Dossier de presse Reconversion du site de l’ancienne Maison d’Arrêt de Nantes Nantes, le 18 janvier 2017
CONTACTS PRESSE Altarea Cogedim > Nathalie BARDIN | Directrice des Relations Institutionnelles, de la Communication et de la RSE |
[email protected] | 01 56 26 25 53 / 06 85 26 15 29 > Valérie JARDAT | presse Groupe |
[email protected] | 01 41 05 94 10 / 06 12 05 18 35 > Charlotte BAGARD | Attachée de presse Cogedim Atlantique |
[email protected] | 02 40 71 07 90 Ville de Nantes / Nantes Métropole > Maxime MALETTE | Attaché de presse |
[email protected] | 02 40 99 67 06
Dossier de presse RÉINVENTER LA MAISON D’ARRÊT DE NANTES
Par sa porosité, sa grande mixité programmatique et ses qualités paysagères, le nouvel ensemble deviendra une nouvelle polarité urbaine au sein de Nantes, un espace à l’urbanité moderne et à l’attractivité affirmée.
Le projet urbain destiné à transformer l’ancienne Maison d’Arrêt de Nantes en un programme mixte à dominante Logement apportera une structure et une dynamique nouvelle pour le quartier. L’aménagement du site de l’ancienne prison achèvera la reconversion de la place, qui a vu la réhabilitation des bâtiments emblématiques tels que l’ancien Palais de Justice - devenu Hôtel Radisson Blu et l’ancienne gendarmerie transformée en logements et en centre de bien-être.
Sous l’impulsion de Nantes Métropole, le groupe Altarea Cogedim - à travers sa direction régionale Cogedim Atlantique - associé au groupe Histoire & Patrimoine et à deux cabinets d’architectes-urbanistes, DTACC et tandem+, ont uni leurs compétences pour donner un sens fort à leur proposition et répondre ainsi aux attentes de la Ville et de ses habitants. Pour ce faire, le groupement a fondé sa réflexion sur l’histoire du lieu, tout en en inversant les valeurs d’origine :
L’histoire de la Maison d’Arrêt de Nantes
Inaugurée en 1867, la Maison d’Arrêt de Nantes a été construite en plein cœur du centre-ville de Nantes auprès du Palais de Justice et de la caserne de gendarmerie Lafayette. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’occupant allemand procéda à l’exécution de 48 prisonniers s’étant illustrés pour acte de résistance. Certains de ces otages ont séjourné dans cet ensemble. Leur nom est aujourd’hui associé à l’une des principales artères de la ville : le Cours des 50-Otages. C’est en juin 2012 que la Maison d’Arrêt de Nantes a été désaffectée, avant d’être acquise par Nantes en décembre 2015.
> D’un lieu fermé par de hauts murs, l’ensemble deviendra un lieu ouvert et traversant ; > D’un lieu de privation et de peine, l’ensemble constituera un lieu de vie et de joie ; > D’un lieu minéral, l’ensemble disposera d’une ouverture sur la nature et d’une végétalisation conséquente. La Maison d’Arrêt, avec le Palais de Justice et l’Hôtel de Gendarmerie, construits entre 1852 et 1869, ont été des édifices structurants pour le centre de la ville. Tout le quartier dans son ensemble est donc aujourd’hui en mutation. La place Aristide Briand est devenue une place animée, proposant de nombreux équipements cohérents : un hôtel, un centre de bien-être et des restaurants. Il s’agit donc de réintroduire au cœur de la ville des rues et des espaces verts, de rendre aux Nantais un espace de vie jusqu’à présent “confisqué” pour les besoins régaliens de l’État. À terme, le projet prévoit la conservation des éléments patrimoniaux en lien avec les caractéristiques architecturales du lieu. Le traitement réservé aux éléments constitutifs de la Place Aristide Briand - à savoir le porche et l’ancien pavillon du Greffe - vient conforter cette double volonté de mémoire et d’ouverture. À sa livraison, le nouvel ensemble développera 160 logements dont 50 % de logements sociaux, une maison de la petite-enfance, des places de stationnement publiques et privées et l’aménagement d’un mail paysager et végétalisé dans la prolongation du square Faustin-Hélie.
2
COMPRENDRE LES CARACTÉRISTIQUES DU PROJET Ce projet mixte et structurant pour la ville de Nantes développera 160 logements dont 50 % de logements sociaux, une crèche de 40 berceaux, près de 400 places de stationnement (dont un parking public) ainsi qu’un théâtre, renforçant la vie du quartier et l’attractivité du centre-ville.
De nouveaux logements pour le centre-ville La transformation de la Maison d’Arrêt de Nantes prévoit la création de 160 logements qui répondront aux attentes des habitants de la métropole. Ils profiteront de vues lointaines et d’orientations multiples. Guidé par la volonté des acteurs de valoriser la fonction sociale des espaces, le programme offrira des services complémentaires aux résidents pour faire de ce quartier un lieu de rencontres, d’échanges et de détente.
Une qualité de vie unique qui répond à de nouveaux besoins
Ce projet, à la fois simple et original, propose aux Nantais une nouvelle manière d’habiter en centreville. Dans le cœur historique de la ville, de grands logements intimes et ouverts sur un parc paysager verront le jour. Du T1 au T5, la plupart bénéficieront de prolongements extérieurs importants (terrasse, jardin d’hiver, balcon, loggia, solarium sur les toits…). D’une surface moyenne de 69 m2 supérieure à la moyenne nantaise actuelle (56 m2), les appartements proposés seront flexibles et “réversibles” pour répondre de façon sur-mesure à tous les usages et à l’évolution de typologie des familles.
Une approche volontariste de mixité sociale…
Pour optimiser le confort de vie et renforcer les liens, le programme proposera des espaces mixtes à dominante sociale et de nombreux services pour répondre aux attentes des résidents. Avec 83 logements sociaux situés dans l’ensemble de l’opération, le programme sera attractif pour tous. > À savoir : Nantes Métropole Habitat a été désigné comme l’opérateur des logements sociaux. 3
Dossier de presse … Et de mixité intergénérationnelle
Conformément aux orientations retenues par Nantes Métropole Habitat, une part importante des logements sociaux sera prioritairement destinée aux personnes âgées. De créateurs de lieux, Altarea Cogedim et ses partenaires deviennent créateurs de liens afin de répondre à la demande des collectivités et de leurs résidents. Ceux-ci pourront bénéficier de logements innovants correspondant à leur style de vie et à leurs attentes (colocation entre personnes âgées, grands espaces pour se rassembler et se retrouver…) : tout sera pensé pour que le nouvel ensemble constitue un véritable lieu de vie. Dans cet état d’esprit, une part des logements sociaux sera consacrée aux personnes en situation de handicap.
Angle des rues Descartes et Deshouilères.
L’accueil de la petite enfance
Un espace - d’une surface de 467 m² - accueillera 40 enfants âgés de 3 mois à 4 ans à l’intérieur de deux unités identiques disposées sur un seul et même niveau ouvert sur l’extérieur. Le jardin de 250 m² associé à cette halte multi-accueil offrira aux enfants des possibilités de jeux variés. Par sa conception, il contribuera à leur développement, à l’éveil de leur curiosité et à leur épanouissement.
Perspective sur jardin devant multi-accueil.
4
Le pavillon du Greffe devient un théâtre Une seconde vie pour le pavillon du Greffe
Sollicitée par le groupe Altarea Cogedim, la Compagnie du Café-Théâtre, institution nantaise du rire depuis 1997, a répondu positivement à l’invitation pour investir le pavillon du Greffe et le transformer en théâtre dédié au rire. Parrainée depuis 2003 par l’humoriste Anne Roumanoff, la Compagnie du CaféThéâtre regroupe quatre activités : la production, l’événementiel, la diffusion et la formation. En complément du Café-Théâtre qui offrira une seconde vie au pavillon du Greffe avec une capacité d’accueil de 250 places, la modularité des espaces devrait permettre de proposer un espace cinémathèque, pour organiser des événements à destination de tous les publics, y compris scolaires en journée, ainsi que des espaces événementiels pour des réunions et séminaires en complément de l’offre du Radisson Blu. Le pavillon du Greffe pourrait, à terme, accueillir toutes ces activités, sur près de 600 m² de surface utile, répartis sur deux niveaux.
5
Dossier de presse Faire entrer la nature en ville Le paysage de Nantes est caractérisé par son ouverture sur la nature et les espaces verts de différentes tailles. Le projet a pour ambition de créer des espaces arborés et verdoyants supplémentaires permettant de faire de cet ensemble un point de rencontre, de respiration et d’articulation entre les espaces urbains alentours. Les jardins ouverts au public le jour seront réservés aux résidents le soir. Ils proposeront des arbres d’ornementation mais aussi des arbres fruitiers dont l’entretien sera partagé.
Un mail public le long de la rue Harouys
L’espace en bordure de l’îlot côté rue Harouys sera traité comme un véritable mail. Des châtaigniers et tilleuls apporteront de la hauteur par leur port monumental. Le long de la rue, des pommiers et des poiriers palissés donneront de l’intimité à la belle saison, et protégeront les pelouses en incitant à passer par les chemins. Associé à une pelouse, ce verger en deux strates offrira des fruits à cueillir, de l’ombre ainsi qu’un espace propice à la détente, aux pique-niques ou aux jeux. Ce mail s’ouvrira sur le square Faustin-Hélie et pourra s’envisager comme son extension.
Jardins partagés en toiture
Biodiversité : place importante donnée aux espaces verts • Récupération des eaux de pluies sur les terrasses ; • Toitures végétalisées ; • Mise en place de composts ; • Jardins partagés ; • Nichoirs...
Trois jardins partagés seront installés sur les toitures de deux bâtiments dédiés aux logements sociaux, Accessibles à l’ensemble des copropriétaires, et éventuellement aux résidents du quartier sur inscription, les habitants pourront découvrir ces nouvelles placettes végétales. L’association nantaise Bio-t-full, spécialisée dans la promotion et le développement de l’agriculture urbaine, accompagnera les jardiniers et réalisera des animations et l’entretien complémentaire au jardinage. La tonte de la pelouse, le réglage de l’arrosage automatique, la maintenance du réseau et la taille des arbres seront également effectués par Bio-t-full. L’entreprise de paysage urbain comestible et sauvage Topager interviendra dans la conceptionréalisation-exploitation des espaces verts. > À savoir : un marquage au sol sera conservé comme une trace de l’histoire du site. 6
Un nouveau parking dans le centre-ville Une attention toute particulière a été portée aux accès et à la fluidification des circulations. À ce titre, un parc de stationnement public et privé verra le jour sur deux niveaux avec une entrée commune située depuis la rue Descartes pour répondre à la demande des résidents
Des places de stationnement réalisées dans le même volume
Afin de rendre cette opération encore plus attractive, en lien avec les attentes des habitants, la programmation prévoit : • 252 places de stationnement pour le parking public de plain-pied, 21 emplacements deux roues motorisées, 26 emplacements vélos. • 147 places de stationnement pour le parking privé.
L’accès piéton
L’entrée principale des piétons se fera totalement de plain-pied, depuis la partie sud du pavillon du greffe. Deux autres accès piétons seront localisés sur la rue Deshoulières (proximité Boulevard Guist’Hau) et sur la rue Harouys.
Les places pour les personnes à mobilité réduite
Les personnes à mobilité réduite bénéficieront du même accès que l’ensemble des autres usagers via le perron réaménagé du bâtiment existant. Le nombre de places PMR répondra à la réglementation, soit 1 place par tranche de 50 places. Elles seront situées à proximité directe du local d’accueil et comporteront un revêtement antidérapant.
Les véhicules à alimentation électrique
Situé également près de l’entrée, le dispositif retenu permettra une recharge rapide pour 10 places et toutes les mesures conservatoires pour l’équipement de 10 % du parking.
Le parking vélos
Suivant les orientations voulues par Nantes Métropole, une importance particulière a été donnée aux déplacements doux (vélos…) au sein du projet. L’accès au parking à vélos sera séparé de l’accès voiture. Le local vélos du parking public proposera une bicycletterie d’environ 100 m², qui permettra d’accueillir 26 vélos ainsi qu’un espace atelier ouvert aux usagers.
L’espace motos
Un espace motos a été imaginé pour répondre aux attentes des habitants. La sécurité des biens et des personnes sera assurée de façon à ce que le site renvoie effectivement l’image des valeurs de convivialité qu’il ambitionne de porter.
2
1
7
Dossier de presse CRÉER LES CONDITIONS POUR BIEN VIVRE LE CHANTIER L’une des principales caractéristiques de ce chantier est qu’il a été pensé dans sa réalisation et son organisation autour de deux axes : propreté et réduction des nuisances. À titre d’exemple, les murs d’enceinte seront conservés durant une grande partie de l’opération.
Pavillon du greffe
Pavillon de l’octroi
Toutes les questions que l’on se pose Un espace d’information dédié
À partir de mars 2017, un espace d’information et d’exposition sera ouvert dans le Pavillon de l’Octroi. Une permanence hebdomadaire d’écoute et de renseignements sera mise en place. Une boîte aux lettres physique sera également installée pour recevoir tous les messages, requêtes ou questions, aux moments de fermeture de la permanence.
Un site web dédié au projet
Un site web sera créé avant la fin février 2017 pour permettre à chacun de connaître les détails du projet, suivre les actualités du chantier. Toutes les questions trouveront ici une réponse :
www.reconversion-man.fr
8
Gestion et calendrier du chantier Quelle que soit l’opération menée, Altarea Cogedim met tout en œuvre pour que les nuisances liées au chantier aient un impact minimal. Le quotidien des riverains, de l’école et des commerces seront donc pris en compte. Le chantier aura lieu durant une grande partie derrière les murs (a minima pour la phase de démolition), ce qui limitera les nuisances, visuelles et sonores. Un circuit a été déterminé afin d’éviter le passage des véhicules de chantier aux abords de l’école. Une charte Chantier faible nuisance est également rédigée et acceptée par les différentes parties prenantes. Les grandes étapes du chantier : • Mars 2017 : dépôt du permis de construire • Été 2017 : obtention du permis de construire • Fin 2017 : démarrage des travaux de démolition (3 mois) • Début 2018 : démarrage des travaux • Été 2019 : livraison de la crèche et des parkings • Fin 2019/début 2020 : livraison des logements
Annexes LES ACTEURS DU PROJET La reconversion du site de l’ancienne maison d’arrêt de Nantes, place Aristide-Briand, sera pilotée par l’opérateur multiproduit Altarea Cogedim à travers sa direction régionale, Cogedim Atlantique associé à Histoire et patrimoine (assistance à maîtrise d’œuvre) et aux architectesurbanistes Jacques Cholet et Jérôme Liberman du cabinet DTACC (Paris), qui ont déjà réalisé le Radisson Blu, et Antoine Allard du cabinet Tandem+ (Lille). En matière de paysagisme, l’équipe sera complétée par l’entreprise Topager (Paris). Le foncier de cette opération est porté par l’Agence Foncière de Loire-Atlantique (AFLA). Altarea Cogedim est un acteur de référence de l’immobilier. À la fois foncière de commerce et promoteur, il est présent sur les trois principaux marchés de l’immobilier : commerce, logement, bureau. Il dispose pour chacun de l’ensemble des savoir-faire pour concevoir, développer, commercialiser et gérer des produits immobiliers sur-mesure. Présent en France, en Espagne et en Italie, Altarea Cogedim gère un patrimoine de centres commerciaux de 4,5 milliards d’euros. Coté sur le compartiment A d’Euronext Paris, Altarea affichait une capitalisation boursière de 2,8 milliards d’euros au 31 décembre 2016.
Cogedim Atlantique, un acteur ancré dans son territoire
Filiale nantaise du groupe Altarea Cogedim, Cogedim Atlantique développe, sur le Grand Ouest, des projets répondant à des problématiques architecturales et immobilières variées, dans le cadre d’une démarche environnementale ambitieuse (certification Cerqual NF-Logement démarche HQE®, Label NF Bâtiments tertiaires démarche HQE®, Hôtelleries millésime 2008). En réhabilitation de monuments anciens ou de sites industriels, en construction neuve, en requalification urbaine ou en secteurs aménagés, Cogedim Atlantique s’appuie sur l’innovation technique et architecturale, la recherche de nouvelles prestations, pour promouvoir une gamme de produits et de prix diversifiés. C’est ainsi qu’au travers de près de 25 opérations immobilières sur Nantes Métropole (dont celle de l’Ancien Palais de Justice), Cogedim Atlantique intervient aussi bien dans la conception et la réalisation d’opérations en zones de renouvellement urbain que dans des programmes haut de gamme en centres historiques, tant en logements (500 par an), bureaux, résidences services qu’hôtels. > Opérations référentes : Inspirations, Radisson Blu > Particularité : premier constructeur de logements sociaux sur la métropole nantaise Cogedim Atlantique est dirigé par Jérôme Beauvois, directeur général région Atlantique, et Ali Mimoun, directeur de l’agence de Nantes. La direction du projet sera assurée par Maxence Cormier, directeur de la promotion, et par Stéphane Galliot, directeur commercial régional.
www.altareacogedim.com
9
Annexes L’agence d’architecture parisienne DTACC travaille avec instinct en poursuivant une réflexion sur la régénération urbaine, la renaissance et l’équilibre des villes. Le DTACCONSCIOUS est une philosophie partagée par des architectes, itinérants, curieux et connectés, au croisement de l’héritage historique et de la régénération citadine. “Nous ne sommes pas des architectes de la démesure. Nous faisons du sur-mesure architectural. Avec les villes, nous tissons des liens émotionnels urbains et veillons à leur embellie.” DTACC est une agence en “pleine forme” car ses réalisations sont multiples : grands centres d’affaires et sièges sociaux, mutation positive du bâti existant, architecture d’intérieur, conception d’hôtels et de nouveaux logements, réinvention des espaces de bureaux, aménagements urbains. Son succès, DTACC le doit à son renouvellement permanent de création architecturale, la bienveillance et l’accompagnement apportés à ses clients, la qualité de ses réalisations et son savoir technologique. Spécialisée dans les projets classés “sensibles et complexes”, DTACC mixe High-Tech et valorisation architecturale afin d’offrir des solutions optimales dans le respect des coûts et des délais. C’est dans la MaisonDTACC que les équipes DTACC expriment leurs savoirs, leurs convictions, leurs réflexions sur l’urbanité et répond avec compétence aux besoins culturels, identitaires, formels, sociétaux, fonctionnels et contextuels de chaque projet. “Nous apportons une attention particulière sur l’économie des dépenses énergétiques et les performances techniques de construction. Notre expérience et nos recherches nous entraînent aujourd’hui à répondre au plus près des attentes présentes et futures des utilisateurs. Nous pensons que notre environnement influence directement notre qualité de vie. Son respect est l’une de nos principales préoccupations et s’incarne dans ce que nous nommons le DTACCITYDETOX.” Flexibles, en mobilité constante, DTACC partage, avec ses clients, le sens de la pérennité, l’amour du patrimoine, le goût de l’innovation, la vibration des cités et imagine avec eux, loin des standards, l’architecture des villes d’aujourd’hui et de demain. Ses équipes de conception et d’exécution ont une excellente connaissance et une longue expérience du bâti ancien. Grâce à son expérience acquise en matière de mise en valeur et reconversion du patrimoine architectural et grâce à la mobilité de ses équipes, DTACC développe également son activité dans les grandes métropoles régionales et à l’étranger.
www.dtacc.com
10
Le tandem+ “architecture plus urbanisme” articule deux disciplines qui se nourrissent réciproquement : un urbanisme pensé en trois dimensions, s’attachant aux formes produites dans leurs effets visibles et sensibles et une architecture ancrée dans les territoires et paysages environnants, soucieuse de la proximité comme de la grande échelle. tandem+ est également une façon d’aborder les projets : celle d’une approche collective et partagée, profitant de l’addition des sensibilités des membres de l’équipe ; celle également d’une conception sans cesse renouvelée par le dialogue avec ses partenaires et maîtres d’ouvrages.
Transmission et évolutions récentes
En 2016, l’agence poursuit son évolution. Cette mutation amorcée en 2005 est celle de la transmission d’un outil de travail, de savoir-faire et d’expériences à une équipe plus jeune et élargie apportant de nouvelles exigences et renouvelant les approches et perceptions du métier. Cette nouvelle étape a permis la réorganisation de la cogérance et l’intégration d’un nouvel associé. Tandem+ se compose aujourd’hui de 11 personnes dont 9 associés.
Vertus du travail collectif
Le métier d’architecte / urbaniste nécessite des compétences et implique des responsabilités de plus en plus complexes, rendant la pratique collective de la profession nécessaire et enrichissante. L’échange, le débat d’idées sont au cœur de la pratique de l’architecture et de l’urbanisme. Au sein de l’équipe, chacun conserve le plaisir de la conception et la stimulation de la production (le faire), là où les responsabilités inhérentes à la taille de l’agence conduisent bien souvent leurs dirigeants à abandonner cette facette de la profession. Ce mode de fonctionnement collaboratif invite chacun, par l’épanouissement et la prise de responsabilité qu’il permet, à s’impliquer dans la durée. Cette stabilité assure également au Maître d’Ouvrage des interlocuteurs identifiés avec qui peuvent se nouer des relations de travail privilégiées.
Une approche de la conception
La culture de la gestion du projet de Tandem+ est commune et repose en grande partie sur le travail en atelier (workshop) procédant par hypothèses, multipliant les tests en maquettes, repoussant les certitudes et laissant la conception un temps ouverte pour permettre à chacun (interne comme externe) d’apporter ses savoirs et son expertise. Elle procède ensuite par étapes refermant progressivement le champ des possibles pour cibler un objectif commun au plus près de la demande.
L’intuition et la raison
Notre approche se réclame d’une architecture, d’un urbanisme de la raison, de l’analyse ; qui s’appuie sur une étude précise et pragmatique du contexte, des enjeux, du programme et des intervenants. Elle cherche à mettre en place le récit, l’argumentaire d’un projet comme synthèse des atouts et contraintes étudiées. Mais, elle se réclame aussi de l’intuition parce que l’architecture reste une histoire de sensibilité, de sensations, d’un indicible qui sonne juste. C’est la part d’engagement personnel de chaque concepteur.
www.tandemaplusu.com
11
Reconversion du site de l’ancienne Maison d’Arrêt de Nantes Visionnez la vidéo du projet sur : https://goo.gl/Pa6mDC
