l’aspect peu capitalistique du projet et sa facilité d’utilisation justifient la pertinence de ce projet.

Conditions d’approvisionnement Il existe dans le monde près de 30 000 espèces végétales ligneuses classées en deux grandes familles : - Les résineux : pin maritime, sapin, mélèze, pin sylvestre, douglas, etc. - Les feuillus : subdivisés en deux groupes : * feuillus métropolitaines (Châtaigner, Chêne, Hêtre, etc.,) ; * feuillus tropicales ou exotiques : à savoir l’Acajou d’Afrique, Angélique, Iroko, Okoumé, etc. Plus de 4700 espèces sont dénombrées au Maroc, où 75% d’essences feuillues (20% bois d’œuvre) et 25% résineuses (80% bois d’œuvre). Cependant, la production ligneuse couvre principalement, le bois d’œuvre (cèdre), le bois d’industrie et de service, les souches, le liège et l’alfa. Quant au cèdre de l’Atlas, il est souvent utilisé au Maroc sous différentes catégories, entre autres : - Le cèdre massif et tendre, réservé aux travaux nobles et aux sculptures; - Le cèdre employé pour les poutres ; - Le cèdre destiné à être peint. Le Maroc importe d’autres espèces de bois qui servent dans la menuiserie du bâtiment. En général, tous ces bois sont principalement utilisés pour : les linteaux, les portes, les fenêtres, les balustrades, les plafonds et les patios plafonnés.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°FP_S_ICPC_34

Intitulé du projet Unité moyenne fabrication de caisses bois

de en

Secteur ICPC Branche Industrie du bois et ouvrages en bois Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Kacem, Sidi Yahya, Sidi Slimane, Ameur seflia, Oulad Slama, Sidi Taibi, Ouezzane, Mechra Bel Ksiri, Moulay Bousselham, Arbaoua, Souk Larbaa, Souk Tlet Coût global du projet 800.000 DH Capacité de production Selon la commande Besoin en superficie 1.500 m²

Données sur le secteur La branche des industries du bois et des articles compte 404 entreprises, ce secteur emploie un effectif de 9251 personnes et a exporté pour une valeur de 25,1 Millions de US $ en 2003. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Les principaux débouchés à l'export pour le bois sont la France avec 30%, les Pays Bas avec 21%, l’Italie pour 13% et l’Espagne avec 12%.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la grande demande pour les caisses en bois utilisées dans le conditionnement et le transport de produits agricoles tant au niveau de la Région GharbChrarda-Béni Hssen qu’au niveau national. La grande productivité agricole de la région et sa position géographique au centre du pays en plus du caractère peu capitalistique constituent une excellente opportunité à saisir.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en bois et en chutes de bois auprès des grandes scieries et des grands marchands de bois.

Conseils techniques Equiper l’atelier avec tout le matériel de menuiserie nécessaire à cette activité tel que : une ponceuse, une scie électrique, un outillage de serrage, etc.

Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels Régional, National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_35

Intitulé du projet Unité de fabrication caisseries en bois

de

Secteur ICPC Branche Industrie du bois et ouvrages en bois Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Kacem, Sidi Yahya, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 2.500.000 DH Capacité de production Selon la commande Besoin en superficie 2.000 m² Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels Régional, National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur La branche des industries du bois et des articles compte 404 entreprises, ce secteur emploie un effectif de 9251 personnes et a exporté pour une valeur de 25,1 Millions de US $ en 2003. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Les principaux débouchés à l'export pour le bois sont la France avec 30%, les Pays Bas avec 21%, l’Italie pour 13% et l’Espagne avec 12%.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la grande demande pour les caisses en bois utilisées dans le conditionnement et le transport de produits agricoles mais aussi pour les différents besoins industriels exprimés tant au niveau de la Région Gharb-Chrarda-Béni Hssen qu’au niveau national. La dynamique industrielle et économique de la région et sa position géographique au centre du pays constituent une excellente opportunité à saisir. Ce projet proposera une gamme de caisserie en bois répondant à des besoins et exigences multisectorielles. Plusieurs types de fabrication peuvent être proposés :  Les palettes en bois  La caisse bois ou contreplaqué pour expéditions maritimes, aériennes, terrestres.  La caisse navette bois ou contreplaqué pour emballer et déballer facilement le matériel qui est à l’intérieur (salon, transfert).  Des produits faits sur mesure.

Conseils techniques Equiper l’atelier avec tout le matériel de menuiserie nécessaire à cette activité tel que : une ponceuse, une scie électrique, un outillage de serrage, etc. En plus, prévoir des ponts roulants de 3,5 tonnes et d’un chariot élévateur 2,5 tonnes pour le chargement/déchargement. Il faut également intégrer la fonction de traitement du bois avant transport à travers la fumigation au bromure de méthyle et le traitement a haute température.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en bois essentiellement du pin maritime à partir de grumes sélectionnées. Intégré verticalement, de la forêt à la palette.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Intitulé du projet Industrie du liège Secteur ICPC Branche Liège et ouvrages en liège Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Yahya, Sidi Taibi, Sidi Slimane Coût global du projet 15 000 000 MAD Capacité de production 5 000 tonnes par an Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels : National et export Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Fiche de projet n° S_ICPC_36 Concernant la sous branche liège et ouvrages en liège, le Maroc est l'un des principaux pays producteurs et exportateurs du Monde. Les exportations de liège en 2003 ont été de 13,6 Millions US $. L'implantation de l'industrie du liège au Maroc remonte aux années 30. Aujourd'hui, c'est une industrie très diversifiée qui touche plusieurs domaines d'utilisation (isolation, décoration...). Avec près de 40 000 hectares, le chêne liège constitue l’une des plus grandes richesses forestières de la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen, tant sur le plan écologique que socioéconomique. Au Maroc, la vente du liège procure des recettes très importantes qui se sont élevées en moyenne à 640 millions de DH pour les cinq dernières années (1997-2001). La majorité des entreprises industrielles de liège est concentrée dans l’axe Kenitra-Casa à l’exception de l’entreprise SOCOTA qui est installée à Tanger. L’abondance des subéraies, source d’approvisionnement des industries de liège dans la région Nord Ouest (79%) avec l’immense subéraie de la Mâmora et ses satellites qui assurent plus de 75% du volume produit annuellement, était un facteur prépondérant dans l’installation de ces industries.

Justification du projet Les propriétés très particulières du liège lui permettent d’être le matériau le plus utilisé dans de nombreuses applications depuis des centaines d’années. Le tissu subéreux est utilisé sous deux formes principales : liège en planches et liège trituré. Avec le premier, on fabrique toute une série d’objets (les bouchons, les rondelles, les tapis, les revêtements du sol et du mur,…). Alors que par le processus de trituration, on obtient à partir des déchets de l’industrie du bouchon et de liège de moindre qualité (rebut) les granulés de liège. Ces derniers sont employés pour la fabrication d’agglomérés qui se prêtent aux applications les plus variées et presque illimitées : les chaussures, l’industrie automobile et aéronautique, la construction de bâtiment (comme isolant thermique et acoustique).

Conditions d’approvisionnement La récolte de la forêt constitue une source de matières première abondant qu’il s’agit d’exploiter tout en respectant la durabilité de la forêt.

Données sur le secteur Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_37

Intitulé du projet Fabrication des meubles de l’intérieur ensérie Secteur ICPC Branche Bois et ouvrages en bois Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane Coût global du projet 15.500.000 MAD Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie 25.000 m² Besoin en RH 180 personnes Marchés potentiels Local 30 % - Export 70 % Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Favorisé par l'abondance et la variété de ses essences sylvestres : cèdres de l'Atlas, thuyas, chênes, noyers, acacias, citronniers, ébène du sous qui fournissent une bonne et riche matière première pour la charpente, la menuiserie, l'ébénisterie et la boissellerie, le Maroc a développé des siècles durant un artisanat de bois de haute qualité. Le secteur du bois comprend tous les arts du bois utilisés aussi bien comme éléments architecturaux des palais, villas, mosquées, plafonds, coupoles… que d'objets transportables, tables, cendriers, et objets de décoration : coffrets en thuyas, en cèdre…etc.

Justification du projet Ce projet se justifie par l'existence au niveau de la région d'une main d'œuvre qualifiée, l'abondance de la matière première ainsi que la demande de produits de haute qualité exprimée surtout au niveau du marché national.

Conditions d’approvisionnement Achat du bois local et aussi l’unité pourra importer le bois de pays étranger.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_38

Intitulé du projet Unité de fabrication de meubles d’intérieur modulaires Secteur ICPC Branche Travail du bois et fabrication d’articles en bois Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité de production 5.000 unités par an Besoin en superficie 6.000 m2 Besoin en RH 80 personnes Marchés potentiels Local 30% Export 70% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités d’utilisation en fonction des différents aspects : massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux de particules,... etc. Il peut être utilisé en combinaison avec d’autres matériaux de construction, d’autant plus que le bois résiste aux effets mécaniques et possède des propriétés d’isolation non négligeable. Il est utilisé dans les charpentes, les coffrages, les menuiseries et la construction elle-même. En tant que matériau de construction, le bois est solide, très résistant, ne fissure pas comme le béton et ne se rouille pas comme les métaux. Quant à la durée de vie des constructions en bois, elle dépend de sa mise en œuvre, de son traitement et de sa protection chimique. Les portes et autres éléments en bois font partie des ouvrages de second œuvre assurant une fonction de communication soit entre deux pièces à l’intérieur d’un bâtiment soit entre un logement et une partie abritée des intempéries soit commune soit privative. Accessoirement, les portes intérieures peuvent assurer une fonction esthétique.

Justification du projet La production du bois assure une couverture des besoins du pays en bois d’œuvre et d’industrie à hauteur de 30%, soit 600.000 m3/an. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Les potentialités au niveau de la région du GCBH et sur le plan national offertes par le boom immobilier présentent des opportunités d’investissement importantes à saisir. Cette unité aura pour objet la fabrication de meublants modulaires et articles de rangement en bois massif et en panneaux.

Conseils techniques Cette unité devra s’équiper principalement de : Raboteuse, moulinière quatre faces 4 ou 6 têtes, cadreuse verticale, mortaiseuse à chaînes, mortaiseuse à mèche, tour à bois à copieur, tenonneuse, toupies, ponceuse en forme, ponceuse calibreuse à large bande, perceuse pour assemblage par tourillons (S32), machine à encoller les tourillons, cadreuse volumétrique 2mx2m, scie à panneaux à commandes numérique et à alimentation automatisée, perceuse multiple à commande numérique, plaqueuse de chant, ligne de peinture.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_39

Intitulé du projet Unité de fabrication meubles de bureaux panneaux

de en

Secteur ICPC Branche Bois et ouvrages en bois Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 4.000.000 MAD Capacité de production 7.000 unités par an Besoin en superficie 5.000 m2 Besoin en RH 90 personnes Marchés potentiels Local 30% Export 70% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Matériau naturel, le bois offre plusieurs possibilités d’utilisation en fonction des différents aspects : massif, contre-plaqués, bois lamellé collé, panneaux de particules,... etc. La branche des industries du

bois et des articles en bois compte 404 entreprises, ce secteur emploie un effectif de 9251 personnes et a exporté pour une valeur de 25,1 Millions de US$ en 2003. Les principaux produits exportés sont les panneaux de bois, la charpente menuiserie, les objets divers en bois. Les principaux débouchés à l'export pour le bois sont la France, l’Espagne, les Pays-Bas, l’Italie.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification dans la proximité de la Région Gharb-Chrarda-Béni Hssen des grands marchés d’écoulement du mobilier de bureau. Cette unité aura pour objet la fabrication de meubles et articles de rangement en panneaux.

Conseils techniques Cette unité devra s’équiper principalement de : Scie à panneaux à commande numérique et à alimentation automatisée, plaqueuse de chants au défilé (1 chant ou une alaise 8 mm), plaqueuse de chants pour arrondis, perceuse multiple à commande numérique (S32), perceuse spéciale (S32 + charnière + tourillons + cadreuse à tiroir), machines à tourillons, machine à encoller et poser les tourillons, cadreuse verticale, cadreuse volumétrique 2x2 m/m, ruban dédoubleur de diamètre 700 mm, scie circulaire à format, toupies, dégauchisseuse, raboteuse.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en panneaux de bois. Cet approvisionnement peut intéresser différents forme de panneaux de bois : Panneaux de particules bruts et mélaminés, panneaux techniques, panneaux prédébits, co-traitance, panneaux techniques, panneaux usinés,… Pour optimiser l’approvisionnement dans les meilleures conditions, il est conseillé d’établir des cahiers de charge précis concernant le conditionnement. En effet plusieurs type de conditionnement sont possible : emballage sous film, emballage mixte carton + film, emballage carton + cerclage...

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_40

Intitulé du projet Unité de production de béton prêt à l’emploi Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 5.500.00 MAD Capacité de production 10.000 m3 par an Besoin en superficie 8.000 m² Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels Local 90% Régional 10% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’usage du béton prêt à l’emploi au Maroc est récent, son initiation date de 1971 et principalement dans la ville de Rabat. Actuellement, la production couvre la grande majorité des villes, elle est assurée par les grands cimentiers. Cette ouverture du béton prêt à l’emploi sur le marché national est due surtout aux qualités que possède ce matériau notamment :  La rapidité de mise en œuvre grâce au système de pompe adapté aux constructions à plusieurs niveaux ;  Le meilleur dosage d’agrégats suivant des normes étudiées ;  La réduction de la main d’œuvre ; La suppression des pertes occasionnées à la fois par la préparation manuelle du béton sur chantier et sa mise en œuvre. La production est assurée par une trentaine de centrales à béton. Cependant, les principaux opérateurs sont au nombre de huit parmi lesquels figurent quatre filiales de groupes cimentiers.

Justification du projet Avec un niveau de consommation par tête évoluant avec un rythme équivalent à celui observé pour le ciment durant les dernières années. Les besoins globaux en ces matériaux sont, en outre, engendrés par le croît démographique en milieu urbain ; ce dernier est établi sur la base des résultats du dernier recensement 2004. Or, la consommation de ciment rapportée à la population urbaine a augmenté de 2,4% par an en moyen entre 1997 et 2004. C’est ce taux qui est retenu pour le béton et dérivés de béton. La consommation devra atteindre, à l’horizon 2020, plus de 1.184.000 m3.

Conseils Techniques Le béton prêt à l’emploi est obtenu suivant un certain dosage à partir d’un mélange de ciment, de sable et de graviers auxquels s’ajoutent des adjuvants divers (fluidifiants, accélérateurs ou retardateurs de prise, hydrofuges, etc.).

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_41

Intitulé du projet Unité industrielle de fabrication des agglomérés et hourdis Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem Coût global du projet 3.500.000 Dhs Capacité de production 2.500.000 unités par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 25 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. Le secteur de la fabrication des agglomérés et articles en ciment est représenté par 317 sociétés réparties sur tout le territoire national et employant un effectif de 11.995 personnes.

Justification du projet La résorption du déficit actuel en logements et la satisfaction des besoins accumulés et futurs nécessitent une mobilisation générale et un accompagnement des différents secteurs, notamment celui de la fabrication des matériaux de construction. Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés, notamment, les 200 000 logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à court terme. Les perspectives de développement de cette industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de substitution de ces matériaux et leur poids important dans la construction.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_42

Intitulé du projet Unité industrielle de fabrication des carreaux en bétons Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi, Ouezzane Coût global du projet 3.000.000 Dhs Capacité de production 250.000 m² par an Besoin en superficie 8500 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. Le secteur de la fabrication des agglomérés et articles en ciment est représenté par 317 sociétés réparties sur tout le territoire national et employant un effectif de 11.995 personnes.

Justification du projet La résorption du déficit actuel en logements et la satisfaction des besoins accumulés et futurs nécessitent une mobilisation générale et un accompagnement des différents secteurs, notamment celui de la fabrication des matériaux de construction. Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés, notamment, les 200 000 logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à court terme. Les perspectives de développement de cette industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de substitution de ces matériaux et leur poids important dans la construction.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Conseils techniques Le procédé de fabrication de carreaux en béton commence en coupant un bloc d'un mélange de béton, caractérisé en ce que ledit bloc est soumis à une cuisson préliminaire à température et pression ambiante pendant au moins 24 heures (ou à un traitement à la vapeur à basse pression à une température inférieure à 100 degrés C) jusqu'à ce que la résistance à la compression atteigne une valeur d'au-moins 20 MPa et à un second traitement à la vapeur dans un autoclave. Les carreaux en béton ainsi obtenus peuvent être fixés au sol en utilisant une couche de ciment normal servant de liaison sans aucun problème de descellement. La distribution est assurée par un nombre important d’unités réparties sur l’ensemble du territoire.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_43

Intitulé du projet Unité industrielle fabrication de tuyaux béton et en béton armé

de en

Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem, Mechra Bel Ksiri Coût global du projet 8.000.000 MAD Capacité de production 70.000 mètre linéaire par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. Le secteur de la fabrication des agglomérés et articles en ciment est représenté par 317 sociétés réparties sur tout le territoire national et employant un effectif de 11.995 personnes.

Justification du projet La résorption du déficit actuel en logements et la satisfaction des besoins accumulés et futurs nécessitent une mobilisation générale et un accompagnement des différents secteurs, notamment celui de la fabrication des matériaux de construction. Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés, notamment, les 200 000 logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à court terme. Les perspectives de développement de cette industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de substitution de ces matériaux et leur poids important dans la construction.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_44

Intitulé du projet Unité industrielle fabrication des buses béton pour puits

de en

Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem, Mechra Bel Ksiri, Sidi Slimane Coût global du projet 8.000.000 MAD Capacité de production 70.000 mètre linéaire par an Besoin en superficie

Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. Le secteur de la fabrication des agglomérés et articles en ciment est représenté par 317 sociétés réparties sur tout le territoire national et employant un effectif de 11.995 personnes.

Justification du projet Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre mais aussi dans la réalisation des grands projets d’infrastructures; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés. Les perspectives de développement de cette industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de substitution de ces matériaux et leur poids important dans la construction.

10.000 m²

Conditions d’approvisionnement

Besoin en RH

Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier.

30 personnes Marchés potentiels

Assurer un approvisionnement régulier agrégats et granulats de bonnes qualités.

en

Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_45

Intitulé du projet Unité de production de verre plat pour bâtiment Secteur Industrie Chimique Chimique.

et

Para

Branche Fabrication de verre Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 80.000 m² par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 70 personnes Marchés potentiels

Marché National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie du verre est en perpétuel changement, cette révolution coïncide avec le changement dans le mode de construction qui a incorporé le verre comme matériau de construction et de design. Actuellement, le secteur du bâtiment prend en considération l’introduction du verre dans la construction, alors qu’auparavant le verre ne prenait que 1,2% dans les bâtiments traditionnels et 10 % dans les constructions des murs avec rideaux. Malgré ce faible taux de représentativité du vitrage dans les constructions, le verre joue un rôle primordial dans la qualité de l’habitat. En 2003 l’industrie du verre regroupait 32 établissements et employait 706 personnes. Soit une progression de 12 établissements par rapport à 2002. Quant à l’effectif employé, il a augmenté de près des 2/3 de celui enregistré en 2000. Pour la même année 2003, la valeur de la production du verre pour le bâtiment s’est établie à 183 millions de dirhams. Les types de verre obtenus sont : - Les verres creux, utilisés pour l’emballage des liquides ; - Les verres plats, utilisés dans le bâtiment ; - Les fibres de verre : utilisées comme matériau pour l’isolation thermique des bâtiments.

Justification du projet Les estimations réalisées sur le secteur, montrent que les besoins en ce matériau vont croître à des rythmes importants. Et ce à cause d’une part de l’augmentation de la consommation qui est conséquence de l’extension de l’urbain. Et d’autre part à cause de l’augmentation de l’usage du verre dans la construction.

Conseils techniques Le verre est fabriqué par fusion vers 1500°C d’un mélange de sables siliceux, de carbonate et sulfate de sodium et de carbonate de calcium auquel d’autres ingrédients mineurs sont ajoutés. Les principaux éléments entrant dans la fabrication du verre sont : • Un corps vitrifiant, la silice, introduit sous forme de sable 71 à 72 %, avec une température de fusion avoisinant les 1800 °C. • Un fondant, la soude 14 à 15 % de soude sous forme de carbonate et sulfate (le fondant baisse la température de fusion). • Un stabilisant, la chaux 9 % sous forme de calcaire qui agit comme stabilisateur en donnant au verre sa résistance chimique. • Divers oxydes tels que magnésie, alumine qui améliorent les propriétés physiques du verre et, notamment, sa résistance à l’action des agents atmosphériques.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_46

Intitulé du projet Unité de fabrication du plâtre : Sac de plâtre de 40 Kg Secteur ICPC Branche Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 15.000 tonnes par an Besoin en superficie 30.000 m² Besoin en RH 65 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Le Plâtre est un matériau des plus anciens. Il est le produit de la cuisson à une température peu élevée du gypse, qui, réduit en poudre possède la propriété de former avec l’eau une pâte capable de durcir à l’air dans un temps relativement rapide. La facilité de fabrication et de mise en œuvre du plâtre, la contribution qu’il apporte à l’isolation et au confort, ont donné à ce matériau un vaste domaine d’application dans le bâtiment. Au Maroc, l’industrie de fabrication du plâtre est représentée en 2003 par 8 unités, employant 134 personnes dont 11 femmes. La valeur de la production en 2003 était de plus de 48 millions de dirhams, le chiffre d’affaire réalisé par le secteur a atteint 88 millions de Dh. Quant à l’investissement, il est estimé à 10 millions de dirhams.

Justification du projet La demande croissante pour ce produit dans la construction, tant au niveau régional qu’au niveau national, constitue une opportunité importante d’investissement à saisir.

Conseils techniques Le plâtre est obtenu par la déshydratation du gypse ou sulfate de calcium déshydraté. Il correspond en poids à 79 % de sulfate de calcium associé à environ 20 % d’eau. Sous l’effet de la chaleur, il a la propriété de pouvoir se recombiner à l’eau pour donner une pâte pouvant faire prise assez rapidement. La fabrication industrielle du plâtre passe par trois étapes principales : L’extraction et la préparation du gypse ; la cuisson; le mélange, la distribution et le contrôle.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement gypse ou sulfate de calcium.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

constant

en

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Fiche de projet n°S_ICPC_47

Intitulé du projet Unité de production pavés en béton

de

Secteur ICPC Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques. Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 8.000.000 MAD Capacité de production 500.000 m² par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 60 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Âgé de millions d'années, ces matériaux vivront encore des milliers d'années sans être altéré par les atteintes du temps. Leur couleur restera et leur aspect se bonifiera. Les pavés en pierres malgré leurs origines, ils rendent l'aménagement urbain et des espaces très contemporains. Les pavés en béton offrent un rapport qualité/prix sans égal. Le grand choix de style, de forme, de couleur, d'épaisseur, d'aspect,... permet de créer des aménagements de qualité et durable dans le temps. La qualité du béton employé dans ces produits a des performances techniques très élevés et quasiment comparable à la pierre naturelle.

Justification du projet L’aménagement paysager de la région demande l’usage de techniques et de matériaux apportant la beauté et le design espéré. Dans ce sens l’usage du pavé est une pratique assurant un tel objectif, vu la place dont il a au niveau international en tant que produit assurant en même temps sécurité et beauté. Sur un autre niveau le pavé est largement utilisé dans les maisons. Toutes ces caractéristiques du pavé le rendent un produit demandé, nécessitant la création d’unités spécifiques à sa production et à son installation.

Conseils techniques Les dimensions des pavés selon les normes sont : L'épaisseur - 5cm pour les trottoirs et les patios seulement - 6cm pour les trottoirs, les patios et les entrées résidentielles - 7cm pour les entrées résidentielles et les patios - 8cm et + pour les charges lourdes des entrées commerciales et des villes Les dimensions : Chaque manufacturier a ses propres dimensions du même modèle de pavés.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment et autres agrégats entrant dans la composition du béton en signant des contrats d’approvisionnement. Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_48

Intitulé du projet Unité de production bordures en béton

de

Secteur ICPC Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques. Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 6.000.000 MAD Capacité de production Sur commande Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 25 personnes. Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Les bordures de béton stabilisent les matériaux de chaque côté et donnent un aspect fini et durable à tout aménagement paysager. Leur durée de vie est très grande au jardin et elle dépasse souvent celle des occupants des lieux... Il y a des bordures pour les usages résidentiels et les bordures commerciales pour les bords de routes et les terrains de stationnement Elles ont des normes de fabrication sévères afin de prolonger leur vie et augmenter leur résistance. Il se fabrique aussi des bordures de routes en granit. Elles sont beaucoup plus dispendieuses que celles en béton mais peuvent durer plusieurs siècles.

Justification du projet L’aménagement paysager de la région demande l’usage de techniques et de matériaux apportant la beauté et le design espéré. Dans ce sens l’usage des bordures est une pratique assurant un tel objectif, en tant que produit assurant en même temps sécurité et beauté. Sur un autre niveau les bordures sont largement utilisées dans les jardins des maisons. Toutes ces caractéristiques rendent la bordure un produit demandé, nécessitant la création d’unités spécifiques à sa production et à son installation.

Conseils techniques La fabrication des bordures est soumise à un ensemble de normes de qualité et de sécurité qu’il faut en tenir compte. D’un point de vue technique, la fabrication des bordures peut aussi se faire sur place (in situ) avec une machine à mouler. La forme et la taille des bordures dépendent de la demande, mais aussi de la créativité du producteur.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_49

Intitulé du projet Unité de fabrication d'éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, murs et éléments de structure : -

poutrelles précontraintes poutres PSR prélinteaux prédalles en précontraint dalles alvéolées précontraintes poutres précontraintes composants de charpente béton

Secteur ICPC Branche Fabrication d’autres produits numériques non métalliques. Lieu d’implantation proposé Commune : Kenitra, Sidi Kacem. Coût global du projet 30.000.000 MAD Capacité de production 3.500.000 unités par an Besoin en superficie 50.000 m2 Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels National Informations utiles :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. La fabrication des matériaux en ciment compte actuellement 317 unités employant un effectif de près de 12 000 personnes. La structure de la production n’est pas stable du fait du mouvement d’entrée-sortie des entreprises dans l’activité. La production a atteint 2,5 milliards de DH en 2003. Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur a dépassé les 4 milliards de dirhams en 2003. Quant à l’investissement, il a atteint 238,5 millions de dirhams

Justification du projet Le secteur du BTP est soumit aujourd’hui à des normes de sécurité, qui assurent aux œuvres réalisés la robustesse nécessaire à leur pérennité. Dans ce contexte, la région de GCBH, qui connaît un essor du secteur BTP et de l’immobilier, présente une demande en béton dans tous ses états en l’occurrence le béton précontraint, dont les caractéristiques sont importantes.

Conseils techniques Parfois, les sollicitations prévisibles sont telles que l'élasticité propre de l'acier ne suffit pas à assurer la sécurité de l'ouvrage en béton. De ce fait, on a recours à des techniques spécifiques d'armature conduisant au béton précontraint. Il s'agit de techniques qui consistent à tendre (comme des ressorts) les aciers constituant les armatures du béton, et donc à comprimer, au repos, ce dernier. Ainsi, lorsque la structure est sollicitée, ces armatures s'allongent et le béton a tendance à se décompresser sans toutefois se mettre en traction, puisqu'il était déjà en partie comprimé. La précontrainte est à l’origine de progrès considérable pour l’utilisation du béton dans les ouvrages d’art et les structures coulées en place ou réalisées à partir d’éléments préfabriqués. La précontrainte est appliquée au béton grâce à des câbles de précontrainte en acier. Ces câbles sont tendus par des vérins de précontrainte. Lorsque l’on tend les câbles, ils vont par réaction appliquer un effort de compression au béton (voir fiche jointe : principe du béton précontraint). La précontrainte peut être appliquée au béton : soit par PRE-TENSION (mise en tension des aciers avant coulage du béton) - (voir fiche "La prétension") ; soit par POST-TENSION (mise en tension de

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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câbles après durcissement du béton) - (voir fiche "La post-tension").

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant ciment en vrac à travers un contrat avec cimentier. Assurer un approvisionnement régulier agrégats et granulats de bonnes qualités. Assurer un approvisionnement constant acier pour câbles de précontrainte.

en un en en

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_50

Intitulé du projet Unité de fabrication de poteaux en béton pour lignes électriques

Secteur ICPC

Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. La fabrication des matériaux en ciment compte actuellement 317 unités employant un effectif de près de 12 000 personnes. La structure de la production n’est pas stable du fait du mouvement d’entrée-sortie des entreprises dans l’activité. La production a atteint 2,5 milliards de DH en 2003. Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur a dépassé les 4 milliards de dirhams en 2003. Quant à l’investissement, il a atteint 238,5 millions de dirhams

Justification du projet Coût global du projet 8.000.000 MAD

Capacité de production 7.000 unités par an

Besoin en superficie 25.000 m²

Besoin en RH 65 personnes

Marchés potentiels Local, Régional et National

Informations utiles  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La résorption du déficit actuel en logements et la satisfaction des besoins accumulés et futurs nécessitent une mobilisation générale et un accompagnement des différents secteurs, notamment celui de la fabrication des matériaux de construction. Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés, notamment, les 200 000 logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à court terme. Les programmes d’électrification rurale sont aussi une opportunité à saisir pour la production de poteaux en béton pour lignes électriques.

Conseils techniques Les poteaux sont fabriqués dans des moules mis en rotation, après configuration, le moule est soumis à la vapeur (pour une durée de 3 heures). Le démoulage se fait par séparation des coquilles.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_51

Intitulé du projet Unité de fabrication de regards en béton

Secteur ICPC

Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane

Coût global du projet 6.000.000 MAD

Capacité de production 35.000 unités par an

Besoin en superficie 20.000 m²

Besoin en RH 80 personnes

Marchés potentiels Local, Régional et National

Informations utiles  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. La fabrication des matériaux en ciment compte actuellement 317 unités employant un effectif de près de 12 000 personnes. La structure de la production n’est pas stable du fait du mouvement d’entrée-sortie des entreprises dans l’activité. La production a atteint 2,5 milliards de DH en 2003. Le chiffre d’affaires réalisé par le secteur a dépassé les 4 milliards de dirhams en 2003. Quant à l’investissement, il a atteint 238,5 millions de dirhams

Justification du projet La résorption du déficit actuel en logements et la satisfaction des besoins accumulés et futurs nécessitent une mobilisation générale et un accompagnement des différents secteurs, notamment celui de la fabrication des matériaux de construction. Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés, notamment, les 200 000 logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à court terme. Les perspectives de développement de cette industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de substitution de ces matériaux et leur poids important dans la construction.

Conseils techniques Les regards sont fabriqués dans des moules mis en rotation, après configuration, le moule est soumis à la vapeur (pour une durée de 3 heures). Le démoulage se fait par séparation des coquilles.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_52

Intitulé du projet Unité de fabrication de sacs ciment Secteur ICPC Branche Industrie papier et carton Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Kacem, Sidi Yahya, Sidi Slimane, Ameur seflia, Oulad Slama, Sidi Taibi Coût global du projet 10.000.000 DH Capacité de production 1.500.000 sacs par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 75 personnes

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Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la demande exprimée par les cimentiers et essentiellement le futur cimentier installé dans la Région du GharbChrarda-Béni Hssen. En plus la région présente l’avantage de proximité par rapport aux marchés cibles mais aussi par rapport au site de production de matière première à savoir la pâte à papier.

Marchés potentiels Régional, National

Justification du projet Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

S’équiper de machine qui assure le façonnage, pliage, découpage, agrafage, collage, étiquetage, massicotage etc et diverses impression tel que : offset, typographie, pelliculage, vernissage, gaufrage, dorure à chaud contre collage, décorticage, perçage, lissage

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_53

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité de fabrication de produits sanitaires en céramique

Secteur ICPC

Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem

Coût global du projet 300.000.000 MAD

Capacité de production 300.000 pièces par an

Besoin en superficie 30.000 m²

Besoin en RH 150 personnes

Marchés potentiels National et International

Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le Maroc possède une longue tradition de fabrication d’objets en céramique d’art. Toutefois, cette vocation est restée pendant longtemps au stade artisanal et les articles en céramique à usage industriel ou domestique étaient couverts essentiellement par des importations. L’activité industrielle des matériaux de construction en céramique n’est pas très ancienne puisque les premières unités datent des années 1970. Elle a connu une réelle expansion depuis le début de la décennie 80. Durant les années 90, cette activité a bénéficié d’un second souffle suite au lancement du programme 200.000 logements. En effet, durant cette période, plusieurs unités industrielles de fabrication de carreaux de revêtement en faïence ou de carreaux de sol ont été créées. Il est à rappeler que cette branche d’activité comporte les différents types de carreaux utilisés pour le revêtement des sols et des murs, les carreaux en grès, en semi-grés, de faïence, et les produits sanitaires. La production sanitaire est estimée à 2,5 millions d’articles produits, soit 0,9% de la production mondiale. L’industrie de fabrication des articles sanitaires en céramique emploie plus de 1300 personnes. La capacité de production installée équivaut à près de quatre fois la demande intérieure, les produits sont ainsi en grande partie exportés.

Justification du projet Aujourd’hui, le marché marocain connaît une forte demande des produis en céramique. Les riads, les mosquées, les villas, les banques, les hammams, les immeubles de moyen et haut standing,…. sont les principaux débouchés de ce type de matériaux de construction.

Conseils techniques Les produits céramiques sont obtenus par cuisson d’une pâte qui se transforme en «biscuit» ayant des caractéristiques liées à la nature des minéraux constituant la matière première. Celle-ci est formée soit par des argiles particulières appelées « kaolins » qui donnent

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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des produits de teinte claire, soit par des argiles ordinaires. - Les faïences communes : Elles sont constituées par une pâte blanche (réfractaires, kaolins, silice et fondants) cuite à une température de 1200°C. Le biscuit rouge obtenu est recouvert par la suite d’un émail déposé par trempage et passé au four à 1000°C. - Les faïences fines : Elles sont différentes des précédentes par le fait que le biscuit est blanc après cuisson. Elles ne sont utilisées que pour la fabrication des carreaux de revêtement muraux, vu leur faible résistance à l’usure. - Les grès : Ils sont produits soit à partir d’une argile naturelle « grésante », contenant une forte proportion de mica fin qui joue le rôle de fondant et engendre la vitrification, soit à partir d’argiles peu vitrifiables auxquelles on ajoute des matières fusibles et des dégraissants. Ils peuvent être utilisés pour le revêtement du sol ainsi que pour les articles sanitaires du fait de leur grande résistance mécanique. Quelques exemples : lavabos, vasques, W.C., bidets, receveur de douche, lavemains, accessoires (porte-savon, tablette), baignoires, sièges à la turque, éviers, collectivités (cuve laboratoire, cuve simple, bac à laver, lavabo, urinoir). - Porcelaine : Elle est obtenue par la cuisson d’une pâte, à base de Kaolin, sable, et craie, jusqu’à vitrification.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en matière d’argiles ordinaires, kaolins et silice.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_54

Intitulé du projet Unité de fabrication de carreaux en céramique

Secteur ICPC

Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem

Coût global du projet 400.000.000 MAD

Capacité de production 2.500.000 m² par an

Besoin en superficie 50.000 m²

Besoin en RH 250 personnes

Marchés potentiels National et International

Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le Maroc possède une longue tradition de fabrication d’objets en céramique d’art. Toutefois, cette vocation est restée pendant longtemps au stade artisanal et les articles en céramique à usage industriel ou domestique étaient couverts essentiellement par des importations. L’activité industrielle des matériaux de construction en céramique n’est pas très ancienne puisque les premières unités datent des années 1970. Elle a connu une réelle expansion depuis le début de la décennie 80. Durant les années 90, cette activité a bénéficié d’un second souffle suite au lancement du programme 200.000 logements. En effet, durant cette période, plusieurs unités industrielles de fabrication de carreaux de revêtement en faïence ou de carreaux de sol ont été créées. Il est à rappeler que cette branche d’activité comporte les différents types de carreaux utilisés pour le revêtement des sols et des murs, les carreaux en grès, en semi-grés, de faïence, et les produits sanitaires. L’industrie de fabrication des articles en céramique est représentée principalement par l’activité de fabrication des carreaux de revêtements en céramique. Cette industrie emploie près de 5000 personnes et produit 30 millions de m² de carreaux par an pour une consommation estimée à 33 millions de m². Le complément est assuré par des importations, essentiellement haut de gamme. Le développement de cette activité a valu au Maroc d’occuper en 2002 la 23ème position au niveau mondial dans la production de carreaux, avec 37 millions de m3, soit 0,7% de la production mondiale.

Justification du projet Aujourd’hui, le marché marocain connaît une forte demande des produis en céramique. Les riads, les mosquées, les villas, les banques, les hammams, les immeubles de moyen et haut standing,…. sont les principaux débouchés de ce type de matériaux de construction.

Conseils techniques Les produits céramiques sont obtenus par cuisson d’une pâte qui se transforme en Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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«biscuit» ayant des caractéristiques liées à la nature des minéraux constituant la matière première. Celle-ci est formée soit par des argiles particulières appelées « kaolins » qui donnent des produits de teinte claire, soit par des argiles ordinaires. - Les faïences communes : Elles sont constituées par une pâte blanche (réfractaires, kaolins, silice et fondants) cuite à une température de 1200°C. Le biscuit rouge obtenu est recouvert par la suite d’un émail déposé par trempage et passé au four à 1000°C. - Les faïences fines : Elles sont différentes des précédentes par le fait que le biscuit est blanc après cuisson. Elles ne sont utilisées que pour la fabrication des carreaux de revêtement muraux, vu leur faible résistance à l’usure. - Les grès : Ils sont produits soit à partir d’une argile naturelle « grésante », contenant une forte proportion de mica fin qui joue le rôle de fondant et engendre la vitrification, soit à partir d’argiles peu vitrifiables auxquelles on ajoute des matières fusibles et des dégraissants. Ils peuvent être utilisés pour le revêtement du sol ainsi que pour les articles sanitaires du fait de leur grande résistance mécanique. Quelques exemples : lavabos, vasques, W.C., bidets, receveur de douche, lavemains, accessoires (porte-savon, tablette), baignoires, sièges à la turque, éviers, collectivités (cuve laboratoire, cuve simple, bac à laver, lavabo, urinoir). - Porcelaine : Elle est obtenue par la cuisson d’une pâte, à base de Kaolin, sable, et craie, jusqu’à vitrification.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en matière d’argiles ordinaires, kaolins et silice.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_55

Intitulé du projet Unité industrielle de fabrication de carreaux de mosaïque Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi kacem, Sidi Taibi, Sidi Slimane. Coût global du projet 8.000.000 Dhs Capacité de production 20.000 m² par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 30 personnes Marchés potentiels Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. Le secteur de la fabrication des agglomérés et articles en ciment est représenté par 317 sociétés réparties sur tout le territoire national et employant un effectif de 11.995 personnes.

Justification du projet La résorption du déficit actuel en logements et la satisfaction des besoins accumulés et futurs nécessitent une mobilisation générale et un accompagnement des différents secteurs, notamment celui de la fabrication des matériaux de construction. Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés, notamment, les 200 000 logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à court terme. Les perspectives de développement de cette industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de substitution de ces matériaux et leur poids important dans la construction.

Conditions d’approvisionnement Les carreaux de mosaïque sont Fabriqués avec le mélange de ciment et d’une gravette de marbre. Après la prise du mélange, la surface visible du carreau est polie. Il faudra assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier, et garantir un approvisionnement régulier en gravettes de marbre de bonnes qualités.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_56

Intitulé du projet Fabrication de carreaux en céramique pour le revêtement du mur Secteur Industrie chimique Branche Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 80 000 000 MAD Capacité de production 1 500 000 m² par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels Local et exportation

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le marché local de la céramique fait l’objet d’une compétition vive. Les industriels du secteur céramique marocains, ont investi plus de 2,5 milliards de Dirhams et ont ainsi contribué à l’industrialisation du pays en développant un secteur vital à l’économie nationale, qui emploie directement et indirectement 10.000 postes et qui font économiser à l’Etat plus de 1,5 milliard de dirhams en devises.

Justification du projet Le secteur céramique a réalisé des investissements en technologie très moderne, qui n’a rien à envier à celle des pays industrialisés, pour produire une panoplie de produits céramiques diversifiés répondant aux standards européens et à tous les besoins du marché national marocain (haute et moyenne gammes).

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première peut se faire aussi bien de la région que des régions avoisinante. A titre d’illustration, des investisseurs étrangers en bâtiment ont utilisé les produits céramiques marocains dans leurs projets.

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004 publié au Bulletin Officiel n° 5240 du 19 août 2004 Loi 13-89 du Commerce extérieur promulguée par le dahir n° 1-91-201 du 9 novembre 1992

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_57

Intitulé du projet Unité de fabrication produits finis à base marbre

de de

Secteur ICPC Branche Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 7.000.000 MAD Capacité de production 25.000 m² par an Besoin en superficie 7.000 m² Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur L’activité marbrière au Maroc concerne aussi bien l’extraction des blocs que les réalisations des produits finis à base de marbre. En terme de production, le Maroc occupe une place minime, il intervient seulement pour 0,37% de la production mondiale évaluée à 55 millions de tonnes. Le nombre d’entreprises opérant dans le secteur de la fabrication du marbre est de 141 unités en 2003, avec un effectif de 2320 personnes. En 2003, la production a connu une légère baisse, atteignant 384 Millions de Dhs.

Justification du projet Le Maroc dispose d'abondants gisements de marbre qui se caractérisent par un large éventail de variétés, dont notamment : travertins, onyx, marbre fossilisé, calcaire serpentinisé vert, rose et noir, gris-rose; marbre blanc laiteux, gris fleuri, noir veiné, violet - mauresque, rouge. Les investissements effectués par les unités de production progressent de 20% depuis l’an 2000, en raison des opportunités d’investissement que le secteur offre notamment, en matière de valorisation du produit (coupe, polissage, production de carreaux etc..). La région peut bénéficier de ces investissements, surtout que la demande croissante de ce produit connaît un essor avec le développement du secteur BTP.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en marbre, les gisements les plus exploités sont : • Le Maroc central : Boujaâd, Aguelmous, Khénifra et Kasbat-Tadla. • La Méséta côtière : entre Casablanca et Rabat. • L’anti-Atals occidental et le Souss : province de Tiznit. La proximité géographique de la région de gisements important permet une gestion efficace des coûts en matière d’approvisionnement.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_58

Intitulé du projet Unité pour le travail marbre Secteur Industrie chimique

chimique

et

Données sur le secteur de

para

Branche Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 3.000.000 MAD Capacité de production 15.000 m² par an Besoin en superficie 5.000 m²

La production nationale de marbre, répartie entre plus de 146 unités de production et générant quelque 2.500 emplois directs, est estimée à 448 millions de dirhams. Le secteur de la pierre naturelle est loin d'atteindre son apogée par rapport à d'autres secteurs de la production industrielle, et ce malgré le potentiel de ressources marbrières dont regorge le sous-sol du pays.

Justification du projet Le secteur est dominé par des sociétés de petite taille qui sont pour la plupart familiales, héritant d'une tradition d'artisans du marbre. Elles sont de ce fait diversifiées et répondent ainsi aux besoins d'un marché intérieur limité.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première peut se faire aussi bien de la région que des régions avoisinante.

Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Local et Régional Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Bases légales : - Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004 publié au Bulletin Officiel n° 5240 du 19 août 2004 - Loi 13-89 du Commerce extérieur promulguée par le dahir n° 1-91-201 du 9 novembre 1992

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_59

Données sur le secteur Intitulé du projet Traitement de blocs de granite : Granit en carreaux Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 44.000.000 MAD Capacité de production 15 000 m² par an Besoin en superficie 8.500 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels Marché régional et national Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques :

Le secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) constitue un maillon essentiel et un vecteur de la croissance économique. Il contribue dans l’économie nationale à raison de 4,5% du PIB et occupe plus de 500.000 emplois, ce qui lui confère un rôle non négligeable dans l’élaboration de toute stratégie nationale de développement économique et social.

Justification du projet Le granit sert principalement comme pierre dimensionnelle pour la production de panneaux dimensionnés, de tranches et de tuiles minces. Parmi les autres usages, mentionnons la pierre à monument, la pierre ornementale, la pierre de bordures et la pierre d’aménagement paysager. Cette filière s'est considérablement développée ces derniers temps, mais elle reste toujours soumise à de fortes contraintes dues aux évolutions de la demande des consommateurs et aux importations en provenance de pays comme la Chine et l'Inde.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première peut se faire aussi bien de la région que des régions avoisinante.

Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004 publié au Bulletin Officiel n° 5240 du 19 août 2004

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_60

Données sur le secteur Intitulé du projet Traitement de blocs de granite : granit en dalles Secteur ICPC Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 44.400.000 MAD Capacité de production 35 000 m² par an Besoin en superficie 13.000 m² Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels Local 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Arrêté n° 426-04 du 16.04.2004 publié au Bulletin Officiel n° 5240 du 19 août 2004

Le secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) constitue un maillon essentiel et un vecteur de la croissance économique. Il contribue dans l’économie nationale à raison de 4,5% du PIB et occupe plus de 500.000 emplois, ce qui lui confère un rôle non négligeable dans l’élaboration de toute stratégie nationale de développement économique et social.

Justification du projet Le granit sert principalement comme pierre dimensionnelle pour la production de panneaux dimensionnés, de tranches et de tuiles minces. Parmi les autres usages, mentionnons la pierre à monument, la pierre ornementale, la pierre de bordures et la pierre d’aménagement paysager. Cette filière s'est considérablement développée ces derniers temps, mais elle reste toujours soumise à de fortes contraintes dues aux évolutions de la demande des consommateurs et aux importations en provenance de pays comme la Chine et l'Inde.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première peut se faire aussi bien de la région que des régions avoisinante (Province de Khémisset, Province de Ben Slimane…).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_61

Intitulé du projet Unité de production de pavés en pierre naturelle Secteur ICPC Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques. Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité de production 100.000 m² par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 35 personnes

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Données sur le secteur Âgé de millions d'années, ces matériaux vivront encore des milliers d'années sans être altéré par les atteintes du temps. Leur couleur restera et leur aspect se bonifiera. Les pavés en pierres malgré leurs origines, ils rendent l'aménagement urbain et des espaces très contemporains. Un pavé est un bloc de forme cubique ou parallélépipédique en pierre, en terre cuite ou en béton. Il est utilisé pour le revêtement de la chaussée. Les pavés sont utilisés dans le domaine de la construction pour le revêtement de sols ou de chaussées par pavage.

Justification du projet L’aménagement paysager de la région demande l’usage de techniques et de matériaux apportant la beauté et le design espéré. Dans ce sens l’usage du pavé est une pratique assurant un tel objectif, vu la place dont il a au niveau international en tant que produit assurant en même temps sécurité et beauté. Sur un autre niveau le pavé est largement utilisé dans les maisons. Toutes ces caractéristiques du pavé le rendent un produit demandé, nécessitant la création d’unités spécifiques à sa production et à son installation.

Conseils techniques Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Les dimensions des pavés selon les normes sont : L'épaisseur - 5cm pour les trottoirs et les patios seulement - 6cm pour les trottoirs, les patios et les entrées résidentielles - 7cm pour les entrées résidentielles et les patios - 8cm et + pour les charges lourdes des entrées commerciales et des villes Les dimensions : Chaque manufacturier a ses propres dimensions du même modèle de pavés.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en granit et autres pierres naturelles en signant des contrats d’approvisionnement avec des carrières de pierres.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_62

Intitulé du projet Industrie de l’eucalyptus : pâte à papier Secteur ICPC Branche Fabrication de papier et carton Lieu d’implantation proposé Commune : Sidi Yahia, Laksibia, Ameur Sflia et Sidi Slimane Coût global du projet 150 000 000 MAD Capacité de production 40 000 tonnes par an Besoin en superficie 60.000 m² Besoin en RH 250 permanents Marchés potentiels Régional, National, Fabricants de papier et carton Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27 Textes juridiques : Dahir du 13 Octobre 1933 portant réglementation des établissements insalubres, incommodes ou dangereux, tel qu’il a été modifié et complété.

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Au Maroc, vers la fin des années 20, la région de Sidi-Yahia du Gharb a connu les premières plantations d'eucalyptus. Les eucalyptus couvrent actuellement une superficie de 192 526 hectares dont la majorité est concentrée autour de la plaine du Gharb. Malgré sa superficie qui ne présente que près de 5% de la surface forestière, la production du bois d’eucalyptus couvre environ 55% des besoins en bois rond et 7% des besoins en bois de feu. Elle offre annuellement presque un million d'hommesjours de travail et une recette annuelle moyenne d'environ 125 Millions de Dirhams. Les différents produits de l'exploitation des eucalyptus ont une importance économique variable: depuis la production de la pâte cellulosique dont la majeure partie est exportée et rapporte des devises au pays, jusqu'au charbon de bois d'un faible intérêt économique, mais élément nécessaire du budget familial des populations riveraines qui vivent encore au dépend des forêts. Dans les conditions actuelles, la production nationale en bois d’eucalyptus dépend largement du développement des industries de transformation.

Justification du projet La production marocaine en pâte à papier se limite à celles à fibres courtes impropre à la fabrication du papier d'emballage. Elle est utilisée surtout en mélange avec de la pâte à fibres longues pour la fabrication du papier d'impression et d'écriture. Le Maroc se voit contraint d'importer de la pâte à fibres longues pour la fabrication du papier d'impression et d'écriture et du papier d'emballage. Les principales usines utilisatrices de cette pâte sont : l'usine papetière de Tétouan, la C.M.C.P. de Kenitra, la Papeterie du Nord à Fès, SIPAT, SAFRIPAC et Carton de Casablanca.

Conditions d’approvisionnement

Données sur le secteur Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). La branche Industrie du papier et carton emploie 7674 personnes dans 95 établissements au niveau du Maroc.

La pâte à papier à fibres courtes d'eucalyptus, produite par l'usine de Sidi-Yahia du Gharb constitue le poste le plus important dans nos exportations forestières. La quantité moyenne exportée durant les douze dernières années est d’environ 70 000 tonnes pour une valeur de 260 Millions de dirhams. Les capacités de transformation industrielle existantes peuvent être étendues de concert avec une extension des superficies plantées à base de cette espèce en profitant des progrès de la sélection génétique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_63

Intitulé du projet Unité de fabrication des cahiers scolaires et de fournitures de bureau à base de papier Secteur ICPC Branche Fabrication de cahiers scolaires et Papeterie Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Ameur Seflia, Oulad Slama, Sidi Taibi Coût global du projet 35.000.000 MAD Capacité de production 16.000 tonnes de papier et de carton transformés par an Besoin en superficie 25.000 m² Besoin en RH 300 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité, au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, de la matière première à savoir la pâte à papier, mais aussi une main d’œuvre abondante et une proximité des grands marchés de distribution. Ce projet constitue donc une bonne opportunité d’investissement à saisir.

Conseils techniques Cette unité se doit d’être dotée des outils de production ultra modernes avec un contrôle informatique des machines à cahiers complètement automatisées. Prévoir une plate forme logistique avec une capacité de stockage - avec un système de rayonnage - de 6000 palettes (environ 3.500 tonnes).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_64

Intitulé du projet Unité moyenne de traitement et récupération des déchets papier Secteur ICPC Branche Récupération et traitement des déchets industriels non ferreux Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Kacem, Sidi Yahyia, Sidi Slimane, Sidi taibi, oulad Slama, Ameur Seflia. Coût global du projet 1.500.000 DH Capacité de production 75 tonnes par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 20 Personnes Marchés potentiels Local et Régional Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Le secteur du traitement des déchets industriels est un secteur embryonnaire mais qui se caractérise par une très grande dynamique. En fait, La maîtrise des filières de traitement des produits chimiques et industriels permet de mettre en place une logistique adaptée à chaque déchet et d'en assurer le traitement adéquat. Traçabilité et transparence doivent être garanties pour chaque prestation. En effet, l’industrie marocaine produit environ 1 million de tonnes par an de déchets industriels dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux, et les secteurs hospitaliers produisent environ 35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont environ 12000 tonnes sont des déchets dangereux. Ces déchets sont très souvent éliminés dans des décharges sauvages ou encore dans des points noirs et dans les cours d’eau sans aucun traitement ni contrôle, ce qui engendre de graves conséquences aussi bien pour la santé publique et l’environnement que pour l’avenir des activités socio-économiques.

Justification du projet Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une augmentation de la quantité de ses déchets qui ne cesse de s’accentuer. Cette situation a pour origine non seulement la croissance régulière du nombre d’habitants, mais également l’amélioration du niveau de vie, et concerne des déchets de nature très variée. Les choix industriels de la région lui imposent de se doter d’unité de traitement des déchets de toutes sortes, pour assurer la pérennité de son écosystème, et de sa vocation agricole. Dans ce sens la mise en place d’unités de traitement des déchets de papier est nécessaire.

Conseils techniques La préparation s’effectue généralement en trois phases principales : Le pulpage et le défibrage : Les produits papier cartons usagés sont d’abord placés dans un pulpeur. Ce brassage dans de l’eau permet de rompre les liaisons entre les fibres de cellulose et de les séparer des produits résiduels qu’ils pourraient contenir. L’épuration : elle sépare les fibres des éléments qui leur sont associés : colles, vernis, agrafes, etc. Le désencrage : Il est nécessaire simplement pour la fabrication de pâte blanche, et le procédé est essentiellement utilisé dans le cas du recyclage des journaux-magazines. Les fibres rejoignent alors le procédé habituel de fabrication du papier-carton. Elles sont déposées sur une toile en mouvement où elles s’égouttent pour former une feuille qui sera pressée et séchée sur des cylindres chauffés à la vapeur. Une nouvelle feuille de papier ou de carton est ainsi fabriquée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Conditions d’approvisionnement Les déchets à traiter sont les produits de l’industrie de la région, il s'agit :  des chutes de transformation (récupérées auprès des imprimeries et des fabricants d'emballages) ;  des emballages en papier carton ;  des papiers de bureau ;  des journaux et des magazines.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_65

Intitulé du projet Unité de récupération et traitement des déchets papier-carton Secteur ICPC Branche Récupération et traitement des déchets industriels non ferreux Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Kacem, Sidi Yahyia, Sidi Slimane, Sidi taibi, oulad Slama, Ameur Seflia. Coût global du projet 6.500.000 MAD Capacité de production 300 tonnes par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 45 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Le secteur du traitement des déchets industriels est un secteur embryonnaire mais qui se caractérise par une très grande dynamique. En fait, La maîtrise des filières de traitement des produits chimiques et industriels permet de mettre en place une logistique adaptée à chaque déchet et d'en assurer le traitement adéquat. Traçabilité et transparence doivent être garanties pour chaque prestation. En effet, l’industrie marocaine produit environ 1 million de tonnes par an de déchets industriels dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux, et les secteurs hospitaliers produisent environ 35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont environ 12000 tonnes sont des déchets dangereux. Ces déchets sont très souvent éliminés dans des décharges sauvages ou encore dans des points noirs et dans les cours d’eau sans aucun traitement ni contrôle, ce qui engendre de graves conséquences aussi bien pour la santé publique et l’environnement que pour l’avenir des activités socio-économiques.

Justification du projet Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une augmentation de la quantité de ses déchets qui ne cesse de s’accentuer. Cette situation a pour origine non seulement la croissance régulière du nombre d’habitants, mais également l’amélioration du niveau de vie, et concerne des déchets de nature très variée. Les choix industriels de la région lui imposent de se doter d’unité de traitement des déchets de toutes sortes, pour assurer la pérennité de son écosystème, et de sa vocation agricole. Dans ce sens la mise en place d’unités de traitement des déchets de papier est nécessaire.

Conseils techniques La préparation s’effectue généralement en trois phases principales : Le pulpage et le défibrage : Les produits papiercartons usagés sont d’abord placés dans un pulpeur. Ce brassage dans de l’eau permet de rompre les liaisons entre les fibres de cellulose et de les séparer des produits résiduels qu’ils pourraient contenir. L’épuration : elle sépare les fibres des éléments qui leur sont associés : colles, vernis, agrafes, etc. Le désencrage : Il est nécessaire simplement pour la fabrication de pâte blanche, et le procédé est essentiellement utilisé dans le cas du recyclage des journaux-magazines. Les fibres rejoignent alors le procédé habituel de fabrication du papier-carton. Elles sont déposées sur une toile en mouvement où elles s’égouttent pour former une feuille qui sera pressée et séchée sur des cylindres chauffés à la vapeur. Une nouvelle feuille de papier ou de carton est ainsi fabriquée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Conditions d’approvisionnement Les déchets à traiter sont les produits de l’industrie de la région, il s'agit :  des chutes de transformation (récupérées auprès des imprimeries et des fabricants d'emballages) ;  des emballages en papier carton ;  des papiers de bureau ;  des journaux et des magazines.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_66

Intitulé du projet Unité de fabrication du carton ondulé Secteur ICPC Branche Papeterie Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Yahya, Sidi Slimane, Ameur seflia, Oulad Slama, Sidi Taibi Coût global du projet 250.000.000 MAD Capacité de production 15.000 tonnes par an Besoin en superficie 45.000 m² Besoin en RH 120 personnes Marchés potentiels National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité, au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, de la matière première à savoir la pâte à papier et carton, mais aussi une main d’œuvre abondante et une proximité des grands marchés de distribution. Le carton ondulé est un matériau biodégradable et totalement recyclable, donc non polluant pour l’environnement. L’emballage en carton ondulé est entrain de se substituer aux emballages à base d’autres matériaux notamment le plastique. En outre, compte-tenu de la croissance industrielle et agricole et des exigences normatives en matière d’emballage, les besoins du marché local connaîtront une évolution accélérée estimée à 10 % par an. Actuellement, la consommation locale en carton ondulé dépasse les 4 Kg par habitant. Soit un marché de plus de 140.000 tonnes par an réparti entre 4 grandes unités. Ce projet constitue donc une excellente opportunité d’investissement à saisir.

Conseils techniques La fabrication du carton ondulé consiste à assembler 3 papiers : Un papier cannelure, ondulé mécaniquement, une couverture extérieure et une couverture intérieure. Il existe 4 grandes sortes de carton ondulé :

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Le simple face est constitué d'une cannelure collée à une seule couverture. Le double face est constitué d'une cannelure collée à une couverture extérieure et à une couverture intérieure. Le double double est constitué d'un carton double face collé à un simple face. Il compte donc 2 cannelures et 3 couvertures (une extérieure, une intermédiaire et une intérieure). Le carton ondulé triple cannelure est constitué de 3 cannelures. L'onduleuse est la machine qui fabrique le carton ondulé en thermoformant un papier cannelure qu'elle colle dans le groupe simple face à une couverture (une feuille de papier plane). Le carton simple face ainsi obtenu collé à une couverture extérieure donne un carton double face. On fabrique du carton " double double " (2 cannelures, 3 couvertures) en mettant en action 2 groupes simples faces en série. La nappe de carton est acheminée vers la table chauffante qui va sécher la colle et éliminer l'humidité. La plaque rigidifiée atteint ensuite la partie sèche de l'onduleuse : à cette étape la plaque est coupée longitudinalement, transversalement puis palettisée. La plaque de carton ainsi mise à format est acheminée par transbordeurs aux quais d'enlèvement (pour livraisons à des transformateurs) ou transformée sur place. Les machines mises en œuvres sont des combinés, également appelés slotters, servant à fabriquer des caisses américaines, également appelées caisses à rabat. En revanche, on utilise des presses à découper (à plat ou rotatives) pour produire des packagings, des calages, des présentoirs… de forme de découpe différente des caisses à rabat. La découpe d'emballage sur presses peut nécessiter un passage ultérieur en plieuse colleuse. Cet équipement à pour but de mettre en forme (pliage) et de coller les emballages découpés sur une presse qui, contrairement au combiné, n'intègre pas cette fonction " pliage collage ". Le passage sur plieuse colleuse n'est pas systématique : certains emballages manuels comme certains systèmes de conditionnement automatiques incluant cette fonction collage, ne nécessitent pas ce passage machine. Collés ou pas, les emballages sont palettisés à plat.

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Conditions d’approvisionnement Dans les papiers utilisés pour la fabrication du carton ondulé, 70 % proviennent du Maroc. La production marocaine de papiers pour le carton ondulé utilise près de 70 % de papiers recyclés. Par ailleurs, les emballages en carton ondulé usagés sont récupérés à près de 60 %. Cependant, il faut assurer un approvisionnement constant en :  Bobines de papier (papier pour couverture et papier pour cannelure).  Amidon de maïs pour la fabrication de la colle utilisée sur l’onduleuse.  Encre à base d’eau pour imprimer le carton ondulé selon le procédé “flexographique“.  Ces matières ne présentent aucun risque ni pour l’environnement ni pour la santé du consommateur, elles sont biodégradables.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_67

Intitulé du projet Unité d’impression numérique, gravure et flashage

Secteur ICPC Branche Imprimerie et Papeterie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra Coût global du projet 5.000.000 MAD Besoin en superficie 750 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Local, Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la forte demande au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, mais aussi au niveau des régions à forte expansion économique. Ceci constitue une proximité des grands marchés pour un tel projet. Ce projet proposera l’impression de flyers, de flyers pelliculés, brochures, dépliants d'impression en numérique et offset en 90g, 135g, 250g ou 350g, de cartes de visite, cartes commerciales pelliculées, brochures, plaquettes, dépliants, papiers entête, affiches, etc.

Conseils techniques Disposer de machines performantes pour l'impression numérique en grand format. Disposer de tous les logiciels nécessaires à l'impression de vos documents

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_68

Intitulé du projet Unité d’édition de scolaires

livres

Secteur ICPC Branche Fabrication de cahiers scolaires et Papeterie Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Yahia, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet 15.000.000 MAD Capacité de production 750.000 unités par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 60 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité, au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, de la matière première à savoir la pâte à papier, mais aussi une main d’œuvre abondante et une proximité des grands marchés de distribution. Ce projet constitue donc une bonne opportunité d’investissement à saisir.

Conseils techniques Cette unité se doit d’être dotée des outils de production ultra modernes avec un contrôle informatique des machines à cahiers complètement automatisées. Prévoir une plate forme logistique avec une capacité de stockage - avec un système de rayonnage - de 2000 palettes (environ 1.500 tonnes).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_69

Intitulé du projet Imprimerie Secteur ICPC Branche Industrie papier et carton Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 1.500.000 MAD Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie 1.000 m² Besoin en RH 30 Permanents Marchés potentiels Régional, National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la forte demande au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, mais aussi au niveau des régions à forte expansion économique. Ceci constitue une proximité des grands marchés pour un tel projet. L'imprimerie est un ensemble de technologies permettant de reproduire des écrits et des illustrations en grande quantité sur des supports plans, généralement du papier, et pouvoir ainsi les distribuer à grande échelle. Les techniques vont de la composition des textes au façonnage (reliure, pliure…) en passant par l'impression et la relecture.

Conseils techniques Il existe deux types de procédés d’impression : Les procédés traditionnels (avec forme imprimante) :  L'offset  L'héliogravure  La flexographie  La sérigraphie  La tampographie  Le stencil ou cyclostyle Les procédés numériques (sans forme imprimante) :  Jet d'encre  Électrophotographie ou xérographie  Impression thermique Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_70

Intitulé du projet Fabrication de celloderme

plaques

Secteur Industries Chimiques & Parachimiques Branche L’industrie du papier et carton Lieu d’implantation proposé Commune: Sidi Yahia El Gharb Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité de production 100 T par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 15 personnes

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur La branche Industrie du papier et carton emploie 7674 personnes dans 95 établissements au niveau du Maroc. L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agroalimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur.

Justification du projet Le Celloderme est un carton dur haut densité fabriqué en feuilles par enroulement de couches à l'état humide fortement pressées puis séchées dans un four. Le Celloderme est un matériau rigide, non cassant, il a une bonne aptitude au pliage et peut être thermo formable. Le celloderme est utilisé comme Input en plusieurs secteurs, entre autres : Chaussures, Automobile, Ameublement, Maroquinerie, Textile, Emballage industriel, Papeterie…

Marchés potentiels Le Marché régional et national

Conditions d’approvisionnement

Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

La Matières Premières utilisées est principalement les fibres cellulosiques de récupération. La région du GCBH dispose de potentialités importantes en la matière, qui assurent à cette activité une maîtrise des coûts pour une meilleure compétitivité et une diversification de la production. Il faut assurer un approvisionnement constant en la matière de bonne qualité.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_71

Intitulé du projet Unité de production artisanale des huiles essentielles Secteur Industrie chimique et para chimique Branche Fabrication d'huiles essentielles Lieu d’implantation proposé Communes : Ensembles des communes de la Région

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur des industries chimiques et para chimiques occupe le second rang dans le paysage industriel de la région GCBH. La production industrielle de ce secteur en 2005 a atteint 2,27 Milliards MAD en réalisant une hausse de 2,72% contre 3,06% en 2004. Cette situation est principalement due aux fluctuations observées dans quatre branches. L’industrie du papier et du carton a baissé de 9%, la fabrication d’autres produits minéraux non métalliques a augmenté de 16%, l’industrie du caoutchouc et des plastiques a enregistré un essor de 223% et la cokéfaction, raffinage et industries nucléaires a connu une hausse de 73%.

Coût global du projet 1.000.000 MAD

Justification du projet

Capacité de l’unité

Le Maroc possède un fort potentiel en agriculture biologique. La filière huile essentielle représente une valeur non négligeable pour l'économie marocaine. Le Maroc exporte en moyenne 970 tonnes des huiles essentielles et d'extraits divers pour une valeur de 150 millions de Dirhams. La filière est male organisée pour confronter la concurrence internationale. L'encadrement technique et la connaissance des opportunités du marché national et international sont indispensables. L'usage de la majorité des plantes est encore artisanal ou traditionnel. Les huiles essentielles sont essentiellement destinées à l'export et à des clients de plus en plus exigeants sur la qualité qui doit répondre aux normes et standards internationaux. Les secteurs suivants sont les principaux consommateurs des huiles essentielles :  parfumerie technique (savons, détergents) ;  alimentation ;  cosmétique ;  médecine (médecine douce et pharmaceutique).

100 litres par an

Besoin en superficie 1000 m²

Besoin en RH 10 personnes

Marchés potentiels Export 90% National 10%

Informations utiles  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Conditions d’approvisionnement  La proximité de la matière première ;  45 974 ha de forêts naturelles ;  150 ha de la réserve biologique de Sidi Boughaba ;  possibilité de domiciliation des plantes au niveau de terrains non valorisés ; Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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 un marché à haut potentiel de développement ;  proximité des instituts de recherches et développement  proximité du marché européen et du Maghreb et opportunités d'exportation vers les pays européens, vers les Etats Unies d'Amérique et vers les pays du Maghreb et du moyen orient ;  opportunité du marché local : les industries des détergents, pharmaceutiques, consommation particulière et touristique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_72

Intitulé du projet Unité de fabrication et impression d’étiquette adhésives Secteur ICPC Branche Fabrication de pate a papier, de papier et de carton Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Taibi Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 10.000.000 m² par an Besoin en superficie 5.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels National et international Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité, au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, de la matière première à savoir la pâte à papier, mais aussi une main d’œuvre abondante et une proximité des grands marchés de distribution. Ce projet aura pour objet l’impression et manipulation d’étiquettes sur matériaux à support adhésif. Ces étiquettes seront destinées à tout type de production locale pour l’exportation ou de production à l’étranger où la qualité du produit conseille l’utilisation d’étiquettes qui mettent en valeur cette qualité, c’est-à-dire, l’utilisation d’étiquettes auto adhésives en couleurs.

Conseils techniques Cette unité devra s’équiper d’imprimantes 6 couleurs (200 m/m laize), d’imprimantes typographiques 7 couleurs 230 mm2, d’imprimante 7 couleurs 280 m/m laize, d’imprimante 8 couleurs 280 m/m laize, d’outils d’estampage et de gaufrage, d’une machine d’impression estampage en continu, d’outils de coupe, de coupe au format et d’inspection. S’équiper, également, de layout des machines adapté, d’outils de standardisation des produits, de logiciels GPAO (Gestion de la production Assistée par Ordinateur) et CAO (Conception Assistée par Ordinateur).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_73

Intitulé du projet Unité de nettoyage, tri, classement et mise en bales de vieux papier et carton Secteur ICPC Branche Fabrication de pate a papier, de papier et de carton Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra, Sidi Taibi, Sidi Slimane, Sidi Kacem, Sidi Yahia Coût global du projet 2.500.000 MAD Capacité de production 285.000 tonnes par an Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 50 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Cette branche avec 95 établissements, emploie 7674 personnes. Elle est représentée en trois sousbranches : Pâte à papier: Les exportations de la pâte d'eucalyptus à fibre courte ont été de 43 MUS $ en 2003, destinées essentiellement vers l'Italie (37%), la France (21%),la Tunisie (16%) et la Turquie (14%). Papier et carton: L'industrie de la fabrication du papier et carton s'est développée à partir des industries de l'emballage, destinée d'une part au marché local et d'autre part à l'exportation des produits agricoles et agro-alimentaires. Les pays d'Europe et du Maghreb constituent les principaux débouchés du secteur. Produits de la transformation du Papier et Carton : L'industrie de transformation du papier et carton au Maroc se compose des activités de fabrication des articles en papier tels que les fournitures scolaires, les enveloppes, les produits hygiéniques comme les couches bébés, les mouchoirs et des articles spéciaux comme les papiers carbone, les pelures. Les exportations de cette industrie sont destinées surtout à l'Europe pour les produits d'emballage (caisses pliantes en papier, cartons ondulés) et l'Afrique pour différents articles en papier.

Justification du projet Ce projet trouve sa justification par la disponibilité, au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen, de la matière première à savoir la pâte à papier, mais aussi une main d’œuvre abondante et une proximité des grands marchés de distribution. Ce projet aura pour objet la récupération de vieux papier et carton dans le but de les préparer à réutilisation pour la fabrication de pâte à papier.

Conseils techniques Cette unité devra s’équiper des principaux équipements suivants : Convoyeur 122 cm ; Finger screen ; Séparateur parties ferriques début de ligne ; Séparateur parties non ferriques « Eddie curent separator » ; Déchiqueteuse ; Machine pour mise en balles ; Rayonnages lourds ; Rayonnages légers ; Armoires de rangement ; Bureaux ; Armoire de vestiaire ; Chaises bureaux ; Transpalette manuel ; Chariot élévateur ; Poste informatique réseau + périphériques

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_74

Intitulé du projet Unité de saponification froid

à

Secteur ICPC Branche Cosmétique, parfumerie huiles essentielles

et

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Ouezzane Coût global du projet 500.000 MAD Capacité de production 750.000 unités Besoin en superficie 300 m² Besoin en RH 10 personnes Marchés potentiels National et International Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Les industries chimiques et para chimiques occupent une place importante dans l'industrie marocaine. Avec 2168 établissements (32% de la population des établissements industriels), ces industries contribuent à 32% de la production industrielle, à 33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif total et drainent 41% des investissements. Les unités de la branche cosmétique se répartissent entre les savonneries, les producteurs de détergents et les sociétés de parfums et cosmétiques. Au nombre de 41entreprises, les sociétés de la parfumerie et de la cosmétique emploient 2700 personnes et ont exporté pour 5,2 millions en 2003. La production des cosmétiques et parfums est très diversifiée et comporte une gamme de produits assez étendue.

Justification du projet Le savon fait main est bien plus doux que le savon fabriqué industriellement. En effet, lors de la réaction de saponification, les graisses et la soude se combinent pour donner du savon et de la glycérine. Dans les procédés industriels, la glycérine, un produit hydratant ayant de la valeur par lui-même, est extrait du savon et vendue séparément. Dans le savon fait main, la glycérine reste présente et le rend plus doux.

Conseils techniques Le savon (au sens « sels d'acide gras ») est un produit biodégradable. Par contre, les additifs chimiques (de couleur, texture et parfum) que contiennent la plupart des pains de savons du commerce ne le sont pas. Le procédé dit de saponification à froid est un très faible consommateur d’énergie. La saponification à froid conserve les propriétés intrinsèques des huiles et celles de la glycérine. L'énergie principale employée est l'huile de coude de la savonnière qui saponifie au fouet à main. Le séchage-affinage de plusieurs semaines se fait lui aussi naturellement. Le découpage et l'étiquetage sont manuels. L’emballage utilisé est recyclable.

Conditions d’approvisionnement Le savon fabriqué à froid, peut être fabriqué à base de l'huile de noix de coco, huile de palme, huile d'olive, aussi l'huile d'argan qui lui donne un pouvoir réhydratant, restructurant.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_75

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Données sur le secteur L'escargot fait aujourd'hui l'objet

Intitulé du projet Crème à base d’extraits d’escargots Secteur Industrie chimique

Chimique

et

Para-

Branche Parapharmacie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité de production 400.000 l par an Besoin en superficie 2.000 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Export 80%, National 20% Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

d'un commerce intense. Il est très apprécié dans l'alimentation et constitue une source importante de protéine animale et rentre également dans la pharmacopée où il est utilisé entre autre pour le traitement de l'asthme et l'hémorroïde. En outre, sa coquille sert d'emballage pour les antipoisons et les antivenimeux et est aussi utilisée pour amender les sols acides et dans l'alimentation de la volaille. De nos jours, l'expansion de l'aménagement des terres hydro morphes qui sont leurs habitats de prédilection et le prélèvement intense occasionnent une raréfaction de l'escargot et menacent dangereusement la survie de l'espèce.

Justification du projet La région offre les conditions propices réalisation d’un tel projet vu écosystème adapté et la disponibilité matériaux nécessaires à l’élevage escargots.

à la son des des

Le produit est demandé au niveau international, en l’occurrence en Europe.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement auprès d’éleveurs régionaux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

constant

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Fiche de projet n° S_ICPC_76

Intitulé du projet Fabrication de produits dérivés du Ghassoul Secteur ICPC Branche Cosmétique, parfumerie huiles essentielles

et

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 6.000.000 MAD Capacité de production 50 tonnes par an Besoin en superficie 1500 m² Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels National et International Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Les industries chimiques et para chimiques occupent une place importante dans l'industrie marocaine. Avec 2168 établissements (32% de la population des établissements industriels), ces industries contribuent à 32% de la production industrielle, à 33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif total et drainent 41% des investissements. Les unités de la branche cosmétique se répartissent entre les savonneries, les producteurs de détergents et les sociétés de parfums et cosmétiques. Au nombre de 41entreprises, les sociétés de la parfumerie et de la cosmétique emploient 2700 personnes et ont exporté pour 5,2 millions en 2003. La production des cosmétiques et parfums est très diversifiée et comporte une gamme de produits assez étendue. Le Ghassoul est une roche de formation sédimentaire d’âge tertiaire et d’origine lacustre. On attribue ce gisement au Jurassique. Son origine géologique provient de l’altération de roches volcaniques instables. Le nom de cette roche provient de la toponymie originelle du gisement du Djebel Ghassoul en exploitation au Maroc, situé à une vingtaine de kilomètres au nord est de El-Ksabi. Le Ghassoul contient de nombreux minéraux comme le magnésium, le fer, le sodium, le zinc, le phosphore et le potassium ainsi que des provitamines, autant de composants aux propriétés extrêmement bénéfiques pour la peau et la chevelure. Le Ghassoul possède une teneur élevée en minéraux aux propriétés hydrophiles exceptionnelles qui permettent de capturer et éliminer les impuretés.

Justification du projet L’engouement des consommateurs pour les produits du terroir naturels et biologiques constitue une excellente opportunité à saisir. Différents produits dérivés du Ghassoul sont demandés sur le marché tel que des shampoings, des gels de bains, des savons et des crèmes contre l’acné.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en motte de Ghassoul depuis les gisements au nord-est du Maroc. Ces gisements qui s’étendent sur une superficie de près de 27.000 ha produisent environ 2700 tonnes en moyenne par an de Ghassoul et assurent la totalité de la consommation nationale.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_77

Intitulé du projet Unité de fabrication d’emballage en verre Secteur ICPC Branche Industrie du verre Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Sidi Taibi Coût global du projet 15.000.000 MAD Capacité de production 20.000.000 unités par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels National et Export Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Les industries chimiques et para chimiques occupent une place importante dans l'industrie marocaine. Avec 2168 établissements (32% de la population des établissements industriels), ces industries contribuent à 32% de la production industrielle, à 33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif total et drainent 41% des investissements. Les établissements industriels opérant dans ce secteur ont réalisé en 2000 des performances peu satisfaisantes. A part les exportations et l'emploi qui ont régressé respectivement de 1% chacun, la production, l'investissement et la valeur ajoutée ont progressé respectivement de 1%, 13% et 3%. Le travail du verre est un métier très vieux. Le verre évolue sans cesse pour se prêter aux applications les plus nouvelles et concurrencer les autres matériaux (céramique, fer blanc, papier... et surtout plastique) dans les domaines les plus divers : verre plat (vitres, miroiterie pour le bâtiment et l'automobile), verre creux (bouteilles, gobeleterie, flaconnage... pour la pharmacie, la parfumerie et l'alimentation), verre technique (tubes de TV, optique, verres spéciaux pour l'aérospatiale et même la chirurgie au laser), fibres de verre (isolation, plastique armé textile, ameublement).

Justification du projet Ce projet trouve sa justification dans le fait que les consommateurs préfèrent toujours les emballages en verre creux. En effet, les consommateurs savent que le verre est un emballage qui constitue un label de qualité supérieur dans le domaine alimentaire. Ils font confiance au verre et à ses qualités. Ils préfèrent son esthétisme sa présentation et les valeurs d'authenticité qu'il dégage. Sa naturalité lui permet d'être plus sain que tous les autres emballages. Les consommateurs sont aussi très sensibles au fait que le recyclage du verre permet de préserver l'environnement. Ce projet proposera une large gamme d’emballages en verre tel que : Pots, bocaux (conserves sous verre), petits pots bébé, flacons (dont parfums), bouteilles et tout autre emballage en verre ayant contenu des solides ou des liquides.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Conseils techniques Les fabrications de masse sont obtenues dans de grands fours à bassin fonctionnant en continu, 24 heures sur 24, pendant une durée de 10 à 12 ans. La capacité de production d’un four peut atteindre 450 à 480 tonnes par jour. Les matières premières : silice, soude, calcaire, affinants, colorants, sont introduites en continu dans le four et portées 1 550° C. A sa sortie, la pâte en fusion dans le four s’écoule dans des canaux chauffés qui la maintiennent à haute température. Une goutte de verre en fusion est coupée à l’extrémité des canaux, dont la température et la forme, varient selon l’emballage à fabriquer. Cette goutte de verre, la paraison, passe successivement dans un moule ébaucheur puis dans un moule finisseur où elle est soufflée pour former l’emballage. Le verre doit être refroidi dans des conditions spéciales pour éviter les écarts de température qui rendraient l'emballage fragile : c'est le "recuit ". Les emballages sont ensuite soumis à des traitements pour renforcer leurs qualités. Un contrôle qualité, extrêmement rigoureux, s’opère à chaque stade de la fabrication. Les verriers répondent ainsi - et souvent devancent - les exigences croissantes de leurs clients, eux-mêmes soumis aux nouvelles exigences des consommateurs en matière de sécurité alimentaire.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en sable, calcaire, soude, divers entrent dans la composition du verre. Ces composants peuvent être remplacés par du calcin - verre récupéré après utilisation et broyé. Les matières premières sont mélangées dans l’atelier de composition, selon des proportions soigneusement définies. Le mélange est ensuite déversé dans le four.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° FP_S_ICPC_78

Intitulé du projet Unité de fabrication de verre pour l’industrie automobile Secteur ICPC Branche Industrie du verre Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production 150.000 unités par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels National et Export Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Les industries chimiques et para chimiques occupent une place importante dans l'industrie marocaine. Avec 2168 établissements (32% de la population des établissements industriels), ces industries contribuent à 32% de la production industrielle, à 33% du PIB industriel et emploient 23% de l'effectif total et drainent 41% des investissements. Les établissements industriels opérant dans ce secteur ont réalisé en 2000 des performances peu satisfaisantes. A part les exportations et l'emploi qui ont régressé respectivement de 1% chacun, la production, l'investissement et la valeur ajoutée ont progressé respectivement de 1%, 13% et 3%. Le travail du verre est un métier très vieux. Le verre évolue sans cesse pour se prêter aux applications les plus nouvelles et concurrencer les autres matériaux (céramique, fer blanc, papier... et surtout plastique) dans les domaines les plus divers : verre plat (vitres, miroiterie pour le bâtiment et l'automobile), verre creux (bouteilles, gobeleterie, flaconnage... pour la pharmacie, la parfumerie et l'alimentation), verre technique (tubes de TV, optique, verres spéciaux pour l'aérospatiale et même la chirurgie au laser), fibres de verre (isolation, plastique armé textile, ameublement).

Justification du projet Ce projet trouve sa justification dans le fait que les consommateurs préfèrent toujours les emballages en verre creux. En effet, les consommateurs savent que le verre est un emballage qui constitue un label de qualité supérieur dans le domaine alimentaire. Ils font confiance au verre et à ses qualités. Ils préfèrent son esthétisme sa présentation et les valeurs d'authenticité qu'il dégage. Sa naturalité lui permet d'être plus sain que tous les autres emballages. Les consommateurs sont aussi très sensibles au fait que le recyclage du verre permet de préserver l'environnement. Ce projet proposera une large gamme de vitres latérales, lunettes arrière, déflecteurs et pare-brise. Mais aussi des pare-brises panoramiques, vitres latérales de grandes dimensions pour les véhicules industriels et utilitaires. Ce projet devra également assurer la réalisation de lunettes arrière, bombées et trempées, qui sont

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

dotées de réseaux chauffants, conformément aux exigences des grands constructeurs.

Conseils techniques Les fabrications de masse sont obtenues dans de grands fours à bassin fonctionnant en continu, 24 heures sur 24, pendant une durée de 10 à 12 ans. La capacité de production d’un four peut atteindre 450 à 480 tonnes par jour. Les matières premières : silice, soude, calcaire, affinants, colorants, sont introduites en continu dans le four et portées 1 550° C. A sa sortie, la pâte en fusion dans le four s’écoule dans des canaux chauffés qui la maintiennent à haute température.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en sable, calcaire, soude, divers entrent dans la composition du verre. Ces composants peuvent être remplacés par du calcin - verre récupéré après utilisation et broyé. Les matières premières sont mélangées dans l’atelier de composition, selon des proportions soigneusement définies. Le mélange est ensuite déversé dans le four.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_79

Intitulé du projet Unité de fabrication de pièces en caoutchouc moulé travaillées à partir de matières premières naturelles ou de synthèse comme les silicones, les nitriles…

Secteur I.C.P.C Branche Industrie du caoutchouc et du plastique. Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 20.000.000 MAD Capacité de production Selon les commandes Besoin en superficie 15.000 m² Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels National et Exportation Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie chimique et para chimique au Maroc est l’une des industries les plus importante et les plus développée du continent africain. Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de 6,5% à la formation du PIB, et un volume de production de 83,4 milliards de dirhams. Il draine près de 1,6% de la population active urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le secteur employait près de 102.456 personnes; Selon les statistiques du Ministère de l’Industrie, le secteur compte 2.230 sociétés opérant dans l’industrie chimique et para chimique réalisant un chiffre d’affaires global de 90,6 milliards de dirhams. La fabrication des Pneumatiques et chambres à air est une activité exercée principalement par des filiales de grandes firmes multinationales qui travaillent aussi bien pour le marché local qu'à l'export. Les exportations ont été de l’ordre de 12,5 millions de dollars américains en 2003. Les principales destinations à l’export de cette branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne 11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,…

Justification du projet Selon les besoins identifiés, il existe une forte demande latente pour des produits différents à base de caoutchouc et de silicone. Ce sont essentiellement l’injection et conditionnement sous flux laminaire, joints et garnitures d'étanchéité, capuchons, membranes, manchons, bouchons, pièces d'isolation électrique et pour application médicale. En maîtrisant les techniques de fabrication les plus innovantes, on peut répondre aussi aux exigences de secteurs d’activité de pointe tels que l’automobile, la bureautique, l’informatique, l’aéronautique, le bâtiment, l’agroalimentaire et l’électromécanique.

Conseils techniques La réglementation du secteur de la chimie et de la parachimie porte essentiellement sur le volet sécuritaire des établissements concernés et sur la protection de l’environnement. Au niveau national, une panoplie de textes législatifs

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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cadre le secteur. Et ce à côté d’un ensemble d’exigences internationales à respecter.

Conditions d’approvisionnement L’industrie de la transformation du caoutchouc réalise, à partir de matières brutes, des mélanges crus qui seront dans un second temps mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses matières premières : des élastomères bruts, mais aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des huiles, du soufre, du zinc... Cette industrie est également une grosse consommatrice de métal dans le cadre de la fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal, et de textiles (rayonne, aramide, polyester, polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques, tuyaux, bandes transporteuses...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_80

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Données sur le secteur

Besoin en superficie 20.000 m²

L’industrie chimique et para chimique au Maroc est l’une des industries les plus importante et les plus développée du continent africain. Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de 6,5% à la formation du PIB, et un volume de production de 83,4 milliards de dirhams. Il draine près de 1,6% de la population active urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le secteur employait près de 102.456 personnes; Selon les statistiques du Ministère de l’Industrie, le secteur compte 2.230 sociétés opérant dans l’industrie chimique et para chimique réalisant un chiffre d’affaires global de 90,6 milliards de dirhams. La fabrication des Pneumatiques et chambres à air est une activité exercée principalement par des filiales de grandes firmes multinationales qui travaillent aussi bien pour le marché local qu'à l'export. Les exportations ont été de l’ordre de 12,5 millions de dollars américains en 2003. Les principales destinations à l’export de cette branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne 11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,… L’industrie du pneu rechapé représente plus de 2 milliards de dollars par an dans le monde.

Besoin en RH 50 personnes

Justification du projet

Intitulé du projet Unité de fabrication de pneus rechapés Secteur ICPC Branche Fabrication de pneumatique Lieu d’implantation proposé Commune : Kenitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 40.000 pneus par an

Marchés potentiels National et International Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Cette industrie est boostée par le développement important drainé par la croissance du parc automobile marocain et par les demandes extérieures Cette branche, complémentaire avec la fabrication des équipements automobiles, constitue une priorité pour la région au vu de l’importance accordée à l’ensemble de cette filière par le Plan Emergence. Les pneus rechapés revêtent un grand intérêt au vu de l’importance du respect de l‘environnement qu’ils assurent. En effet, le rechapage des pneus assurent la réutilisation des anciens pneus usés et permettent leur recyclage. Enfin, le gros avantage d'un pneu rechapé est son prix. Ils sont commercialisés jusqu'à 40 % de moins par rapport au neuf.

Conseils techniques Le rechapage n'est pas une technique nouvelle. Il a longtemps été utilisé dans le milieu du poids lourds et des engins de travaux publics. Grâce à ce procédé de recyclage et de valorisation, certains pneus ont parcouru des millions de kilomètres. Dans le cas des véhicules de tourisme, ce procédé est très économique. Le rechapage consiste à remplacer la bande de roulement et les flancs d'un pneumatique lorsque ce dernier a atteint sa limite d'usure. Il peut y avoir un premier rechapage, généralement chez le manufacturier plus un second, voir un troisième dans certaines utilisations (travaux publics). La bande de Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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roulement usée est enlevée par râpage. La première opération consiste à supprimer avec une machine-outil, les parties détériorées sur la carcasse par une action de nettoyage. C'est ce qu'on appelle le brossage. La seconde manipulation consiste à remplacer la partie supprimée par de la gomme neuve, des renforts et une nouvelle nappe. Après que la gomme neuve ait été déposée sur le pneu, ce dernier est introduit dans un moule à haute température qui va sculpter le dessin du pneu et assurer la liaison entre la bande de roulement et le support. Ce procédé de fabrication, très répandu pour les poids lourds et les engins de travaux publics, est identique à celui du pneu neuf. L'avantage réside dans son prix.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en pneus usés et matières premières tel que le caoutchouc naturel et synthétique.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_81

Intitulé du projet Unité de Fabrication Pneu

de

Secteur ICPC Branche Produits en caoutchouc Lieu d’implantation proposé Province de Kenitra et Sidi Kacem Coût global du projet 25.000.000 MAD Capacité de production 1.000.000 unités par an Besoin en superficie 25.000 m² Besoin en RH 75 personnes Marchés potentiels National et International Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur L’industrie chimique et para chimique au Maroc est l’une des industries les plus importante et les plus développée du continent africain. Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de 6,5% à la formation du PIB, et un volume de production de 83,4 milliards de dirhams. Il draine près de 1,6% de la population active urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le secteur employait près de 102.456 personnes; Selon les statistiques du Ministère de l’Industrie, le secteur compte 2.230 sociétés opérant dans l’industrie chimique et para chimique réalisant un chiffre d’affaires global de 90,6 milliards de dirhams. La fabrication des Pneumatiques et chambres à air est une activité exercée principalement par des filiales de grandes firmes multinationales qui travaillent aussi bien pour le marché local qu'à l'export. Les exportations ont été de l’ordre de 12,5 millions de dollars américains en 2003. Les principales destinations à l’export de cette branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne 11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,…

Justification du projet Cette industrie est boostée par le développement important drainé par la croissance du parc automobile marocain et par les demandes extérieures Cette branche, complémentaire avec la fabrication des équipements automobiles, constitue une priorité pour la région au vu de l’importance accordée à l’ensemble de cette filière par le Plan Emergence.

Conseils techniques La fabrication d’un pneu commence avec un certain nombre de matériaux bruts : pigments, produits chimiques, environ 30 types de caoutchouc, des câblés de carcasse, de tringle de talon, etc.

Conditions d’approvisionnement L’industrie de la transformation du caoutchouc réalise, à partir de matières brutes, des mélanges crus qui seront dans un second temps mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses matières premières : des élastomères bruts, mais aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des huiles, du soufre, du zinc... Cette industrie est également une grosse consommatrice de métal dans le cadre de la fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal, et de textiles (rayonne, aramide, polyester, polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques, tuyaux, bandes transporteuses...). Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_82

Intitulé du projet Unité de Fabrication chambres à air

de

Secteur I.C.P.C Branche Produits en plastique

caoutchouc

et

Lieu d’implantation proposé Communes : Kenitra et Sidi Kacem Coût global du projet 15.000.000 MAD Capacité de production 1.200.000 unités par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 60 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.2

Données sur le secteur L’industrie chimique et para chimique au Maroc est l’une des industries les plus importante et les plus développée du continent africain. Ce secteur a contribué en 2005 à hauteur de 6,5% à la formation du PIB, et un volume de production de 83,4 milliards de dirhams. Il draine près de 1,6% de la population active urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le secteur employait près de 102.456 personnes; Selon les statistiques du Ministère de l’Industrie, le secteur compte 2.230 sociétés opérant dans l’industrie chimique et para chimique réalisant un chiffre d’affaires global de 90,6 milliards de dirhams. La fabrication des Pneumatiques et chambres à air est une activité exercée principalement par des filiales de grandes firmes multinationales qui travaillent aussi bien pour le marché local qu'à l'export. Les exportations ont été de l’ordre de 12,5 millions de dollars américains en 2003. Les principales destinations à l’export de cette branche sont : l’Allemagne 29%, la Grande Bretagne 11%, la France 9%, l’Algérie 8%, la Tunisie 6%,…

Justification du projet Cette industrie est boostée par le développement important drainé par la croissance du parc automobile marocain et par les demandes extérieures Cette branche, complémentaire avec la fabrication des équipements automobiles, constitue une priorité pour la région au vu de l’importance accordée à l’ensemble de cette filière par le Plan Emergence.

Conditions d’approvisionnement L’industrie de la transformation du caoutchouc réalise, à partir de matières brutes, des mélanges crus qui seront dans un second temps mis en forme et vulcanisés. De ce fait, elle utilise de nombreuses matières premières : des élastomères bruts, mais aussi des charges (noirs de carbone, silice...), des huiles, du soufre, du zinc... Cette industrie est également une grosse consommatrice de métal dans le cadre de la fabrication de pièces adhérisées caoutchouc / métal, et de textiles (rayonne, aramide, polyester, polyamide...) pour le renfort de certaines pièces en caoutchouc (pneumatiques, tuyaux, bandes transporteuses...).

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_83

Intitulé du projet Détergent liquide tout usage Secteur Industrie chimique

concentré

Chimique

Données sur le secteur L’industrie chimique et para chimique au Maroc est l’une des industries les plus importantes et les plus développées du continent africain. En effet, le secteur de l’industrie chimique et para chimique au Maroc est caractérisé par les indicateurs suivants :

et

Para

Branche Fabrication de savons, détergents et produits d'entretien Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Capacité en production 750 Tonnes par an Coût global du projet 5.000.000 MAD Besoin en superficie 2 000 m² Besoin en RH 25 personnes Marchés potentiels Local 80% - Export 20 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

-

le secteur de l’industrie chimique et para chimique a contribué au titre de l’année 2005 à hauteur de 6,5% dans la formation du Produit Intérieur Brut marocain ;

-

le secteur draine près de 1,6% de la population active urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le secteur a employé près de 102 456 personnes contre 97 141 personnes en 2004 ;

Justification du projet Les détergents se présentent sous la forme de poudres à diluer (lessive), de liquides pour les surfaces dures (vaisselle, vitre, sol) et des récurant liquides (émail, inox). Les détergents liquides pour le lavage du linge n’ont pas encore pris leur essor. Les quantités produites et commercialisées sont faibles. Par contre, les détergents liquides pour le lavage de la vaisselle à la main sont bien en place sur le marché et les perspectives de développement sont importantes.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_84

Intitulé du projet Unité de fabrication d’Eau de javel détergente concentrée Secteur Industrie Chimique et Para chimique

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Données sur le secteur L’industrie chimique et para chimique au Maroc est l’une des industries les plus importantes et les plus développées du continent africain. En effet, le secteur de l’industrie chimique et para chimique au Maroc est caractérisé par les indicateurs suivants : -

le secteur de l’industrie chimique et para chimique a contribué au titre de l’année 2005 à hauteur de 6,5% dans la formation du Produit Intérieur Brut marocain ;

-

le secteur draine près de 1,6% de la population active urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le secteur a employé près de 102 456 personnes contre 97 141 personnes en 2004 ;

Branche Fabrication de savons, détergents et produits d'entretien Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, saknia et Sidi Kacem Capacité en production 800 tonnes/an Coût global du projet 3.000.000 MAD Besoin en superficie 1.000 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Local 80% - Export 20 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Justification du projet L'eau de Javel est un produit d’usage courant au Maroc. L’eau de javel détergente concentrée est un produit de niche ayant une spécificité autre que basique, à savoir la conjonction de : -

la DESINFECTION qui doit rester la fonction de base du produit ;

-

la DETERGENCE qui doit représenter l'élément additionnel et innovateur ;

-

Et la élément d'achat.

CONCENTRATION comme d'attraction pour l'acte

Conseils techniques L'Eau de Javel est obtenue par dilution de solutions industrielles d'hypochlorite de sodium. Les solutions d’hypochlorite de sodium sont fabriquées par barbotage de chlore (gaz) dans de la soude caustique diluée. Le chlore et la soude utilisés sont obtenus par électrolyse du sel.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_85

Intitulé du projet Unité de fabrication d’assouplissant concentré pour textile Secteur Industrie Chimique et Para chimique Branche Fabrication de savons, détergents et produits d'entretien Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Capacité en production 425 tonnes/an Coût global du projet 3.500.000 MAD Besoin en superficie 1 500 m² Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels Local 80% - Export 20 % Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur L’industrie chimique et para chimique au Maroc est l’une des industries les plus importantes et les plus développées du continent africain. En effet, le secteur de l’industrie chimique et para chimique au Maroc est caractérisé par les indicateurs suivants : -

le secteur de l’industrie chimique et para chimique a contribué au titre de l’année 2005 à hauteur de 6,5% dans la formation du Produit Intérieur Brut marocain ;

-

le secteur draine près de 1,6% de la population active urbaine et a enregistré en 2005 une augmentation de 5,5% du nombre d’emplois. Ainsi, à fin 2005, le secteur a employé près de 102 456 personnes contre 97 141 personnes en 2004 ;

Justification du projet L'ASSOUPLISSANT TEXTILE, répertorié généralement dans la catégorie des produits de détergence pour linge de type cationique, très bien introduit en Europe, se définit comme un conditionneur des textiles APRÈS lavage. C’est le produit de soin des textiles lavés et le confort d’avoir sur la peau un textile souple et soyeux agréable à porter. L'utilisation de l'assouplissant pour textiles, dénommé également ADOUCISSANT, intervient en phase immédiatement complémentaire après l'étape de lavage avec tout produit de détergence, qu'il soit liquide ou poudre, en machine ou à la main. Le marché des produits adoucissants concentrés est pratiquement un marché naissant du point de vue volume, comparativement aux pays développés. Le marché a été fourni, jusqu'à présent, en produits assouplissants de formulation basique et fabriqués localement.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_86

Données sur le secteur Intitulé du projet Petite unité de traitement de déchets industriels non ferreux Secteur ICPC Branche Récupération et traitement de déchets industriels Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production 3.000 tonnes par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 10 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le secteur du traitement des déchets industriels est un secteur embryonnaire mais qui se caractérise par une très grande dynamique. En fait, La maîtrise des filières de traitement des produits chimiques et industriels permet de mettre en place une logistique adaptée à chaque déchet et d'en assurer le traitement adéquat. Traçabilité et transparence doivent être garanties pour chaque prestation. Ce secteur englobe : traitement des déchets des - Le entreprises, - la récupération et le traitement du papier et carton - la récupération et le traitement des métaux ferreux et non ferreux - la récupération et le traitement des Matières plastiques - la récupération et le traitement des déchets textiles - la récupération et le traitement des huiles et graisses industrielles - la récupération et le traitement des déchets de l'agriculture et agroalimentaires - la récupération et le traitement des déchets hospitaliers - la récupération et le traitement des déchets métaux précieux - et enfin, la récupération et le traitement des déchets ménagers ou pharmaceutiques

Justification du projet Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une augmentation de la quantité de ses déchets qui ne cesse de s’accentuer. Cette situation a pour origine non seulement la croissance régulière du nombre d’habitants, mais également l’amélioration du niveau de vie, et concerne des déchets de nature très variée. Vient se rajouter à cela une certaine évolution de la composition de ces déchets qui est directement liée au mode de vie de la population et à la diversité des activités socio-économiques. En effet, l’industrie marocaine produit environ 1 million de tonnes par an de déchets industriels dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux, et les secteurs hospitaliers produisent environ 35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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environ 12000 tonnes sont des déchets dangereux. Ces déchets sont très souvent éliminés dans des décharges sauvages ou encore dans des points noirs et dans les cours d’eau sans aucun traitement ni contrôle, ce qui engendre de graves conséquences aussi bien pour la santé publique et l’environnement que pour l’avenir des activités socio-économiques. Les choix industriels de la région lui imposent de se doter d’unité de traitement des déchets de toute sortes, pour assurer la pérennité de son écosystème, et de sa vocation agricole. Dans ce sens la mise en place d’unité de traitement des déchets non ferreux qui constituent les principaux déchets de l’industrie du GCBH. La proximité géographique des pôles industriels constitue des opportunités à saisir.

Conseils techniques Les déchets à traiter (plastique et papier) sont les produits de l’industrie de la région, Pour le papier, il s'agit : - des chutes de transformation (récupérées auprès des imprimeries et des fabricants d'emballages), - des emballages en papier-carton, - des papiers de bureau, - des journaux et des magazines. Pour le plastique on distingue deux grandes familles : Thermoplastiques et Thermodurcissables. Le secteur est soumit à un ensemble de normes et obligation réglementaires.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_87

Données sur le secteur Intitulé du projet Unité moyenne de traitement de déchets industriels non ferreux Secteur ICPC Branche Assainissement, voirie gestion des déchets

et

Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 3.000.000 MAD Capacité de production 10.000 tonnes par an Besoin en superficie 50.000 m² Besoin en RH 75 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Le secteur du traitement des déchets industriels est un secteur embryonnaire mais qui se caractérise par une très grande dynamique. En fait, La maîtrise des filières de traitement des produits chimiques et industriels permet de mettre en place une logistique adaptée à chaque déchet et d'en assurer le traitement adéquat. Traçabilité et transparence doivent être garanties pour chaque prestation. Ce secteur englobe : - Le traitement des déchets des entreprises, - la récupération et le traitement du papier et carton - la récupération et le traitement des métaux ferreux et non ferreux - la récupération et le traitement des Matières plastiques - la récupération et le traitement des déchets textiles - la récupération et le traitement des huiles et graisses industrielles - la récupération et le traitement des déchets de l'agriculture et agroalimentaires - la récupération et le traitement des déchets hospitaliers - la récupération et le traitement des déchets métaux précieux - et enfin, la récupération et le traitement des déchets ménagers ou pharmaceutiques

Justification du projet Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une augmentation de la quantité de ses déchets qui ne cesse de s’accentuer. Cette situation a pour origine non seulement la croissance régulière du nombre d’habitants, mais également l’amélioration du niveau de vie, et concerne des déchets de nature très variée. Vient se rajouter à cela une certaine évolution de la composition de ces déchets qui est directement liée au mode de vie de la population et à la diversité des activités socio-économiques. En effet, l’industrie marocaine produit environ 1 million de tonnes par an de déchets industriels dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux, et les secteurs hospitaliers produisent environ 35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont environ 12000 tonnes sont des déchets dangereux. Ces déchets sont très souvent

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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éliminés dans des décharges sauvages ou encore dans des points noirs et dans les cours d’eau sans aucun traitement ni contrôle, ce qui engendre de graves conséquences aussi bien pour la santé publique et l’environnement que pour l’avenir des activités socio-économiques. Les choix industriels de la région lui imposent de se doter d’unité de traitement des déchets de toutes sortes, pour assurer la pérennité de son écosystème, et de sa vocation agricole. Dans ce sens la mise en place d’unité de traitement des déchets non ferreux qui constituent les principaux déchets de l’industrie du GCBH. La proximité géographique des pôles industriels constitue des opportunités à saisir.

Conseils techniques Les déchets à traiter (plastique et papier) sont les produits de l’industrie de la région, Pour le papier, il s'agit : - des chutes de transformation (récupérées auprès des imprimeries et des fabricants d'emballages), - des emballages en papier-carton, - des papiers de bureau, - des journaux et des magazines. Pour le plastique on distingue deux grandes familles : Thermoplastiques et Thermodurcissables. Le secteur est soumit à un ensemble de normes et obligation réglementaires.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_88

Intitulé du projet Grande unité de traitement de déchets industriels non ferreux Secteur ICPC Branche Récupération et traitement de déchets industriels Lieu d’implantation proposé Communes : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 30.000 tonnes par an Besoin en superficie 80.000 m² Besoin en RH 100 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur Le secteur du traitement des déchets industriels est un secteur embryonnaire mais qui se caractérise par une très grande dynamique. En fait, La maîtrise des filières de traitement des produits chimiques et industriels permet de mettre en place une logistique adaptée à chaque déchet et d'en assurer le traitement adéquat. Traçabilité et transparence doivent être garanties pour chaque prestation. Ce secteur englobe : traitement des déchets des - Le entreprises, - la récupération et le traitement du papier et carton - la récupération et le traitement des métaux ferreux et non ferreux - la récupération et le traitement des Matières plastiques - la récupération et le traitement des déchets textiles - la récupération et le traitement des huiles et graisses industrielles - la récupération et le traitement des déchets de l'agriculture et agroalimentaires - la récupération et le traitement des déchets hospitaliers - la récupération et le traitement des déchets métaux précieux - et enfin, la récupération et le traitement des déchets ménagers ou pharmaceutiques

Justification du projet Le Maroc doit faire face aujourd’hui à une augmentation de la quantité de ses déchets qui ne cesse de s’accentuer. Cette situation a pour origine non seulement la croissance régulière du nombre d’habitants, mais également l’amélioration du niveau de vie, et concerne des déchets de nature très variée. Vient se rajouter à cela une certaine évolution de la composition de ces déchets qui est directement liée au mode de vie de la population et à la diversité des activités socio-économiques. En effet, l’industrie marocaine produit environ 1 million de tonnes par an de déchets industriels dont 120000 tonnes sont des déchets dangereux, et les secteurs hospitaliers produisent environ 35000 tonnes par an de déchets hospitaliers dont environ 12000 tonnes sont des déchets dangereux. Ces déchets sont très souvent

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

éliminés dans des décharges sauvages ou encore dans des points noirs et dans les cours d’eau sans aucun traitement ni contrôle, ce qui engendre de graves conséquences aussi bien pour la santé publique et l’environnement que pour l’avenir des activités socio-économiques. Les choix industriels de la région lui imposent de se doter d’unité de traitement des déchets de toute sortes, pour assurer la pérennité de son écosystème, et de sa vocation agricole. Dans ce sens la mise en place d’unité de traitement des déchets non ferreux qui constituent les principaux déchets de l’industrie du GCBH. La proximité géographique des pôles industriels constitue des opportunités à saisir.

Conseils techniques Les déchets à traiter (plastique et papier) sont les produits de l’industrie de la région, Pour le papier, il s'agit : - des chutes de transformation (récupérées auprès des imprimeries et des fabricants d'emballages), - des emballages en papier-carton, - des papiers de bureau, - des journaux et des magazines. Pour le plastique on distingue deux grandes familles : Thermoplastiques et Thermodurcissables. Le secteur est soumit à un ensemble de normes et obligation réglementaires.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_ICPC_89

Intitulé du projet Unité de production de canaux d’irrigation pour agriculture Secteur ICPC Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques. Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Mechra Bel Ksiri, Sidi Slimane, Souk Larbaa, Souk Tlet. Coût global du projet 6.000.000 MAD Capacité de production 50.000 ml par an Besoin en superficie 25.000 m² Besoin en RH 30 personnes

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Données sur le secteur Depuis la mise en place de la politique d’irrigation, la mise en valeur dans les périmètres irrigués a enregistré des progrès notoires grâce à l’intensification et à la diversification des cultures sous irrigation. Les impacts les plus remarquables ont concerné : les cultures sucrières, l’arboriculture fruitière et le maraîchage, les produits laitiers… Le canal d'irrigation a pour but de détourner une partie de l'eau d'une rivière de son cours normal pour des besoins d'irrigation et d'eau potable. Aujourd’hui la superficie équipée au niveau de la région Gharb-Chrarda-Béni Hssen est de 144.000 ha. L’objectif étant d’arriver à 250.000 ha.

Justification du projet Dans le cadre de sa stratégie de rationalisation de l’exploitation des eaux en irrigation, et dans le cadre de sa politique de lutte contre la désertification. Le Maroc donne une importance aux canaux d’irrigation en tant qu’outil et solution pour de telles stratégies. En effet, les canaux d’irrigation sont les outils d’une gestion rationnelle des ressources hydriques. La région de GCBH, est appelé à connaître un fort investissement en matière d’équipement d’irrigation. En effet, au niveau du Plan Maroc Vert, il est prévu d’allouer une enveloppe de 5 milliards de dirhams à la maintenance et la mise à niveau des réseaux existants en plus de l’élargissement du réseau actuel.

Conseils techniques Les techniques d’irrigation sont multiples, et sont soumises à des contraintes multiples, ce qui impose aux canaux d’irrigation d’être adaptés techniquement.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en ciment en vrac à travers un contrat avec un cimentier. Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_ICPC_90

Intitulé du projet Matériaux composites Secteur Industrie chimique

Chimique

et

Para

Branche Plasturgie Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Capacité en production 200 tonnes par an Coût global du projet 11.000.000 MAD Besoin en superficie 1500 m² Besoin en RH 20 personnes Marchés potentiels Local 90% - Export 10% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Accompagnant la croissance économique globale du Maroc, le secteur marocain de la plasturgie se développe dans plusieurs domaines : l’emballage (cosmétiques, cdrom, verres, bouteilles, sacs, palettes, etc.), l’automobile (carrosseries, planches de bord, pare-chocs, pièces techniques, etc.), le bâtiment (fenêtres, couvertures, isolation, revêtement sols et murs, mobiliers urbains), ainsi que les sports et les loisirs (chaussures, jeux, jouets, planches à voiles, etc.), et aussi un secteur à forte valeur ajoutée : les composites. Le secteur compte 270 entreprises en 2005 et emploie 10 534 personnes.

Justification du projet La variété des matières transformées et des types de produits réalisés permet de citer des applications diverses à partir des composites. Ainsi, il est possible de produire des plaques de couverture, des couvertures et des bardages en polyester verre. Dans l’électronique on cite les connecteurs et pièces exposées à des températures élevées. Dans la chimie et l’aéronautique il existe plusieurs applications anticorrosion et de résistance à la chaleur. En médecine, on pense aux applications liées à la stérilisation. Dans les équipements de sport et de loisirs, les principaux développements futurs viendront des matériaux composites à hautes performances tels que les époxy-renforcés de fibres de verre de grade E ou de fibres de carbone, plutôt que des plastiques techniques.

Conditions d’approvisionnement Le pétrole est traité dans les raffineries de façon à le séparer par distillation en plusieurs fractions composées de molécules de taille et de forme différentes. On obtient des fractions principales qui sont des gaz, des essences, des naphtas, des fiouls et kérosènes et des bitumes. Par un procédé thermique, le craquage, le naphta est Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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transformé en un mélange d’hydrocarbures plus légers qui entrent dans la composition des plastiques (éthylène, propylène, butylène, etc.). En suite, on isole l’hydrocarbure qui est la base du plastique souhaité, l’éthylène par exemple. Pour fabriquer les macromolécules on procède à la polymérisation des monomères. Il s’agit d’ouvrir la double liaison entre les deux atomes de carbone composant la molécule d’éthylène afin que les carbones de différents monomères établissent des liaisons entre eux (dites liaisons covalentes). La résine ainsi obtenue sert à fabriquer les divers objets en plastique. L’approvisionnement consistera à assurer une livraison en résine et poudre de résine servant à fabriquer les produits en plastique.

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Fiche de projet n°S_ICPC_91

Intitulé du projet Unité de production peinture pour bâtiment

de

Secteur Industrie Chimique et Para Chimique Branche Fabrication de peinture et de vernie pour bâtiment Lieu d’implantation proposé Commune :Kénitra, Sidi Kacem, Coût global du projet 35.000.000 MAD Capacité de production 5.000.000 Kg / an Besoin en superficie

30.000 m2 Besoin en RH 150 personnes Marchés potentiels

Marché National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur La peinture est un produit constitué d’une suspension de poudres dans du liquide, donnant par application en couches minces, une feuille opaque dotée de qualités protectrices et décoratives. Elle peut être blanche, noir ou de couleur. Elle peut être également brillante ou mate. L’industrie de la peinture compte près de 37 sociétés. La production réalisée en 2003 a atteint 1.827.154 000 Dhs. La valeur générée par la production a connu une baisse par rapport à celle enregistrée en 1998 et qui se situait à 1.989.365.000 Dhs. Le chiffre d’affaire réalisé en 2003 par les unités de production est de 1.915.727.000 de Dhs. Quant aux investissements effectués par le secteur, ils ont atteint 34.843.000 DH. Concernant les effectifs employés, le secteur emploie 2134 personnes dont 289 femmes, contre 2543 personnes en 1998. Le circuit de distribution est assuré par quelques unités de production et un nombre important de distributeurs localisés au niveau des différentes villes.

Justification du projet Les estimations réalisées sur le secteur, montrent que les besoins en cette matière vont croître à des rythmes importants. Et ce à cause d’une part de l’augmentation de l’augmentation de consommation, conséquence de l’extension de l’urbain. Et d’autre part à cause de l’augmentation de l’usage du verre dans la construction. Puisque la région du GCBH connaît un essor du secteur BTP, la demande est de plus en plus croissante, nécessitent une proximité de l’approvisionnement en cette matière.

Conseils techniques Les peintures sont des mélanges de nombreux composants: - Les pigments : il s’agit de poudres très fines, insolubles dans les milieux organiques et qui donnent à la peinture son pouvoir opacifiant, la brillance et la teinte et la dureté. Les adjuvants, catalyseurs, antioxydants, fongicides et charges diverses : ce sont des produits chimiques liquides ou solides qui confèrent à la peinture certaines qualités. - Les liants : il s’agit de polymères qui fixent les parties pulvérulentes de la peinture, créent l’adhérence au support. - Les solvants : ce sont des liquides organiques qui permettent d’obtenir une peinture fluide et donc applicable par les moyens classiques. - Les diluants : ils permettent de fluidifier la peinture.

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La quasi-totalité de ces composants est actuellement importée. Une fois, tous ces éléments réunis la peinture est fabriquée en trois stades différents : - L’empâtage : c’est l’opération au cours de laquelle les éléments solides (pigments, charges et adjuvants) sont dispersés dans une partie du liant et des solvants ; - Le broyage : les éléments solides résultants de l’empâtage sont éclatés à des petites dimensions pour rendre le mélange affiné. - La finition : la formule de composition de la peinture est complétée, la teinte ajustée et la peinture amenée aux caractéristiques désirées. La qualité et créativité sont les éléments essentiels de différentiation dans cette industrie.

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Fiche de projet n° S_ICPC_92

Intitulé du projet Unité de production pavés en terre cuite

de

Secteur ICPC Branche Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques. Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Taibi Coût global du projet 5.000.000 MAD Capacité de production 100.000 m² par an Besoin en superficie 20.000 m² Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Âgé de millions d'années, ces matériaux vivront encore des milliers d'années sans être altéré par les atteintes du temps. Leur couleur restera et leur aspect se bonifiera. Les pavés en pierres malgré leurs origines, ils rendent l'aménagement urbain et des espaces très contemporains. Le pavé de terre cuite constitue une alternative idéale pour embellir les villes. Ils répondent parfaitement aux spécifications les plus courantes y compris pour des zones très circulées. Les pavés en terre cuite offrent un choix étendu de couleurs et de formats. L'origine 100% naturelle de ces matériaux et la qualité de la cuisson créent des produits parfaitement adaptés pour l'extérieur tout en respectant l'environnement. Leur couleur restera au cours des années et le produit se patinera en améliorant la qualité esthétique de l'aménagement. Les modules proposés offrent une grande facilité de pose.

Justification du projet L’aménagement paysager de la région demande l’usage de techniques et de matériaux apportant la beauté et le design espéré. Dans ce sens l’usage du pavé est une pratique assurant un tel objectif, vu la place dont il a au niveau international en tant que produit assurant en même temps sécurité et beauté. Sur un autre niveau le pavé est largement utilisé dans les maisons. Toutes ces caractéristiques du pavé le rendent un produit demandé, nécessitant la création d’unités spécifiques à sa production et à son installation.

Conseils techniques Les dimensions des pavés selon les normes sont : L'épaisseur - 5cm pour les trottoirs et les patios seulement - 6cm pour les trottoirs, les patios et les entrées résidentielles - 7cm pour les entrées résidentielles et les patios - 8cm et + pour les charges lourdes des entrées commerciales et des villes Les dimensions : Chaque manufacturier a ses propres dimensions du même modèle de pavés.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première, c'est-àdire en argile, peut se faire dans la région au vu de l’abondance des terrains argileux.

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Fiche de projet n° S_ICPC_93

Intitulé du projet Unité de produits d’étanchéité : - bitume - carton bitumé Secteur ICPC Branche ETANCHEITE Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Sidi Slimane Coût global du projet 15.0000.000 MAD Capacité de production 2.000.000 m² par an

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Données sur le secteur L’étanchéité consiste à assurer le « couvert » d’un bâtiment en le protégeant de tous les désordres et dégradations éventuelles assurant une durabilité et pérennité de la construction. Il existe deux catégories de produits d’étanchéité : • Les produits noirs classiques : utilisés à chaud et en multicouches horizontales pour les terrasses et verticales pour les cuvelages. • Les produits plus récents : ils s’appliquent généralement à froid et en monocouches.

Justification du projet La demande des produits d’étanchéité connaît une croissance importante, suite au développement que connaissent les secteurs du BTP et l’immobilier tant au niveau national qu’au niveau régional. La production reste limitée même avec le réseau de distribution important qui existe. Aujourd’hui, ce secteur est de plus en plus demandé, et ce face à une offre limité. En effet, la production des matériaux d’étanchéité est assurée par un nombre limité de producteurs localisés dans la région du Grand Casablanca. Et la distribution par contre est assurée par un nombre important d’unités localisées dans les différentes villes du royaume. Il y a lieu de noter que les grossistes les plus importants sont localisés dans les villes de Casablanca, Marrakech, Rabat, Fès et Kénitra.

Besoin en superficie 30.000 m²

Conseils techniques

Besoin en RH 75 personnes

- Asphalte Mastic d’asphalte : matériau de base pour le revêtement d’étanchéité, il est fabriqué à partir d’asphalte naturel et refondu avec du bitume. Le mastic est livré sous forme de pain contenant de 11 à 17 % de bitume pur. - A base de bitume • Bitume : hydrocarbure lourd obtenu sous formes naturelles, extraits de l’asphalte naturel, ou produit de la distillation du pétrole. • Bitume armé et feutre bitumé : Bitume armé de type 30, 40 et 50 armatures en toile ou feutre autoprotection par granulé minéral, ou sur armature toile seulement par feuille de cuivre ou d’aluminium. • Feutre bitumé : type 27S, 36S, et 45S autoprotégé et granulé-minéral. • Enduits d’application à chaud (E.A.C) : Ils sont à base de bitume (environ 70% de leur poids), et employé par fusion pour collage et le recouvrement superficiel des éléments d’étanchéité multicouche. • Enduit d’application à froid (E.A.F) : solution liquide de produits bitumineux dans un solvant

Marchés potentiels Régional et National Informations utiles Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Il existe trois procédés de fabrication pour les différents produits d’étanchéité :

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volatil, utilisé comme couche ou pour le collage à froid, teneur minimum en bitume 50%. - Matériau à base de goudron de houille • Goudron de houille : Produits de la distillation de la houille. • Brais de houille : Obtenu à partir de la distillation du goudron de houille. On y fabrique des feutres goudronnés, des produits pâteux, et des enduits d’application à froid ayant des propriétés analogues à ceux obtenus à base de bitume. • Ciment volcanique : Mélange à chaud de brai de houille, de souffre et de résines, utilisé pour coller des feuilles de feutres goudronnés, pour réaliser un revêtement multicouche.

Conditions d’approvisionnement Assurer un approvisionnement constant en bitume auprès de la raffinerie SAMIR ou en importer de l’étranger.

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Fiche de projet n°S_BTP_01

Intitulé du projet Cimenterie Secteur BTP Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Sidi Kacem, Zeggouta Coût global du projet 2 milliards MAD Capacité de production 1.000.000 T par an Besoin en superficie 20 ha Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels Local 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Le secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) constitue un maillon essentiel et un vecteur de la croissance économique. Il contribue dans l’économie nationale à raison de 4,5% du PIB et occupe plus de 500.000 emplois, ce qui lui confère un rôle non négligeable dans l’élaboration de toute stratégie nationale de développement économique et social.

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Justification du projet Au Maroc, l’industrie cimentière est ancienne, la première unité de production fût ouverte en 1913 à Casablanca. L’industrie cimentière est l’une des activités industrielles les mieux structurées et les mieux réparties sur le territoire national. Elle se caractérise aussi par la modernité de ses installations et par l’ouverture de son capital à l’investissement privé national et étranger. En effet, elle réalise près de 45% de la valeur de la production et près de 50% de la valeur ajoutée du secteur des matériaux de construction ; alors qu’elle représente seulement 1% des établissements industriels intervenant dans le secteur et le taux d’embauche ne dépasse guère 1%. Actuellement, le secteur cimentier marocain compte 4 grandes sociétés, filiales de multinationales, disposant de 10 unités industrielles de production couvrant l’ensemble du territoire national, dont une est spécialisée dans l’importation du ciment blanc. La capacité de production du ciment est évaluée à 10,55 millions de tonnes et la capacité de broyage du clinker est de 12,13 millions de tonnes.

Conseils Il existe deux modes de fabrication de ciment : par voie sèche et par voie humide. Les unités de production procèdent à la fabrication par voie sèche, plus économe en énergie. En général, le ciment est fabriqué dans des unités classiques équipées d’un four tournant. Le processus de fabrication de ciment comporte trois étapes : 1. Fabrication du clinker: cette phase comprend l’extraction, le transport, le broyage et l’homogénéisation des matières premières : carbonate de calcium, silice, alumine, oxyde ferrique, elle aboutit à l’élaboration d’une poudre de composition chimique précise ; 2. Cuisson : le mélange obtenu est introduit dans des fours rotatifs chauffés au voisinage de 1450°, provoquant la combinaison du calcaire et de l’argile : le clinker qui est refroidi et stocké ; 3. Fabrication du ciment : le clinker est repris et finement broyé à l’aide de broyeurs à boulets. Suivant le broyage, une faible quantité de gypse (environ 5 %) et adjuvants est incorporée.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_BTP_02

Intitulé du projet Usine de production d’acier pour gros œuvre Secteur BTP Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 200.000.000 MAD Capacité de production 100.000 T / an Besoin en superficie 100.000 m² Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels Local 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur Le secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) constitue un maillon essentiel et un vecteur de la croissance économique. Il contribue dans l’économie nationale à raison de 4,5% du PIB et occupe plus de 500.000 emplois, ce qui lui confère un rôle non négligeable dans l’élaboration de toute stratégie nationale de développement économique et social.

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Justification du projet La production de l’acier est concentrée principalement dans deux villes : Nador qui s’accapare la majorité de la production et Casablanca. En effet, la ville de Nador assure l’approvisionnement presque exclusif du fer à béton lisse, et fourni 88% du fer à béton tor. La ville dispose des principaux gisements du minerai de fer. La ville de Casablanca intervient également dans la production et assure la distribution d’une partie quoique limitée du fer à béton (5% du fer à béton lisse et 12% du fer à béton tor). Quant à la distribution, elle est assurée localement par un nombre important d’unités opérant dans le secteur. L’approvisionnement est assuré par des unités localisées essentiellement dans les villes de : Nador (lieu de l’extraction du minerai de fer), Casablanca et Agadir. Une part faible de fer à béton provient des villes de Meknès, Rabat, Fès, Safi et Oujda. La consommation nationale est passée de 463.500 tonnes en 1991 à 457.500 tonnes en 1994. En 2004, la consommation d’acier a enregistré une faible hausse de 1,4% par rapport à 2003. Les importations restent nécessaires pour satisfaire la demande. Les principaux fournisseurs du Maroc sont le Brésil, l’Espagne, l’Italie et les Pays-Bas.

Conseils Tenant compte de leur composition, les aciers se divisent en deux classes : Les aciers alliés et les aciers non alliés.  Les aciers alliés ou aciers spéciaux contiennent : chrome, cuivre et nickel. Ils sont utilisés dans le bâtiment essentiellement en décoration et en agencement ;  Les aciers non alliés sont les aciers les plus employés en construction métallique, dits « acier au carbone » ils ont une teneur en carbone entre 0,15 % (acier doux) et 0,65 % (acier extra dur). Les différents types de produits qui se présentent sur le marché sont :  Les ronds lisses, obtenus par laminage d’un acier doux;  Les armatures à haute adhérence, Fer à béton Tor ;  Les treillis soudés constitués de fils croisés perpendiculairement et soudés à leur intersection.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_BTP_03

Intitulé du projet Usine de production d’acier pour seconds œuvres Secteur BTP Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra Coût global du projet 1,5 milliard MAD Capacité de production 700.000 t par an Besoin en superficie 1.000.000 m² Besoin en RH 200 personnes Marchés potentiels Local 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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vecteur de la croissance économique. Il contribue dans l’économie nationale à raison de 4,5% du PIB et occupe plus de 500.000 emplois, ce qui lui confère un rôle non négligeable dans l’élaboration de toute stratégie nationale de développement économique et social.

Justification du projet La production de l’acier est concentrée principalement dans deux villes : Nador qui s’accapare la majorité de la production et Casablanca. En effet, la ville de Nador assure l’approvisionnement presque exclusif du fer à béton lisse, et fourni 88% du fer à béton tor. La ville dispose des principaux gisements du minerai de fer. La ville de Casablanca intervient également dans la production et assure la distribution d’une partie quoique limitée du fer à béton (5% du fer à béton lisse et 12% du fer à béton tor). Quant à la distribution, elle est assurée localement par un nombre important d’unités opérant dans le secteur. L’approvisionnement est assuré par des unités localisées essentiellement dans les villes de : Nador (lieu de l’extraction du minerai de fer), Casablanca et Agadir. Une part faible de fer à béton provient des villes de Meknès, Rabat, Fès, Safi et Oujda. La consommation nationale est passée de 463.500 tonnes en 1991 à 457.500 tonnes en 1994. En 2004, la consommation d’acier a enregistré une faible hausse de 1,4% par rapport à 2003. Les importations restent nécessaires pour satisfaire la demande. Les principaux fournisseurs du Maroc sont le Brésil, l’Espagne, l’Italie et les Pays-Bas.

Conseils Tenant compte de leur composition, les aciers se divisent en deux classes : Les aciers alliés et les aciers non alliés.  Les aciers alliés ou aciers spéciaux contiennent : chrome, cuivre et nickel. Ils sont utilisés dans le bâtiment essentiellement en décoration et en agencement ;  Les aciers non alliés sont les aciers les plus employés en construction métallique, dits « acier au carbone » ils ont une teneur en carbone entre 0,15 % (acier doux) et 0,65 % (acier extra dur). Les différents types de produits qui se présentent sur le marché sont utilisés :  dans la plomberie (acier galvanisé) ;  dans la ferronnerie (tôle, fer plat, tube rond, Données sur le secteur tube carré). Le secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) constitue un maillon essentiel et un Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_BTP_04

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Données sur le secteur

Intitulé du projet Unité traditionnelle de production de matériaux de construction en terre cuite : - Les briques creuses :

Les matériaux de construction en terre cuite sont usités depuis plusieurs siècles dans la construction. Au Maroc, l’activité date des années 40, ou les premières unités de fabrication du matériau furent construites. Le secteur a accompagné l’évolution de la construction en général. Son adaptation est aussi bien technique, esthétiques que culturels, dans les domaines traditionnels et industriels.

6 T 7 x 15 x 28 8T 11 x 15 x 28 12 T 15 x 15 x 28 - les briques réfractaires - les tuiles artisanales

Le secteur compte actuellement 86 briqueteries dont une dizaine d’unités modernes et bien structurées, le reste étant réparti entre des entreprises traditionnelles équipées de four de type Hoffman et des unités artisanales.

Secteur BTP Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane. Coût global du projet 1.500.000 MAD Capacité de production 1.500.000 d’unité par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 35 personnes Marchés potentiels Local 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Justification du projet La situation du secteur de la construction en terre cuite est étroitement liée à l’évolution de la conjoncture économique et en particulier à celle du secteur du bâtiment constatée depuis 1986. Durant la période 1998 à 2003, la production a connu une croissance soutenue, à l’exception de l’année 2001, qui a marqué une légère baisse. La production des matériaux en terre cuite est appelée à connaître un essor encore plus soutenu du fait de la relance du secteur de l’habitat, notamment sous l'impulsion donnée par les pouvoirs publics dans le cadre des programmes de promotion de l’habitat social.

Conseils Techniques La méthode traditionnelle de fabrication de la brique : L’argile sèche est mélangée avec de l’eau dans un bassin circulaire. Après 24 heures, le mélange est malaxé ensuite la pâte est battue avant de la façonner. La pâte est mise dans des moules qui lui donne la forme de la brique. Après le séchage au soleil, la brique est transportée au four où elle est cuite à une température de plus de 700°C. L’approvisionnement des différentes villes se fait soit directement auprès des unités de production, soit par l’intermédiaire d’un réseau de distribution local. Il y a lieu de noter que l’industrie de fabrication des matériaux en terre cuite pour le bâtiment est une activité qui revêt un caractère régional, en raison notamment du faible coût de la brique, de son volume par rapport à son poids, du risque de casse lié au transport de celle-ci et du coût élevé du transport.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première, c'est-àdire en argile, peut se faire dans la région au vu de l’abondance des terrains argileux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n° S_BTP_05

Intitulé du projet Briqueterie moderne - Les briques creuses ; - les briques réfractaires ; - les tuiles.

Secteur BTP Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem Coût global du projet 10.000.000 MAD Capacité de production 150.000 m² par an Besoin en superficie 25.000 m² Besoin en RH 90 personnes Marchés potentiels Local, Régional et National Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur Les matériaux de construction en terre cuite sont usités depuis plusieurs siècles dans la construction. Au Maroc, l’activité date des années 40, ou les premières unités de fabrication du matériau furent construites. Le secteur a accompagné l’évolution de la construction en général. Son adaptation est aussi bien technique, esthétiques que culturels, dans les domaines traditionnels et industriels.

Le secteur compte actuellement 86 briqueteries dont une dizaine d’unités modernes et bien structurées, le reste étant réparti entre des entreprises traditionnelles équipées de four de type Hoffman et des unités artisanales.

Justification du projet La situation du secteur de la construction en terre cuite est étroitement liée à l’évolution de la conjoncture économique et en particulier à celle du secteur du bâtiment constatée depuis 1986. Durant la période 1998 à 2003, la production a connu une croissance soutenue, à l’exception de l’année 2001, qui a marqué une légère baisse. La production des matériaux en terre cuite est appelée à connaître un essor encore plus soutenu du fait de la relance du secteur de l’habitat, notamment sous l'impulsion donnée par les pouvoirs publics dans le cadre des programmes de promotion de l’habitat social.

Conseils Techniques La méthode industrielle de fabrication de la brique comporte 4 étapes, à savoir :  La préparation de la pâte : Elle consiste à broyer l’argile brute, à éliminer les impuretés, à doser les différents constituants et à homogénéiser et humidifier le tout.  Le façonnage des produits : Cette phase consiste à donner au mélange une forme par pressage.  Le séchage : Dans les unités industrielles, l’opération de séchage se fait dans un séchoir statique ou tunnel, le séchage peut se faire aussi à l’air. Cette opération consiste à évacuer l’eau contenue dans le mélange.  La cuisson qui donne au produit sa forme définitive. Il y a lieu de noter que l’industrie de fabrication des matériaux en terre cuite pour le bâtiment est une activité qui revêt un caractère régional.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en matière première, c'est-àdire en argile, peut se faire dans la région au vu de l’abondance des terrains argileux.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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Fiche de projet n°S_BTP_06

Intitulé du projet Unité Industrielle Moyenne de fabrication de la chaux Secteur BTP Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane. Coût global du projet 3.000.000 MAD Capacité de production 1500 tonnes par an Besoin en superficie 10.000 m² Besoin en RH 40 personnes Marchés potentiels Local 80% National 20% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

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Données sur le secteur La chaux a existé depuis longtemps au Maroc ; elle est utilisée aussi bien comme matériau de construction (mortier et enduit) que comme composant routier. Elle intervient aussi dans la fabrication d’autres matériaux de construction.

Justification du projet La production de la chaux est assurée simultanément par des entreprises industrielles, et des unités traditionnelles équipées de fours à chaux artisanaux. La production pour le secteur BTP reste limité à quelques unités à Casablanca et Tétouan. Elle est utilisée généralement comme :  Mortier pour la réfection d’ouvrages anciens.  Badigeon dans les habitations où elle à l’avantage d’offrir une solution très bon marché pour traiter les murs et les cloisons.

Conseils Techniques La chaux s’obtient par simple calcination d’un calcaire à une température supérieure à 900 °C; le carbonate de calcium se dissocie pour donner de l’oxyde de calcium, la chaux vive. La chaux vive est éteinte par système d’arrosage ou de blutage afin d’obtenir une poudre. Les variétés de chaux obtenues :  La chaux "grasse " : obtenue par la calcination d’un calcaire très pur, appelée grasse à cause de l’onctuosité qu’elle donne au mortier  La chaux "maigre": obtenue par la calcination d’un calcaire moins pur. Utilisées en construction chaux grasse et chaux maigre font prise en se recarbonatant au contact du gaz carbonique contenu dans l’air. La chaux est fabriquée également à partir de calcaires qui contiennent 15 à 20 % d’argile. Dans ce cas, il se forme au cours de la calcination des silicates et des aluminates de calcium en quantité suffisante pour donner à ces chaux la propriété de faire prise sous l’eau. Elles sont dites chaux "hydrauliques". La distribution de la chaux est assurée par un réseau important localisé dans les différentes villes du royaume et particulièrement à Casablanca qui assure la distribution de plus de la moitié de la production.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en calcaire peut se faire dans la région ou dans les régions avoisinantes.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L’INTERIEUR WILAYA DE LA REGION GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Fiche de projet n°S_BTP_07

Intitulé du projet Unité traditionnelle fabrication de la chaux

de

Secteur BTP Branche Matériaux de construction Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Slimane. Coût global du projet 1.000.000 MAD Capacité de production 650 tonnes par an Besoin en superficie 6000 m² Besoin en RH 15 personnes Marchés potentiels Local 100% Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Données sur le secteur La chaux a existé depuis longtemps au Maroc ; elle est utilisée aussi bien comme matériau de construction (mortier et enduit) que comme composant routier. Elle intervient aussi dans la fabrication d’autres matériaux de construction.

Justification du projet La production de la chaux est assurée simultanément par des entreprises industrielles, et des unités traditionnelles équipées de fours à chaux artisanaux. La production pour le secteur BTP reste limité à quelques unités à Casablanca et Tétouan. Elle est utilisée généralement comme :  Mortier pour la réfection d’ouvrages anciens.  Badigeon dans les habitations où elle à l’avantage d’offrir une solution très bon marché pour traiter les murs et les cloisons.

Conseils techniques La chaux s’obtient par simple calcination d’un calcaire à une température supérieure à 900 °C; le carbonate de calcium se dissocie pour donner de l’oxyde de calcium, la chaux vive. La chaux vive est éteinte par système d’arrosage ou de blutage afin d’obtenir une poudre. Les variétés de chaux obtenues :  La chaux "grasse " : obtenue par la calcination d’un calcaire très pur, appelée grasse à cause de l’onctuosité qu’elle donne au mortier  La chaux "maigre": obtenue par la calcination d’un calcaire moins pur. Utilisées en construction chaux grasse et chaux maigre font prise en se recarbonatant au contact du gaz carbonique contenu dans l’air. La chaux est fabriquée également à partir de calcaires qui contiennent 15 à 20 % d’argile. Dans ce cas, il se forme au cours de la calcination des silicates et des aluminates de calcium en quantité suffisante pour donner à ces chaux la propriété de faire prise sous l’eau. Elles sont dites chaux "hydrauliques". La distribution de la chaux est assurée par un réseau important localisé dans les différentes villes du royaume et particulièrement à Casablanca (qui assure la distribution de plus de la moitié de la production), Safi, Marrakech, Agadir et Tétouan.

Conditions d’approvisionnement L’approvisionnement en calcaire peut se faire dans la région ou dans les régions avoisinantes.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L’INTERIEUR WILAYA DE LA REGION GHARB-CHRARDA-BENI HSSEN

Fiche de projet n°S_BTP_08

Intitulé du projet Unité industrielle de fabrication des carreaux en ciment traditionnels et contemporains Secteur BTP Branche Matériaux de construction

‫ﺍﻝﻤﺭﻜﺯ ﺍﻝﺠﻬﻭﻱ ﻝﻼﺴﺘﺜﻤﺎﺭ‬ Centre Régional d’Investissement

Données sur le secteur L’industrie de fabrication des matériaux de construction en ciment est une activité très ancienne. Elle nécessite une technologie facilement accessible et des équipements de production moins onéreux. Cette activité regroupe la fabrication des agglomérés, hourdis, buses, carreaux en ciment, blocs en béton, éléments préfabriqués, plinthes, bordures de trottoir et articles à usages divers. Le secteur de la fabrication des agglomérés et articles en ciment est représenté par 317 sociétés réparties sur tout le territoire national et employant un effectif de 11.995 personnes.

Justification du projet

15 personnes

La résorption du déficit actuel en logements et la satisfaction des besoins accumulés et futurs nécessitent une mobilisation générale et un accompagnement des différents secteurs, notamment celui de la fabrication des matériaux de construction. Le secteur de fabrication des agglomérés et articles en ciment est appelé à jouer un rôle important dans la réalisation des grands programmes d'habitat social et de résorption de l'habitat insalubre ; il devra également connaître une évolution favorable du fait des programmes engagés, notamment, les 200 000 logements et le programme ‘’villes sans bidonvilles’’ à l’horizon 2010, lancés au niveau national, ainsi que l’objectif d’atteindre les 100 000 unités par an à court terme. Les perspectives de développement de cette industrie sont favorables, du fait de l’impossibilité de substitution de ces matériaux et leur poids important dans la construction.

Marchés potentiels

Conditions d’approvisionnement

Régional 70% National 30%

Assurer un approvisionnement constant en ciment en sac.

Lieu d’implantation proposé Commune : Kénitra, Sidi Kacem, Ouezzane, Sidi Slimane Coût global du projet 1.500.000 MAD Capacité de production 100.000 m² par an Besoin en superficie 5000 m² Besoin en RH

Informations utiles : Contacts :  CRI-Kénitra +212.37.37.46.27

Assurer un approvisionnement régulier en agrégats et granulats de bonnes qualités.

Conseils techniques Les carreaux en ciment sont fabriqués avec le mélange de ciment et d’une gravette de marbre. Après la prise du mélange, la surface visible du carreau est polie.

Observation : les éléments formulés dans cette fiche sont donnés à titre indicatif.

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